Les portes.

Je suis chez Pia, je n'ai pas le temps d'accorder à ce texte l'attention qu'il mérite, mais ce dernier me confirme dans mon premier sentiment : la poésie sur Ter Aelis, c'est Chikoun.

Pour une fois que je suis daccord avec Gold, ca merite un post.

Putain, L'équilibriste, le danseur de corde, que Nietzsche vola à Montaigne qui l'avait dérobé à Rabelais dans Gargantua, géant. Rabelais nous montre un Gargantua dansant sur les tours de Notre Dame, Nietzsche lui met dans le prologue de Zarathoustra, un danseur de corde, qui tombe, d'avoir voulu vivre dans le ciel, dans l'idéal, dans l'idéologie, dans l'idole..
Même Octave dans les Caprices de Marianne de Musset se défini ainsi, magistral.

A lire, tout, tout comme ce poème !