Le hurlement strident et constant
Me torturait sans cesse les tympans
M'obligeant à détourner toute mon attention
En dehors de la télévision.
Pauvre bête martyr de la tempête
Qui pleure sans arrêt son malheur.
Je ne pouvais distinguer sa silhouette
Au milieu des arbres et des fleurs.
Je m'engouffre dans le jardin,
Ses yeux brillent dans l'obscurité
Telles des amandes dorées,
Son regard m'épie et me craint.
L'animal prend peur et détale,
Je ne lui voulais aucun mal,
Mais il disparait dans la nuit
Absorbé à jamais dans l'oubli.
PS: Voilà je voulais juste raconter l'histoire qui m'est arrivée avant hier soir. Un chat miaulait dans mon jardin, sans arrêt. (Je pouvais pas le prendre chez moi j'ai déjà un chat, et d'ailleurs il campait devant la porte à grogner comme un fou) Il était noir, yeux jaunes (je voyais que ses yeux d'ailleurs tellement il faisait nuit, ça me flanquait les jetons ^^') et il ne voulait pas que je l'approche. Mais il restait au fond du jardin à miauler... Je pouvais concrètement rien faire, je lui ait mis un bol de croquettes et installé un nid douillet dans le garage ou il pouvait entrer... Aujourd'hui je vois une affiche : Chat disparu noir, yeux très jaunes, collier rose... :/