Le bonheur perçu dans une gare férroviaire

Y a t-il un mot qui définisse l'amour réel?
Un mot d'émerveillement, où il serait bon de rester et de flâner en toute impunité.
Au fil des jours et des envies, y a t-il quelques bribes sereines ou la continence serait inexistante?

Alors, nous nous dévoilerions tel que nous sommes, des hommes, des femmes, des enfants, dont l'amour grandissant pour autrui ne serait pas atrophié par aucune norme sociétale.
Et ainsi, nous serions bien, heureux, vivant, anarchique? Peut-être bien, mais nous serions nous.

L'homme maudit l’égoïsme et proscrit les faiblesses, il entrave ses propres loi et donne raison à la guerre par envie et par frustration.
Car il s’oublie devant tant de monde, il pense trop, douloureusement, comme si le ciel lui tombait vraiment sur la tête!

A quoi bon sourire tristement? Se cacher pour pleurer alors qu'un câlin rassurant vaut toutes les solitudes?
Pour se croire modeste, bon?
Il n'en est rien, car personne n'en saurait rien.
Finalement, ça n'est que pure vanité.

Si je réfléchis à tout cela, c'est parce que je ne suis qu'un être humain, moi aussi.
Et si l'amour sincère doit être présent, qu'il arrive aujourd'hui ou se taise à jamais!
Finalement, je pense que si un petit bout de bonheur peut tuer, il peut le faire en offrant le rêve de la vie.

Qui n'en a jamais rêvé?

aikoh a écrit:

Y a t-il un mot qui définisse l'amour réel?
Un mot d'émerveillement, où il serait bon de rester et de flâner en toute impunité.
Au fil des jours et des envies, y a t-il quelques bribes sereines ou la continence serait inexistante?

 Alors, nous nous dévoilerions tel que nous sommes, des hommes, des femmes, des enfants, dont l'amour grandissant pour autrui ne serait pas atrophié par aucune norme sociétale.
Et ainsi, nous serions bien, heureux, vivant, anarchique? Peut-être bien, mais nous serions nous.

 L'homme maudit l’égoïsme et proscrit les faiblesses, il entrave ses (les siennes donc "ses" ! ) propres loi et donne raison à la guerre par envie et par frustration.
Car il s’oublie devant tant de monde, il pense trop, douloureusement, comme si le ciel lui tombait vraiment sur la tête!

 A quoi bon sourire tristement? Se cacher pour pleurer alors qu'un câlin rassurant vaut toutes les solitudes?
Pour se croire modeste, bon?
Il n'en est rien, car personne n'en saurait rien.
Finalement, ça n'est que pur vanité.

 Si je réfléchis à tout cela, c'est parce que je ne suis qu'un être humain, moi aussi.
Et si l'amour sincère doit être présent, qu'il arrive aujourd'hui ou se taise à jamais!
Finalement, je pense que si un petit bout de bonheur peut tuer, il peut le faire en offrant le rêve de la vie.

Qui n'en a jamais rêvé?

Pour commencer, une petite correction rapide.

c'est corrigé! merci erli

Citation :

Finalement, ça n'est que pure vanité.

Je trouve que le vocabulaire est parfois un peu trop froid pour le sujet abordé. Certains mots sont à mon avis trop "durs" trop poussés et donnent une impression de distanciation, comme si tu prenais beaucoup de recul par rapport aux idées que tu évoques :

continence
atrophié
sociétale
impunité
anarchique

Ca manque un peu de chaleur à mon goût, de passion.



note purement technique : les ponctuations "!" et "?" (ainsi que ";") sont précédées d'un espace (contrairement aux "." et ",")

Contrairement à ce que je peu laisser voir (enfin je pense) j'ai du mal à imaginer ce que les gens (individuellement) peuvent voir ou comprendre du bonheur par rapport à ce que la société nous montre sur le sujet.
D'ou le fait que, oui, je prend du recul pour essayer d'y réfléchir, c'est plus pratique.
Après, si mon texte est trop froid, je peu essayer de le modifier un peu.

Y a t-il un mot qui définisse l'amour réel?
Un mot d'émerveillement, où il serait bon de rester et de flâner en toute quiétude.
Au fil des jours et des envies, y a t-il quelques bribes sereines ou la liberté exploserait d'une joie sans fin?

Alors, nous nous dévoilerions tel que nous sommes, des hommes, des femmes, des enfants, dont l'amour grandissant pour autrui ne serait pas amoindrie par toutes ces normes qui nous entoures, qui nous guides.
Et ainsi, nous serions bien, heureux, vivant, con? ho oui! Car nous serions nous.

L'homme maudit l’égoïsme et proscrit les faiblesses, il entrave ses propres loi et donne raison à la guerre par envie et par frustration.
Car il s’oublie devant tant de monde, il pense trop, douloureusement, comme si le ciel lui tombait vraiment sur la tête!

A quoi bon sourire tristement? Se cacher pour pleurer alors qu'un câlin rassurant vaut toutes les solitudes?
Pour se croire modeste, bon?
Il n'en est rien, car personne n'en saurait rien.
Finalement, ça n'est que pure vanité.

Si je réfléchis à tout cela, c'est parce que je ne suis qu'un être humain, moi aussi.
Et si l'amour sincère doit être présent, qu'il arrive aujourd'hui ou se taise à jamais!
Finalement, je pense que si un petit bout de bonheur peut tuer, il peut le faire en offrant le rêve de la vie.

Qui n'en a jamais rêvé?