Ces moments en ta compagnie, tes mains, ta bouche, c’est louche, comme une présence s’impose, sans crier gare, dans ces instants si doux. Pourtant heureux, le rêve est éphémère, ton départ imminent, et bientôt je te vois partir, loin de moi, loin de nous, au bout du quai de la gare.
A tes pensées envolées, à nos embrassades enjouées, à nos baisers passionnés. Au bonheur produit, à nos ennuis, à nos nuits. Mais rien ne dure éternellement, malheureusement.
Je crois, du moins je pense, ou bien j’espère, nous nous reverrons. Bien avant le nouvel an, bien après les tristes sentiments.