A la recherche de vérité...

C'est un appel au secours? :silent:

J'ai beaucoup de mal à me sentir dans la peau d'un type enfermé dans un asile dans ton texte...Il est tout ce qu'il y a de plus banal: prétentieux, mièvre au possible, ingrat, pas très malin. Tout cela, c'est très loin de la folie.
Et puis, il manque des mots dans tes phrases, des conjugaisons, etc...mon niveau d'ortographe est assez faible mais je l'ai tout de même remarqué, tu devrais faire plus attention. Relis-toi, on sent à 100 lieues que tu ne t'es pas relu attentivement.
Après Maupassant et Flaubert je te conseille N.Boileau:
"Hâtez-vous lentement et sans perdre courage;
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage.
(...)"

Le personnage de mon texte n'est pas enfermé, justement.
Il l'a été mais ne l'est plus...
Il n'est pas "fou" non plus.
Il est juste incompris et seul.

Par contre, je ne comprends pas ce que tu veux dire par :

Citation :

Et puis, il manque des mots dans tes phrases, des conjugaisons, etc...mon niveau d'orthographe ( ) est assez faible mais je l'ai tout de même remarqué, tu devrais faire plus attention.

J'ai relu attentivement (enfin je crois) et je ne vois pas où il peut manquer des mots...

Oui, pour les mots qui manquent j'ai sans doute dû fumer un peu trop de champignon, je ne retrouve plus la phrase que je soupçonnais d'un tel crime :face:

Parcontre j'insiste: tu dis bien que ton personnage est fou, qu'il a été enfermé. Alors peut-être que pour toi il n'est pas fou, que c'est juste un grand incompris sans amis, mais dans ce cas....
On interne pas des gens comme ça...Nop nop, Narmacil, même si les parents du type en question le voulaient, ils auraient eu bien du mal à envoyer leur fils à l'asile si celui-ci ne souffrait pas réellement de troubles psychiatriques très graves. On envoie dans un asile deux grandes familles de personnes.

La première est constituée de personnes qui sont victimes d'un malaise mental grave et qui, dans cet asile, seront pris en charge et recevront l'aide et l'affection nécessaire pour vivre plus ou moins heureux, ce qui ne serait pas forcément le cas à l'extérieur de l'asile. La deuxième famille est constituée de personnes qui sont elles aussi victimes de troubles psychologiques graves mais qui, de par ces troubles, risquent de commettre des actes dangereux pour les personnes de leur entourage.
Ton personnage décrit fait donc partie d'une de ces deux catégories.

Autre détail qui gêne, tu dis qu'après s'être fait interné sur dénonciation, il ressort au bout de 13 jours! C'est tout simplement impossible, on ne relâche pas quelqu'un soupçonné de troubles psychiatriques en moins de 2 semaines, surtout quand cette personne a un casier comme celui-ci derrière soi! Il faut au bas mot 2 mois et demie pour convoquer la commission d'experts, qu'elle délibère, qu'elle rende sa décision et qu'après quelques ultimes tests elle soit appliquée.

Aussi, pourquoi cette mère le dénonce-t-il? Elle ne peut savoir qu'il a eu un passé psychiatrique puisqu'il est en fugue depuis 7 ans déjà et que rien ne le rattache à son passé.

Bref, tout ça est un peu confus, et un peu de temps en plus consacré à ton texte permettrait sans doute au lecteur de mieux en saisir le sens.

J'ignorais les détails techniques et administratifs des asiles... Même après avoir fait des recherches...
Je corrigerai.

Quand au fait de la dénonciation... Quand un "fou" (ou dirons-nous "un interne du service de psychatrie" ) s'échappe, on diffuse des portrait-robot (non ?).

Sinon, le seul trouble psychique que mon personnage a c'est une sorte de télépathie ou d'empathie avec le reste du monde, ce qui, je crois, peut engendrer certaines réactions diverses et imprévisible comme dans certains cas :

Dans un salon, les parents et le jeune homme sont réunis devant un film comique. Au moment où il ne se passe rien, il y a un grand silence et là le jeune homme se met à hurler de frayeur parce que le voisin regarde un film d'horreur... Les parents peuvent se poser des questions...

Ou encore :

Le jeune homme assiste à l'enterrement de ses parents (oui je sais je suis un peu tordu ^^). En plein milieu de la cérémonie il prend un fou rire parce que un poivrot du bar d'en face a entendu une bonne blague et qu'il est écroulé de rire... Et un moment de solitude ! Un !

Enfin voilà quoi...

Très juste pour les avis de recherche!
Seulement, après 7 ans de fugue, il est extrêment improbable, voir lachons-le mot impossible, qu'il y ait toujours des potraits-robots de l'homme publiés dans la rue. Sans doute dans les bases de données des services généraux et des services de police en général, mais à part ça....

Pour le reste, effectivement c'est beaucoup plus clair et intelligible vu comme ça Seulement, il faut nous le dire dans le texte, sans quoi nous pauvres lecteurs sommes un peu paumés et déçus...Si tu as toutes ces infos, faut nous les donner! Nous, miam miam bonnes histoires

Bon courage pour la suite :cheers: