Les voyages dans les îles...

On peut dire que chaque personne que l'on rencontre, est comme une terre inconnue.
Alors il faut l'explorer,
Et si tu te plais,
Tu peux t'installer,
Sur la plage, si tu n'as pas envie d'aller plus loin...
Et puis tu peux aussi pénetrer la jungle.
C'est dangereux, mais ça peut révéler des trésors.

Quand ça ne te plait plus, tu peux reprendre ton bateau, et aller explorer les îles alentours.
Celle-ci, tu y reviens, ou tu n'y reviens pas.
Tu peux aussi choisir de démolir complètement la cabane que tu y avais bâtit.
Et ne plus jamais y mettre pied à terre.

Tu peux parfois vouloir rester définitivement.
Alors, tu coules ton bateau.
Comme ça tu te sens vraiment chez toi.
Mais si un jour, tu veux repartir, alors ça devient très dur, car tu dois construire un nouveau bateau.
Et forcément, tu n'y arrives pas.

Il y a des moments aussi,
C'est la tempête.
Et tu ne trouve nul part à débarquer.
Là aussi, c'est une galère, car tu manques de te noyer à chaque instant.
Et tout à coup, un île t'apparaît au loin.
Avec tes dernières forces, tu t'arraches à la mer.
Tu t'allonge sur la plage.
Le sable est fin et doux.
La tempête se calme, petit à petit.
Tu sens la caresse d'un rayon de soleil.
C'est une jolie plage, avec quelques palmiers, et la forêt, qui s'élève derrière.

Chez toi, la plage est accueillante, et la jungle est hospitalière.
Mais il pleut beaucoup.
Il pleut beaucoup...

L'idée est bien, vraiment. Le coup de l'île, de l'installation, la métaphore est belle et riche. Cependant, et oui il faut bien, je trouve que les mots utilisés sont parfois pauvres ou peu agréables. Ton texte se veut chanter mais il est bourré de répétitions qui en cassent malheureusement le rythme.

Citation :: Tu peux parfois vouloir rester définitivement.
Alors, tu coules ton bateau.
Comme ça tu te sens vraiment chez toi.
Mais si un jour, tu veux repartir, alors ça devient très dur, car tu dois construire un nouveau bateau.

Plusieurs choses, déjà le mot bateau est pas terrible, et c'est la troisieme fois au moins qu'il apparait, utilise "navire", "radeau", "barque", "embarcation" ou je ne sais quoi mais évite les lourdes répétitions. Ensuite, ce qui est dommage, c'est le côté rugueux du "tu" que l'on voit trop souvent:

Citation :: Tu peux parfois vouloir rester définitivement.
Alors, tu coules ton bateau.
Comme ça tu te sens vraiment chez toi.
Mais si un jour, tu veux repartir, alors ça devient très dur, car tu dois construire un nouveau bateau.

Ce "tu" que tu utilises tant est placé de manière trop rigide, les construction suivent toujours la même trame et cela ajoute encore au sentiment de répétition. A travailler.

Citation :: Et puis tu peux aussi pénetrer la jungle.
C'est dangereux, mais ça peut révéler des trésors.

...

Il y a des moments aussi,
C'est la tempête.
Et tu ne trouve nul part à débarquer.
Là aussi, c'est une galère, car tu manques de te noyer à chaque instant.
Et tout à coup, un île t'apparaît au loin.
Avec tes dernières forces, tu t'arraches à la mer.
Tu t'allonge sur la plage.
Le sable est fin et doux.
La tempête se calme, petit à petit.
Tu sens la caresse d'un rayon de soleil.
C'est une jolie plage, avec quelques palmiers, et la forêt, qui s'élève derrière.

C'est n'est pas beau!!!!!!!! Vraiment, c'est une façon très "parlée" de t'exprimer. Tu tu n'aimes pas "Cela est", alors utilise donc une nouvelle forme, ou reconstruit totalement ta phrase.

Citation :: Chez toi, la plage est accueillante, et la jungle est hospitalière.

Répétition inutile du "est"... Elude, tu peux dire "et la jungle hospitalière" ce qui serait plus agréable et fluide.

Citation :: On peut dire que chaque personne que l'on rencontre, est comme une terre inconnue.
Alors il faut l'explorer,
Et si tu te plait,
Tu peux t'installer,

Passage du "On" au "Tu"? Comment? Pourquoi? Je comprends, ou plutôt je devine, par la suite mais cela reste flou. Aussi, l'entrée en matière est un petit peu trop brusque, rapide et fracassante, ce qui va à l'encontre du poême qui tend plutot à démontrer cette phrase lentement et posément. Alors pose cette base avec pertinence sans retourner les chaumières. :pirat:

Voilà, un texte qui a le mérite d'être original mais qui a le démérite de ne pas être parfait. Je te conseille vraiment de le reprendre. Aller Zou! Au travail! :heart:

Eh bien au risque de paraître défensif, je te dirais que je ne recherchais pas vraiment le lyrisme, et que la majorité des répétitions sont recherchées.

C'est un monologue, pas une poésie !

Tu l'as dit toi-même, c'est un language parlé, et c'est l'effet recherché $Clin d\'Oeil$ .

L'ayant écris très spontanément, j'ai choisi de ne pas le retravailler, de le laisser ainsi.

Merci tout de même pour tes critiques .

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