Lencre

Ne sachant quoi mettre : bonjour, salut, coucou, hey, plop, hi !

Je suis ravi d'atterrir ici, je me suis fais un peu mal à l'atterrissage. En même temps, on m'avait pas prévu que la piste était si petite.

Je suis venu ici pour partager et apprendre. Voila, c'est tout.
Qu'ai-je à partager ? Ce que vous allez m'apprendre.

J'ai envie de me mettre à l'écriture de poèmes.
C'est très étrange, je n'ai absolument jamais écrit.
J'ai pu me rendre compte de la qualité d'écriture de certaines personnes.
J'ai été touché en plein vol.

Qui suis-je ? J'ai 22 ans, 33 dents (une dans le palais, je peux vous la montrer si vous voulez.)
Je suis actuellement étudiant. Qu'importe la précision, je dirais que je suis dans le domaines des sciences.
J'ai également deux mains, ce qui me permet d'être beaucoup plus efficace qu'avec une seule.

Pour ne pas venir ici les mains vides, j'ai rédigé un petit quelque chose. Sans grande ambition, c'est mon tout premier. Je n'ai très certainement pas respecté la rigueur qu'impose le poème, mais je vous l'ai dit, je suis pauvre de tout et surtout curieux de vous.




Au plaisir de vous lire, je vous dis à bientôt.

Bonjour ! Et bienvenue (:


Qui donc t à amené ici ? Dis voir!

C est louable de ta part de vouloir t essayer et t entraîner à la poésie. On a quelques apprentis poètes et poètes en apprentissage permanent par ici ! Tu as été bien orienté alors, enfin je crois.

Pour ce qui est de la poesie, et la littérature en général, c est direction wilwarin. Si tu veux, tu peux meme demander à quelqu un de te suivre particulierement., pour te guider dans les règles ou l absence de règles de la poésie.

Tu me recroisera surement ici ou là, au détour d un poeme. J essaierai de prendre le temps de t aiguiller un peu ! La... j ai partiel. je dirai un mot sur ton tout premier. Plus tard.

La bise, amuse toi bien,cest le plus important.

On t'a tout a fait bien aiguillé aux pays des plumes et des pinceaux ^^

Bienvenue parmi nous.

Ta poésie semble déjà avoir dépassé le simple stade de l'embryon. Et comme le dit si bien Chikoun, les règles et la structure de la poésie sont des choses toutes relatives. Il y a du côté de Wilwarin quelques membres qui ont su construire une certaine voie de la poésie

Je te laisse découvrir ces terres qui, je l'espère, bientôt seront tiennes.


Et n'hésite pas à demander ta route aux passants. Le chat et les messages privés sont là pour ça.


Et si le coeur t'en dit :


http://blog.ter-aelis.fr/


https://www.facebook.com/pages/Ter-Aelis-15/149435531824789?fref=ts

Un de mes colocataires m'a parlé de certains forums qui auraient pu me plaire. Mais je n'ai trouvé que du 100% RP et ce n'est pas ce que je recherche fondamentalement. (Je ne dis pas que je ne m'y intéresserait jamais. C'est simplement pas mon besoin actuel.)

Le votre à le mérite d'être vaste et de proposer plusieurs thèmes, dont la poésie. Voila donc pourquoi comment.

Merci pour l'accueil, c'est appréciable.
Je vais jeter un oeil aux liens que tu m'as montré. Le blog est très beau.

Alors, j ai un peu detemps avant ma prochaine épreuve.

Tout d abord, à savoir que tout ce que je dis, relève, affirme concernant comment écrire de la poésie n engage en vérité que moi, et ne sont en réalité que des choses auxquelles moi j entends attacher del importance. Après, on y trouvera des conseils de bon sens, des avis techniques, et surtout quelques règles implicites qu il peut être bon d envisager.



Tout d abord, écrire en vers fixes, respectant la métrique (les règles d écriture du vers et des vers ensembles) classique n est pas forcément une obligation. Cependant, maîtriser ça permet de comprendre les règles implicites du langage français. Et de s en jouer. Les règles ont toutes une raison d'être en rapport avec le rythme du texte. (ou culturelles, ou sémantique, etc mais le point commun c est le rythme). Pourquoi écrire avec des rimes ? Cela imposé un certain rythme, avec des échos. (et culturellement, c est un moyen mnemotechnique) c est donc une facilité d utiliser ces rythmes prefaits. C est un caneva bien utile, dirons nous.

Ici, ton caneva est tout plat. C est le propre des rimes suivies, qui se suivent sans rime venant s intercaler. Disons que c est comme sien musique tu faisais quatre fois exactement la même note. Il faut donc éviter, en général tout du moins.

C est la chose principale que j'avais à redire ici. Pour ne pas aller trop loin trop vite.
Sinon, le texte est en soi plutôt pas mal. Surtout pour un premier.
"Seul dans la sphère de mon dépit" par exemple ce vers est sympa. Le rythme en est bon. Il y a une bonne cohérence des sons. Et j aime bien l utilisation de sphère, la ou le lieu commun aurait je pense prefere "bulle". Mais sphère est beaucoup mieux.



Quelles règles as tu voulu respecter, s'il y en a, dis voir ?

Commentaire assez succinct, mais je dois y aller, et pas besoin d y aller trop fort jecrois

J'ai compris je pense.
Les conseils/informations que tu me donnes sont exactement ce que j'étais venu chercher.

Mon premier paragraphe à le parkinson de la rime si je comprend bien. (j'ai presque envie de mettre "hihihihi" mais ça serait malvenu   )
Pour l'arranger, j'imagine qu'il me faut changer les sonorités. N'y a-t-il pas aussi, comme tu me l'a bien indiqué, un problème de rythme ?

Typiquement là :


Je sais pas si c'est l'utilisation du "on" qui est maladroite ou si c'est dû à un problème de nombre de "pieds".

Pour l'écriture je n'ai absolument suivi aucune règle. J'ai pris une feuille, j'ai écrit vingt mots qui me passaient par la tête et j'ai essayé de les mettre en poésie.

Lorsqu'on fait un poème, doit-on faire dans un même paragraphe des vers ayant le même nombre de pieds ? Qu'en est-il de la ponctuation ? Peu utile, indispensable ou pratique ?

Tu as parlé aussi de cohérence des sons, je crois comprendre mais j'ai un peu de mal à le faire.

En modifiant un peu le premier paragraphe, j'obtient ça :

Ok, après une grosse demie-heure de correction, je me rend compte que modifier son travail, c'est pas toujours évident...





Merci en tout cas !

La bienvenue, évocation poisseuse des Krakens.
La poésie étant pour moi ce que l'iPod est à la poule, je laisserais mes compatriotes vaguement virtuels s'épandre à ma place. Sache en tous cas que d'un côté, c'est beau et de l'autre, c'est bien.

A dans bientôt, donc.

Alors déjà, petit lexique :


Un paragraphe est une strophe
Une ligne est un vers
Une syllabe est une syllabe, et pas un pied. Les pieds, c'est saxon.
Les règles qui régissent ces choses s'appellent la métrique.


La ponctuation, comme TOUT le reste, doit avoir un but. Si tu n'en mets pas, pourquoi ? Si tu en mets, pourquoi ? Si dans une partie du texte tu en mets et dans l'autre pas, pourquoi ? mais dans la majorité des cas, je te conseille que tout le texte soit uniforme sur cette question là, dans un premier temps tout du moins.

Un vers, une strophe, un poème, ce ne doit pas être autre chose qu'une phrase classique. Autrement dit, les tournures "de licence poétique" sont généralement à éviter. On peut se détacher de la grammaire littéraire, mais dans la majorité des cas ça sonne pas très bien.

Ce qui nous amène à "image d'une feuille....." Ca sonne mal pour deux raisons : c'est le seule paragraphe où il n'y a pas de ponctuation, donc on s'attend à lire en enjambement (pas de ponctuation à la fin du vers, donc on lit la suite comme si la phrase continuait). Sauf que non, visiblement c'est une autre phrase. Ou alors si c'est la même, elle ne veut rien dire en grammaire française. Et alors un "qui" à la place du "on" peut être intéressant. Image d'une feuille sans plume qui peut se perdre dans la brume d'un nous qui n'existe plus. Ca sonne pas trop mal, au final. (ah, et virer le "sa" de plume, je trouve ça mieux mais c'est personnel)

La première version de la première strophe était presque meilleure que la seconde à une nuance près. La V1 est séparé en deux temps, avec des rimes plates, etc. Mais les deux premiers vers sont plutôt sympa. La V2 la tentative d'alterner les rimes marche bien, du coup, mais il est écrasé par les participes présents. C'est dommage mais pas non plus ultra gênant. (et ressasse sans cesse mes démons, c'est indigeste, par contre, car il y a rien entre l'assonance en "s" pour faire rebondir le rythme)

Qu’en est-il de toi si moi se chu ca je comprends pas DU TOUT.



Modifier le travail c'est pas évident non, surtout qu'en général pour se plier à la forme il s'agit de changer le fond, et c'est dommage. Après, il faut trouver à dire mieux ce qu'on voulait dire d'une certaine manière. Ou d'envoyer paître la forme.

Après, question de fond, et d'images, dans ton premier paragraphe tu commences avec une ambiance très calme, très solitaire, etc, et ensuite vient un feu d'artifice qui laisse tout paraître sauf cette solitude, avec cette histoire de démons libérés, de prince de l'oubli. C'est tout sauf "calme", du coup ça vient briser l'effet qui était pourtant pas mal mené juste avant.
Pas que l'idée soit à jeter, en réalité. Mais ça peut avoir sa place dans une autre strophe.

Bien le bonjour sur nos terres !  

Je te souhaite la bienvenue Lencre.
J'espère que tu apprécieras le mélange des genres que nous proposons. Certains d'entre nous s'activent actuellement pour que Ter Aelis soit encore plus pimpant et réponde le mieux possible à nos attentes. Si tu restes parmi nous, tu verras bientôt les nouveautés.
J'espère te voir apparaître dans nos cités prochainement.
Si tu as besoin d'aide, n'hésite pas à me faire signe. Je te guiderai avec plaisir.

Je me répète : merci pour cet accueil. Je sais pas si vous l'avez bosser en milieu clos, mais ça fait son effet. J'ai presque envie, déjà, de tous vous faire un câlin.

Chikoun, je t'apprécie déjà ! Tu vois juste, du coup j'y vois plus clair.


Alors,


Oui, tu as raison, c'est plutôt "Qu'en est-il de toi si moi j'ai chu ?" mais ce n'est plus correct. Il faudrait mettre "Qu'en est-il de toi si moi je chois ?" Et là, voilà. Fail.

Le texte traite de la schizophrénie, je sais pas si tu l'avais perçu. Je sais d'ailleurs même pas s'il est habituel d'expliquer ses poèmes... Je pense que si on doit en venir à l'expliquer, c'est qu'il est pas abouti. C'est le cas du mien, du coup je peut me permettre.   

Mon ambition est de définir (presque décrire) une crise. La première strophe traite de l'isolement et du début de la crise, la seconde du problème posé par la double personnalité au moment même d'une crise et enfin la dernière dresse le bilan après coup. J'aurais "presque" aimé y voir une sorte de chronologie. La solitude /l'isolement d'abord qui laisse place à l'intensité de la crise. On retrouve à la fin le malade dans la position de Rodin à dresser le bilan de sa vie qui ne peut être simple.

Du coup, "Qu'en est-il de toi si moi je chois ?" pose la question de savoir si le skyzophrène trouve son identité dans sa personnalité "consciente" ou s'il se construit aussi avec une partie plus inconnue faisant tout de même partie de lui...

J'ai imprimé tes conseils par contre mon cerveau est fatigué. Du coup même avec mes deux mains, je vais pas être efficace. Je le remet à demain.

Citation :

Chikoun, je t'apprécie déjà ! Tu vois juste, du coup j'y vois plus clair.

Ca c'est parce que tu le connais pas encore

Chikoun est un véritable tyran aigri, égocentrique, vulgaire, misogyne et c'ets l'un des plus grands trolls de cette communauté (un peu comme moi et un autre coréen de ma connaissance, mais ça tu le découvriras bientôt ^^)


Je t'invite à présenter tes autres textes ou le travail sur ce premier dès à présent dans un sujet que tu pourras ouvrir toi-même dans notre bibliothèque consacrée à la poésie

Bonne continuation

Non je n'avais pas vraiment pensé à la schizophrénie. Ce nous me faisait plus penser à une peine de coeur (l'oubli, la solitude, tout ca), mais il pourrait très bien se lire sous l'angle de la schizophrénie. Ca peut être là que rentre en jeu le titre, qui vient donner une clef de lecture. Un titre type "Schizophrénie" serait peut être un peu trop direct, mais il doit être possible de trouver quelque chose qui y fasse penser.


Ou des éléments plus directs, dans le texte. Pourquoi ressasserais tu tes démons, plutôt qu'écouter, entendre. Ce registre de la voix qui peut faire penser à cette "seconde voix" comme on décrit souvent la schizophrénie ? (à tort, plus ou moins, mais c'est une solution)

Ton schizophrène, il détruit, vraiment ? Ou peut-il peut-être diviser ? Diviser le "je" comme la maladie divise l'être en question ?

Tu fais bien j'imagine de voir ton poème comme une histoire qui se déroule, et que chaque strophe est une étape de l'histoire. C'est une très bonne réponse à "pourquoi je change de strophe ?".



Pour ce qui est de l'explication du poème, voilà une question plutôt intéressante. Je citerai cette citation que j'aime beaucoup de Paul Valéry : " La plupart des hommes se font une idée si vague de la poésie qu'il prenne ce vague même de leur idée comme définition de la poésie. "
On peut écrire quelque chose de vague, mais il faut savoir pourquoi, il faut savoir comment, dans quel but, et savoir doser. Si le texte, de manière générale, est un message de l'auteur au lecteur, puis du lecteur à l'auteur, et que parfois ce retour du lecteur n'est pas le message qui a été envoyé auparavant, il peut être intéressant que l'auteur donne de nouvelles pistes à la compréhension de son texte. Le texte n'aura pas rempli son rôle avec ce lecteur là, mais ce n'est pas forcément le cas de tous, et peut être qu'avec de nouvelles clefs il pourra percevoir ce message. Un autre texte venant compléter le premier ? Une discussion, une explication ? Une modification du texte en question ? etc




Pour ce qui est de l'accueil, eh bien c'est comme ça tout le temps :DEn tous cas, n'hésite pas à venir voir ce qu'il se passe ailleurs dans ce forum. Et à commenter ! Il n'y a pas de petit retour, de mauvais retour, etc. Tu as le droit de dire juste que tu aimes, ou que tu n'aimes pas, sans trop savoir pourquoi. "J'aime bien, ça m'évoque des choses" "J'aime pas, ça me met mal à l'aise" ou "J'aime pas, je sais pas dire pourquoi, mais cette épaule je la trouve bizarre" L'essentiel est de rester courtois, et puis c'est à peu près tout. On apprend aussi en commentant, en discutant ! ^^


PS : dvb (ou q^p, as u wanna), je refuse de me faire ainsi troller par ce troll infâme, et je ne te nourrirai pas, vil gobelin. Retourne dans ta caverne, ours !