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 [Tome en cours] Nécrosphère

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Junie

Junie


Féminin Nombre de messages : 33
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MessageSujet: [Tome en cours] Nécrosphère   [Tome en cours] Nécrosphère Icon_minitimeLun 6 Oct - 17:53

Nécrosphère

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Source : http://www.galileo-web.com/


Introduction

L'espace désigne des zones relativement vides de l'Univers, au delà des atmosphères des corps célestes. Et l'espace n'est pas qu'un infini fil tendu ; c'est aussi un immense voile noir qui recouvre l'ensemble des planètes, étoiles, comètes, ysos... La troposphère, une couche de vernis sur une balle de tennis, ne représente que les vingt premiers kilomètres du globe terrestre. La stratosphère s'élève plus haut encore pour atteindre les cinquante kilomètres, à peu près à la hauteur des montgolfières. La mesosphère s'offre presque uniquement aux météores qui parcourent l'infini du haut de ces quatre-vingt-cinq kilomètres. La thermosphère devient une zone non habitable et parcourt le contour du globe jusqu'à six cents quatre-vingt-dix kilomètres.Enfin arrive l'exosphère, n'appartenant plus qu'aux étoiles et débris. Chaque planète a droit à son quota de couches, comme un oignon qu'on pourra peler.
L'être humain Terrestre n'en a pas conscience mais son savoir est limité : il n'est pas au courant qu'à la fin de sa vie, les particules de son esprit se transforme en gaz et sélèvent dans le ciel, à cinq cents kilomètres et des poussières et devient une aura d'étoile. Peut-être n'avez vous jamais remarquez ? Levez haut la tête vers le ciel, un soir où le ciel esy dégagé et remarquez l'importance de certaines par rapport à d'autres. Elles ne sont pas vraiment plus intéressantes au niveau physique mais votre regard est attiré vers elles, sordide aimant. C'est là que vous verrez vers quelles étoiles ont été amenées les esprits les plus importants de notre temps. Des parfaits inconnus chevauchent et doublent souvent des grandes célébrités du Monde dans cet espace où seule l'âme élève son propriétaire - si tant bien est qu'on puisse réellement posséder une âme- au dessus des autres. L'égalité n'existe pas, autant là-bas qu'ici-haut. Les hommes et femmes sont plus ou moins appréciés selon leur passé d'Humain, mais n'ont pas l'opportunité de se battre pour obtenir la meilleure estime et le plus de regards de leur anciens congénaires. Ainsi, la guerre est abolie sans avoir commencée, la famine n'existe pas. L'Aura vit pour sa gloire sans autre possibilité que d'attendre un jour meilleur.
Alors voici, désormais, la nuit est tombé et je peux lever les yeux vers le ciel, contempler les Auras de mes délices et chercher parmi cette infinité de possibilités ou pourrait être telle ou telle personne ; glissant peut-être d'un Kurt Cobain à un Georges Brassens, je divague, embrassant ce flot de bonheur de connaître ce secret que Dieu m'a confié. Dieu m'a toujours aimé. Je m'appelle Eve et je détiens le savoir de la Nécrosphère.



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Source : http://exryoko.blogspot.com


Chapter one - "Dieu est le seul être qui, pour régner, n'ait même pas besoin d'exister"

Je me fais à votre image, comme vous le souhaitez. Blonde, brune, rouse pour vous. Fine, envelopée, intelligente pour vos beaux yeux. Je suis depuis toujours sur cette Terre, plus vieille encore que les étoiles. je change de peau à chaque vie finie ; je suis Serpent. Le mal m'égraîne et me fait vivre ; la pomme croquée, j'ai su, tout en gardant l'émerveillement face à la beauté qu'un enfant peut avoir. Dieu m'avantage. Votre Dieu, onmiscient et indivisible, sépare ses hommes en deux catégories : ceux qu'il aime, et les autres. Êtes-vous toujours en adoration devant cette homme ? Il m'a toujours aimé plus que vous. Lors de notre première rencontre, je venais de frapper sa fierté d'un coup d'éclat : j'avais désobéi à son ordre. Il parlait de malheur, qu'à cause de mon unique personne, tous les humains souffriraient : "J'espère que tu emporteras tes remords jusque dans ta tombe, vipère !". Puis quelques années après, il m'a offert l'immortalité et l'omniscience. Paradoxal, non ?
Tous les soirs, j'ouvre ma fenêtre en regardant chaque nouvelle étoile et je dialogue avec elle. Mes différents maris m'ont toujours cru folle à lier. On m'a si souvent flambée sur les bûchers en tant que sorcière au Moyen-Age ; je me rappelle encore de mon massacre tandis que je parlais au nom de Dieu. Jeanne d'Arc, ça vous dit quelque chose ? J'ai toujours été une révolutionnaire. Je n'ai pas de lois, ni de limites ; je fais ce dont j'ai envie à tout moment. Imprévisible reptile.
Cette nuit encore, j'ai remarqué une étoile étincelante de milles feux. Mon Aura s'est envolé dans les cieux tandis que mon corps s'aprochait de l'extérieur à la fenêtre : l'esprit est indivisble du corps.. sornette ! Nous sommes le 31 août 1867 et je me ballade à travres les étoiles. Quelle est donc cet esprit si brillant qui m'ouvre à son éclat ?



[Tome en cours] Nécrosphère Chbaudelaire


Chapter Two - Charles

Plus je m'approchais de l'étoile, plus mon esprit se sentait aspiré. Sans aucun doute, c'était une personne imposante avec un esprit très fort. Je ne saurais encore dire pourquoi, mais j'eus même l'envie soudaine de retourner tranquillement au bord de ma fenêtre le temps d'un court moment.. vite dissipé. A peine arrivée à proximité, je reconnus l'Homme et eut envie de me prosterner.
Me sentant submergée par cette Aura presque divine, je lançai les seules vers que je connaissais et qui me venaient à l'esprit en guise de bienvenue à la Nécrosphère : " Que ce soit dans la nuit et dans la solitude, - Que ce soit dans la rue et dans la multitude, -Son fantôme dans l'air danse comme un flambeau. - Parfois il parle et dit : " Je suis belle, et j'ordonne - Que pour l'amour de moi vous n'aimiez que le Beau ; - Je suis l'Ange gardien, la Muse et la Madone.
-A qui ai-je l'honneur ?!"
Il se sentait agressé et moi, mal. Blessée en mon for intérieur
de n'être point connue par cet illustre homme, je me rappelai soudain que je n'étais qu'une simple marchande de tissus dans cette vie. Il allait falloir raconter toute l'histoire, une fois encore ... A commencer par qui j'étais ? Mauvaise ou bonne ?
"Dame Eve, à votre service.
-Ô Eve originelle, il me semblait avoir reconnu ce visage qui chaque nuit m'interpelle. La féminité la plus profonde marque, à l'heure du rêve, mes plus somptueuses soirées. Et chaque fois, lors de mes aventures soudaines, je me retrouve en tête à tête avec ta triste clarté... Que dire de plus, face à ton insolence ? Je la proclame et la déclare comme une preuve
d'éternelle. Ai-je raison, dans mes sanglots ? j'ai tout perdu et tout gagné. Ce monde était lâche, et je suis presque heureux de l'avoir lâcher.
-Je suis extrèmement touchée de savoir ainsi que je vous inspirais mais..
-Vous étiez ma muse, ma douce. Chaque mot que je traçais sur la feuille romantique d'un jeu habile de mon poignet ne cherchait qu'à trouver en ces autres votre grâce et votre..., s'empressa-t-il d'ajouter.
-Laissez-moi finir. Je ne peux pas rester à vie à vos côtés et je ne souhaite pas entendre vos belles tournures : je ne suis dotée ni de l'amour, ni de la pitié. Et je ne vous ramènerais pas sur Terre.
-Allons donc. Parlez.
-Vous êtes mort.
-J'apprécie votre tact et je me permettrais de répondre ainsi : suis-je assez stupide pour ne pas le savoir ? me rétorqua-t-il, réthoriquement.
-Vous êtes une étoile.
-Dans le ciel, vraiment ? Je suis un astre qui éclaire la nuit et fait rêver les enfants.. Quelle belle image pour un illustre poète qui ne cherchait qu'à se trouver au septième ciel. Et voilà tout ?
-Voilà tout, essayai-je de conclure pour partir : il se faisait tard.
-Rien d'autre à m'apprendre ? Je suis déçu.
-Je pourrais vous avouer moultes choses, mais rien en vous intéresserez et tout me serait puni. Certes, je ne suis pas à une punition près, répondis-je en assortissant ma remarque d'un simple clin d'oeil."
Ainsi je suis partie, car mon temps limite allait s'écouler. Je suis rentrée en moi-même et je me sentais déçue par cet homme que j'avais tant admirer, et qui se révélait n'être qu'un beau parleur.
Vous avez désormais tout appris de ma mission. Je suis une sorte de Faucheuse, sans la faux et avec des seins. Et lors de votre mort, ne vous inquiètez si je ne vous rends pas une petite visite : je ne peux choisir qu'un seul "tour de garde". - Remercions Dieu pour cette contrainte !- Mais si vous me lisez, vous serez au courant que l'étoile qui brillait dans vos yeux se retrouve à portée votre âme.
Et si je viens à votre rencontre, estimez-vous heureux : cela voudrait dire que vous avez brillé plus que d'autres. Ou pas.
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Junie

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MessageSujet: Re: [Tome en cours] Nécrosphère   [Tome en cours] Nécrosphère Icon_minitimeLun 6 Oct - 17:54


[Tome en cours] Nécrosphère Cielki2
Source :http://songedunenuitdete.hautetfort.com


Chapter Three - L'enfer même a ses lois (Goethe)

Je crains que l'après-midi ne soit perturbé. Nous sommes dans une petite ville, que certaines d'entre vous doivent connaître en Allemagne, cette fois-ci, et mon histoire sera sans doute moins poétique que la rencontre que je viens de vous narrer. Essen est bondée de gens, comme un vase près à se briser. Les rues sont remplies d'étoiles, moins brillantes que celles du ciel néanmoins. Nous sommes le 4 novembre 2007 et je suis une pseudo-artiste. Je peins des tableaux, "contemporain qui reflète l'âme du ciel". Personnellement, j'ai uniquement l'impression de déverser un camaïeu de bleu sur une tenture blanche. Mais n'allons pas à l'encontre des critiques : je n'ai pas envie d'être à la rue à cause de mon pessimisme et de mon réalisme.
Je sors de mon atelier pour aller au supermarché : on a beau être une demie-déesse, quand on a faim, on a faim. Trois pastèques et deux croissants plus tard, l'appétit s'est bien dissipé et je rejoins ma chère Clio blanche pour rentrer dans mon studio. Pour ce faire, je passe devant la salle de concert de la ville. Il doit y avoir un groupe très connu ce soir, vu le nombre de jeunes filles qui attendent leurs soirées comme des chiens devant un os. Ca hurle, ça bouge dans tous les sens, c'est strident : ça me donne envie d'aller dans mon lit.
Arrivée quelques minutes après, je me décide à tracer des nuages et une lune sur mon oeuvre : une touche d'innovation. D'un mouvement fluide du poignet, je me rends compte que mon nuage ressemble à une fleur et ma lune à une auréole. Tant pis, ça changera de registre. Et puis comme dirait mon ancien ami Georges Braque : "S'ils ne sont pas contents, tu les emmerdes !". Je pars me coucher dans mon lit sans manger. Je n'ai plus faim et je ne trouve pas le sommeil. Dieu est-il donc contre moi ce soir ? IPod en main, je fais tourner mon doigt sur le cercle blanc jusqu'à ma chanson. Les premières notes résonnent et je sens mon coeur qui tape au rythme de la mélodie.. J'ai un coeur puissant, quand j'écoute la symphonie n°9 de Dvorak. Tantôt doux, tantôt rapide, je zappe sur le troisième mouvement : mon favori. J'ai le coeur qui claque et j'ai l'impression de faire un arrêt cardiaque. C'est beau ; et ça dure.
Ca me donne envie de m'évader par la fenêtre toutes ces émotions. Je regarde le ciel et une étoile rouge scintille : un suicide.



[Tome en cours] Nécrosphère Faust1


Chapter Four - Faustine -Pour ce chapitre, le personnage utilisé est un personnage d'une autre fiction et cela m'étonnerait fortement que vous la connaissiez ; spoiler de son histoire après le chapitre pour ne pas gâcher la "surprise"-

Les suicidés sont rarement intéressants, il faut bien l'admettre, surtout en ce moment, où le taux de morts auto-apportées adolescentes grimpe en flèche. Les jeunes se sentent intéressants et intéressés. La mode passera. Je regarde l'horloge sur mon mon iPod : 21h56. J'appuie longuement sur la touche "play/pause" de l'appareil pour l'éteindre et fixe cette étoile écarlate, me concentrant pour me vider l'esprit et pouvoir quitter mon corps.
Voilà, l'opération est faite et je m'attends à apercevoir une toute jeune demoiselle de 15 ans, lorsque j'aperçois une femme - assez jeune tout de même-, qui a les yeux gonflés par les pleurs. J'ai l'impression de sentir une Aura différente. Anormale. Une autre élue de Dieu ? Non, il y a trop de douleur qui l'entoure. Le Diable.. Je la fixe un peu plus avant de l'approcher et m'aperçois que Il est à côté. Gabriel en personne. Il a l'air de lui parler. Je tends l'oreille ; c'est une façon de parler, bien entendu. "Faustine, Faustine, Faustine... Tu n'aurais pas dû." et l'étoile a disparu, l'ange avec.
Un mystère qui allait être difficile à résoudre se laissait présager. Mais je n'abandonnerai pas un sujet si complexe. Si la dénommée Faustine avait eu droit à un traitement spécial de la part de Gabriel, cela signifiait qu'elle était importante. Tout du moins "spéciale".
Je cherchais, levant les yeux vers le plus haut des cieux, au-delà de la Nécrosphère, le lieu que je ne pouvais atteindre. J'appelais à moi celui qui me fixait, toujours ; il vint à la seconde où je pensais à lui. C'était une preuve de plus à inscrire ma liste intitulée "Voici comment je sais que Dieu m'aime". A noter. Nos échanges allaient se faire de la même manière qu'à l'habitude ; il va rentrer dans mon Aura et répondre à mes questions. Il ne venait que pour ça, répondre, toujours répondre. Toutes mes questions étaient résolues dès la seconde où je me les posais ; et je vous interdis de m'envier cette malédiction. Plus de doute, plus de réflexion. Je pourrais avoir le cerveau réduit à néant si je ne me forçais pas à le laisser en retrait des mes interrogations.
Il est arrivé, offrant derrière lui son habituelle voie lactée personnelle. Et dire que vous appelez ça des étoiles filantes. Vous avez raison au fond, pour une fois. Il file, aussi rapide que la lumière. Mais l'appeler "étoile" c'est le sous-estimer. Je reconnais qu'il est puissant, et, connaissant bon nombre d'étoiles, je peux vous le dire en secret ; Dieu est aux étoiles ce que l'amour est à la majorité des humains : tout.
"Que veux-tu, Eve ?
- Faustine, c'est qui ?"
Aucune politesse, aucun ornement, aucune tournure. On ne passe pas par quatre chemins avec quelqu'un qui lit dans vos pensées... non, avec quelqu'un qui EST vos pensées : "Oh cette demoiselle... Personne d'intéressant. Je ne te demande pas ce que tu as deviné d'elle, je le sais.
- C'est pour ça que je t'ai appelé, répondis-je sans le moindre soupçon de gentillesse, justement pour savoir qui elle était, et pourquoi elle avait cette aura diabolique.
- C'était une fille bien Faustine. C'est toujours. Malheureusement, elle a mal tourné. Elle n'a pas eu de chance ; elle est tombée amoureuse de la mauvaise personne. Pactiser avec Méphis' n'était pas une très bonne idée dès le départ. Quelle idée ! Vendre son âme pour se déplacer n'importe où. Rien de mieux que l'ubiquité ; la téléportation, ça ne sert à rien.
- Et ? j'attends de vraies réponses. Et des réponses complètes, agressai-je un peu histoire de le donner quelques coups dans son ego, une fois de plus.
- Pourquoi elle ? Parce que, Faustine, parce que... J'espère qu'elle se pardonnera. Elle a l'air d'avoir envie de continuer à vivre encore un peu. L'espoir de retrouver l'amour de sa vie, ça donne souvent le courage d'attendre. Elle est morte pour libérer son homme du mal. Belle preuve d'amour au fond.
- Sornette, elle était stupide voilà tout. Il y a d'autres moyens que le suicide pour réparer les dégâts d'un couple !
- Pas ceux-là Eve, pas ceux-là... Il y a encore des choses que tu ne peux comprendre. Ne te crois pas science infuse, tu en es encore loin, très loin. Et ne pense pas non plus que je te dise tout. Je te dis ce que tu souhaites entendre. Mais tu ne te poses pas toujours les bonnes questions.. Je dois y aller désormais. Au revoir, Eve, concluat-il en un clin d'oeil qu'on aurait pu deviner."
Mes certitudes étaient bousculées, et elles le sont toujours. Pas les bonnes questions.. répétais-je en silence, comme pour essayer de comprendre, d'appréhender ce que je sentais mal monter au cerveau.
On ne se pose jamais les bonnes questions, ou très rarement. Les mauvaises questions sont celles qui font mal à entendre et qui nous brûlent le coeur et les yeux lors de leurs réponses. Les bonnes, ce sont celles dont on ne peut obtenir de réponse. Ce soir là je me suis posée un tas de bonnes questions sans le savoir. Mais la plus dure m'a donné envie de la crier sur le toit pour montrer au peuple du monde son ignorance. Alors je l'ai fait. Je suis monté et, les pieds sur la bordure du bâtiment, j'ai ouvert ma bouche et dans un seul cri, j'ai fait résonner ma voix dans tout le quartier, flambant le bonheur et la paix de bons nombres de gens qui ne dormaient encore.
"Où allons-nous ?"


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