Il y est dans la mer une immense montagne,
Couverte de verdure et pleine de poissons ;
Symbole de la vie, au large de l'Espagne,
Où il n'est pas besoin de quelconque moisson.
La vie se suffit seule en ce lieu de fierté,
Où tout homme est exclu, où il ne peut rien faire ;
La faune y règne alors en parfaite équité,
Sans nos institutions, qui brimeraient leurs pairs.
L'homme, bien que mauvais, a aidé la nature,
En sacrifiant des vies, pour marquer la rupture ;
Pour une fois que je peux ne faire qu'approuver.
Ce paradis marin n'eut en faits pas été,
Si une épave en bois ne s'y était trouvée,
Exemple des excès de notre société.