Un jour, un hasard, une découverte.

Année 3656, Aëdris parla ainsi :

Alors que je me promenait joyeusement sur mes pages internet de mon ordinateur, je découvris ce forum. Mon étonnement fut un des plus grands que j'ai connu.

[Qui avait bien pu créer cette merveille ?] pensais-je.

Non seuleument, les dessins de la page d'acceuil vous emmènent dans un autre monde, par leur beauté éclatante, leurs magnifiques traits simples et si compliqués a la fois, mais aussi toutes ces histoires sublimes que vous pouvez créer.

[J'aimerais avoir autant d'inspiration], dis-ai-je dans ma tête.


La mienne est bloquée a travers des récits futuristes, et je ne sais que faire d'autre.
Je viens trouver ici, d'autres personnes qui pourront sans aucun doutes m'aider.


-Vous êtes des Héros des Mots.


Aëdris, être projeté dans le futur, s'en alla doucement a travers les champs d'où tombait avec grâce, des rayons de soleil.

[Je me nomme Cyril, j'ai bientôt 17 ans, et je suis débutant graphiste et débutant rôle-playiste]. dis-ai-je aux personnes assemblées.





(J'ai surement dû faire pas mal de fautes d'orthographe, et je m'en excuse.)

Je suis vraiment nul pour accueillir les nouveaux membres, donc une fois encore je serais court.


Bienvenue à toi et j'espère que tu te plaiera en ces terres.

Bien bas.

Assis dans le près, un voyage solitaire s'approcha de moi. Il me salua et j'en fis de même.

Son nom était connu dans toute la vallée d'Elowdrin, et on disait de lui que c'étais une bonne personne.

Nous avons parler un moment et il a continué sa quête.


C'est certes un acceuil court, mais pour moi, c'est un acceuil. Merci a toi, je sens que je vais beaucoup me plaire ici.

- Merci a toi Izambard.



Après une longue réflexion, j'avais décidé de continué mon périple vers les Forêts Maudites de Wissmal.

Izambard revint, car il lui semblait que ce jeune homme semblait perdu.

Il voulait se faire pardonner de son court accueil. Il proposa ses services. Si vous avez du mal à vous faire à ces terres, passez moi un coup de plume, et j'interviendrais.

Izambard était vraiment comme ailas l'avait dit. Oui voilà, au frigo.

Assis au milieu d'un près fleuri, Aëdris voit un homme s'approcher.



[ Qu'il a l'air fort ] pensa-t-il.



-Salutation a toi Nôble Voyageur ! dit-il.



Après quelques formalitées passées, Aëdris remerçia Aillas :



-Merci a toi de t'être arrêter près de moi, je t'en suis reconnaissant et j'apprécie ton humour. Merci aussi de tes compliments, ils s'en vont toucher le coeur de mon Âme.

Schaft deboula derriere Aillas, le percuta et le fit tomber d'ailleurs, au milieu du champ de fleur du pres ou le nouvel arrivant ete assis.

D'ailleurs je savais pas qu'il y avait un pré ici .... Pourtant j'ai un copain qui travaille depuis longtemps a la narration ... Si si, c'est le narrateur d'une ame damnées, pensé y ! Pi moi, en tant que narrateur de Schaft, ba quand elle est pas la, je bois un coup avec les copains, on papote ... AIE ! Non non, d'accord je continu l'histoire !

Donc, Aillas s'affalla sur le sol (mais de maniere on ne peut plus gracieuse, rassurez vous mesdemoiselles !), alors que la belle Schaft n'eut besoin que d'une pirouette pour retablir son equilibre.

-Bonjour jeune homme ! Bienvenue en Aelis ! Ba qu'est ce que vous faites tout seule au milieu d'un champ ? Curieuse chose ... Ca vient de la ou vous venez je suppose ?

Regardant ou elle mettait les pieds, Schaft s'appercut que ledit jeune homme n'etait pas si seul que ca.

-Oh ! Salut Aillas ! Ba qu'est ce que tu fait par terre ? C'est pourtant pas dans tes habitudes de t'abaisser ...

Schaft aidait Aillas a se relever, le tenant par ses fortes epaules en prenant bien soin d'effleurer chacun de ses muscles.

-Hein ? Ah non jeune homme, vous m'en voyer desolée, mais je ne puis repondre a votre question. Ou alors vous devrez repondre a la mienne : je viens d'une planete dont les seule souvenir que j'ai sont d'un peuple pacifique, adorateur de la musique et de la rhetorique, dont certains enfants deviennent les pretres et promis. Ce peuple a l'allure humaine a part des orreiles de chats, se fit asservir et reduire en esclavage par un autre peuple de barbarre cruel et sadique. Vous savez d'ou je viens ?

Elle le gratifia d'un enorme sourire, de la fille sure de poser une colle. Cette question, elle la posait sans reponse depuis toute jeune de toute facon.

Schaft trouvait assez bisarre que la cape du jeune homme la regardait. Mais elle mit ca sur le compte d'une bisarrerie de la planete d'ou provenait Aedris.

-Aedris .... Votre nom me fait penser au mot Aede. Y a t'il un lien logique a ca ou est ce pur coincidence ?

Schaft avait pendant ce temps, renoncer a relever Aillas et avait plutot choisit de tomber a ses cotés (mais plus doucement cette fois !)

Schaft avait laché Aillas et s'etait penchée sur le coté opposé. Tellement penchée qu'elle avait finie lacivement allongée dans l'herbe, a jouer nonchalement avec une brindille pendant que Coin-coin baillait aux corneilles (au sens propre du terme, Coin-coin baillait en comptant les corneilles qui passaient dans le champ).

Elle sourit a la derniere replique de Aedris.

-Et bien detrompez vous mon pauvre ami, je ne me contente jamais d'une seule question moi ! Je voudrais savoir ce que vous aimez mangé et boire ? Car voyez vous, un champ c'est bien beau mais je met un point d'honneur a nourir et abreuver un nouvel arrivant pour lui soutirer des informations sur son identité !

Elle appuya sa question par un clin d'oeil joueur, histoire qu'il comprenne bien que ses intentions etaient amicales et qu'il ne prenne pas peur.

Schaft fut un peu etonnée de la question "d'ou venez vous" vu qu'elle avait deja repondu qu'elle ne savait pas. Mais elle compris ensuite, du moins le pensait elle, qu'il voulait plutot savoir de quelle cité d'Aelis.

-Eh bien, je viens de Galvorn, ou j'ai un appartement que je partage avec un ami "d'ecole" si je puis dire. Mes couleurs sont surtout le rouge, le orange, le jaune, le rose un peu. Et parfois le noir, la couleur de MA couleur.

Histoire de bien se faire comprendre, elle souleva legerement (et chastement, n'allait pas pensez je ne sais quelles balivernes !) un pans de sa jupe, decouvrant sur sa cuisse son tatouage qui lui devait, dans les bars, son surnom de La Dame de Pique (c'est a dire un pique quoi !).

Enfin, son regard s'alluma comme des charbons qui deviennent soudain incandescent.

-Ma saison preferée est l"ete. Il y a des fetes en rafales en cette periode, des fetes ou l'ont peut aller sans se demander si il vaut le coup de s'encombrer d'un parapluie. On peut danser dehors, pour tout, pour rien, cela depend du point de vue. En l'honneur du Soleil, de la Vie, de la Joie, de la saison elle meme, ou juste pour danser. On peut flaner et etre heureux en amoureux, en ami. Oh, je pourrais vous en sortir encore, mais vous devez me trouver tres ... expressive, non ?

-Coink !

Schaft vit Aedris surssauter. Il n'avait pas remarquer le canartoon de schaft auparavent.
Elle se retint poliment de rire.

-Il dit qu'on est jamais trop expressif.