Des mondes reliés, Heldrann et Nardheln [by Calaïs]

Bien alors commençons par le plus facile, l'histoire. Pour l'instant on ne sait pas grand chose sinon que Laol est un vogueur (kezako ça reste à définir, je sais bien que ça viendra) et qu'il est là pour une sorte de réunion. Donc, les choses sont présentées simplement, rien de particulier à dire pour l'instant, faut voir la suite ^^

Quelques remarques générales : sépare les dialogues du récit (gras, couleur au choix) parce que là il est difficile de les identifier. Tu as tendance à faire des phrases trop longues, c'est à dire en fait à accoler deux phrases ensembles alors qu'elles devraient être séparées. Il y a certaines tournures qui me dérangent aussi, pour la peine je te fais une "correction" de ton texte (attention, ça n'a qu'une valeur indicative hein, je suis pas un maître es-écriture^^)

Citation :

Cela faisait plusieurs jours qu'ils pleuvait sur Samariis. Les gardes situé aux portes s'ennuyaient et jouaient tranquillement aux dés quand un homme se présenta devant les portes,[là un point et tu commence la description du voyageur ensuite] ses cheveux longs et noirs étaient trempés, collé dans son dos, le visage de l'homme semblait marqué par l'expérience des combats longs et douloureux.
Les gardes furent surpris de voir un homme voyager seul par ce temps et à cette heure, il était minuit passé [pour ma part j'aurais mis "minuit étant passé"]. La jument du voyageur était noire, d'après ses formes et sa façon de marcher venait de chariaviria, ce canton était réputé pour ses chevaux [de la même façon je mettrais "canton réputé pour ses chevaux", ça allège ta phrase]. Le sergent arrêta l'étranger à quelques mètres avant les murailles et lui demanda ce qu'il venait faire à Samariis,[nouvelle phrase, il y a une pause là] l'homme ne répondit pas et le sergent lui indiqua que de toute manière les portes ne s'ouvriraient pas avant le matin.
L'étranger sourit, Samariis lui avait manqué, il savait comment passer ces murailles et faire ouvrir les portes [là pareil, j'aurais fait 3 phrases pour bien appuyer, des points au lieu des virgules]. Il écarta l'un des pan de sa cape révélant une lourde épée, il la sortit et fit approcher sa jument jusqu'au sergent et de ses compagnons,[nouvelle action nouvelle phrase d'autant que tu changes de sujet] ces derniers s'affolèrent voyant le guerrier s'approcher arme sortie et sortirent les leurs [attention à la répétition "sortie" et "sortirent", tu peux mettre un ddégainer quelque part]. Une fois assez près du sergent l'étranger fit pivoter son épée et la tendit au sergent [répétition] qui eut alors l'insigne des vogueurs sous le nez,[nouvelle phrase, répétition encore du "sergent"] le sergent poussa un petit cri de terreur en voyant plus nettement le visage du cavalier, il inclina la tête et dit :
Seigneur Laol, je ne savais point que vous veniez a Samariis sinon...
Je suis un vogueur sergent, je ne sais jamais ou je vais... Vous les ouvrez ces portes ou vous désirez attendre le lever du jour ?
Tout de suite. Le sergent se retourna vers les gardes et leur ordonna d'ouvrir les portes.
Une fois ces dernières ouvertes Laol s'engouffra dans Samariis sous la pluie continue. Cela faisait des années qu'il n'était pas revenu ici, il suivit l'allée principale, les torches qui l'éclairaient crépitaient lorsque les gouttes d'eau venaient à les toucher.
Laol savait ou[où] il allait, la taverne des vogueurs se trouvait dans la neuvième enceinte. Le cavalier travers les huit premières enceintes [répétition "enceintes" qui n'est pas nécessaire ici, "les huit premières" suffisent] avec le seul bruit des sabots de Iuta, sa jument. Juste avant de passer la neuvième enceinte [pareil] un énorme bruit se fit entendre a [à] sa droite, [nouvelle phrase] Laol porta la main a son épée et se rendit compte qu'il s'agissait juste d'un semi géant, gardien d'une taverne, qui jetait dehors un jeune étudiant de l'académie des puissances. Ce fut en se rappelant de [ "en se rappelant ses propres souvenirs", pas de] ses propres souvenirs de l'académie que Laol rejoignit la taverne des vogueurs.
La bâtisse se trouvait le long de l'avenue principale, c'était un grand bâtiment blanc reconnaissable grâce à l'insigne des vogueurs, deux épées croisées sur un bouclier, qui se balançait suivant les rafales de vent. Laol posa pied a terre devant l'édifice et frappa le code,[nouvelle phrase] une petite fente s'ouvrit dans la porte, laissant voir deux yeux qui avaient l'air surpris devant le visage souriant de Laol. La fente se referma rapidement et le guerrier entendit les trois verrous de la porte s'ouvrir, puis il vit la porte faire de même. L'homme qui se trouvait derrière la porte était un personnage assez rondouillard au visage jovial, une fois le second battant de la porte ouvert il dit :
- Il n'y en a bien qu'un seul pour réveiller un honnête tavernier à cette heure !
- Que veux tu mon ami, on ne se refait pas,,,
- Aller rentre ! T'attend la venue de l'Ombre Noire ?
Laol tira sa jument dans la grande cour et tendit les rênes de Iuta a un jeune palefrenier,
- Méfie toi pour tes pieds mon garçon elle aime bien en écraser quelques uns. Dit Laol au jeune
garçon ayant saisit les rennes de Iuta. Une fois ses conseils donné le jeune guerrier se retourna
vers le tavernier et lui demanda :
- Gromurf. Suis- je le premier ou les autres sont déjà arrivés ?
- Otomo est arrivé il y a deux jours accompagné de Maok, Diros est arrivé dans la journée d'hier, Ganon doit arriver demain ou après demain.
- Merci a toi mon ami. Tu as une chambre de libre pour un jeune vieux vogueur ? [un jeune vieux? heu...]
- Bien sur ta chambre habituelle t'attend sous les toits


Après avoir remercié le tavernier Laol se dirigea vers le bâtiment. En passant a coté des écuries il entendit un cri de douleur, apparemment le jeune palefrenier n'avait pas fais assez attention et Iuta s'était amusée.
Le vogueur entra dans la taverne, vide a cette heure ci, et monta l'escalier, [nouvelle phrase] arrivé sous les toits il se rendit compte qu'il avait oublié les clés,[encore une phrase^^] n'ayant pas envie de descendre et de remonter les quatre étages il décida de faire un peu appel a la magie. Ses yeux devinrent blanc et un courant d'air chaud se fit sentir dans les couloirs,[pareil] peu après les clés passèrent en volant devant les quatre autres portes du couloir avant d'atterrir dans la main du magicien. Il ouvrit alors la porte et remarqua que rien n'avait changé, il avança dans la pièce et ses yeux redevinrent blanc, la porte se referma doucement poussée par un faible courant d'air. Une fois la porte fermée les yeux de Laol reprirent leur couleur verte irisée d'orange habituelle [vert irisé d'orange? il a fallu que je le relise 3 fois avant de comprendre ce que tu voulais dire xD]. Laol retira alors sa cape et sa cotte de maille puis il les déposa sur un mannequin en bois disposé là à cet effet, ensuite il retira son épée et accrocha son ceinturon a la tête de lit enfin il se laissa tomber sur le lit ou il s'endormit comme une masse...

Fais attention aux accents que tu as tendance à oublier (je ne les ai pas tous relever) et aux répétitions qui alourdissent ton récit. Mais ça reste pas mal, montre nous la suite

Pour ce qui est du jeune vieux, je me suis amusé sur deux faits, la jeunesse du personnage (aux alentours de 20 ans) et son ancienneté en tant que vogueur (cela fait déjà plusieurs années qu'il l'est). Pour ce qui est des phrases cela a toujours été ma bête noire, ne sachant pas toujours couper ou il faut...
Pour le deuxième chapitre, je vais peut être attendre un peu, ça fait monter le suspense ^^

Ah oui les vogueurs pour que vous compreniez plus rapidement, ce sont des chasseurs de quêtes

Comme vous pouvez le voir le deuxième chapitre est presque entièrement un dialogue entre les différents vogueurs réunis... il est vrai que ça peut paraitre un peu lourds mais je pense que ça allège le poids provoqué par le chapitre descriptif qu'est le numéro 1

[mode chieuse on]

Les phrases sont toujours trop longues!
Toi aussi fais-toi plaisir et critique les autres^^
[mode chieuse off]

Peut être que tu pourrais essayer de relire ton texte à voix haute. Tu verrais ainsi mieux les coupures et tu pourrais y mettre des points^^

Pour la description de la bataille tu as eu un gros problème de répétition

Citation :

Les gobelins n'attendaient que ça et foncèrent en piétinant les gobelins au sol et en détruisant les gobelins temporairement transformé en statues, les gobelins par ces actions avaient tué près de cent de leurs propres troupes. Quand la marée gobeline arriva au pied de la colline les cinq flèches de Maok partirent se planter dans des gobelins puis s'enflammèrent, brulant ainsi nombre de gobelins autour de ceux ayant été blessé par les traits mortels. Les yeux de Diros virèrent au marron et plusieurs gobelins proche des vogueurs se retournèrent, se mettant a combattre leurs frères d'armes, le pouvoir de la chair maitrisant leurs esprits simple... Quand les gobelins arrivèrent encore plus près du groupe le carquois de Maok était vide ce qui signifiait au moins cinquante morts de plus dans les rangs gobelins, tout les gobelins maitrisé par Diros étaient mort tué par les leurs pour permettre leur avancée.

Soit 11 fois le mot gobelin et ses dérivés, en seulement 9 lignes... ouch dur
Je conçois que ce soit difficile mais tout de même, un petit effort serait payant

Sinon il était intéressant de voir ces guerriers-mages en action. Leurs pouvoirs se complètent bien. Il est marrant de constater que non seulement ils maîtrisent chacun une facette différente de la magie mais aussi qu'ils ont chacun leur arme de prédilection, il n'y en a pas deux qui utilisent la même. La fin est un peu abrupte, il manque une conclusion, un commentaire ou pas sur le morceau d'histoire personnelle révélée mais en tous cas quelque chose.

Donc encore pas mal de maladresse dans l'écriture mais l'histoire reste encore suffisamment alléchante pour qu'on est envie d'en connaître la suite.

Pour ce qui est des phrases trop longues, je le sais, j'avais déja écrit ce chapitre ainsi que les 3 suivant, je sais donc que mes phrases seront trop longues dans les trois prochains chapitres... a part peut etre dans le dernier, ce qui se passe c'est que j'ai a peine le temps d'écrire mes chapitres alors pour ce qui est de les modifier...
Pour les gobelins c'est difficile de trouver des synonymes pour ces créatures...