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 Sweet Baby.

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Lilith
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MessageSujet: Sweet Baby.   Sweet Baby. Icon_minitimeVen 25 Sep - 11:18

Spoiler:


Sweet baby.


Le bout de mes doigts effleure le bois de la porte. Je les presse doucement contre le battant, imprègne la matière de ma chair. Laisse glisser mes mains vers le sol. Un soupir m’échappe. J’ai la poitrine lourde. Les yeux fermés, je me détourne brusquement, traverse la chambre d’enfant qui a vu les claques et les gifles, les coups et les ceintures voler dans les airs. D’un bond j’enjambe le rebord de la fenêtre et me laisse tomber dans la jardinière abandonnée qui borde la maison. Pieds nus dans l’herbe brulée par le soleil d’été, je cours à en perdre haleine. Le jour tombe partout autour de moi, sa chaleur miroite doucement au ras du sol. Je cours, j’avale le jardin desséché, franchis la barrière sans un regard et m’enfuis à travers champs. Dans ma course effrénée je n’entends ni les klaxons des voitures quand je traverse les routes, ni le bruissement des oiseaux que je dérange. Je suis une flèche qui vole vers son but, paupières baissées vers la terre, chevilles ailées.

Lorsque j’arrive au cimetière du village, il est déjà là. Il m’attend. La tête toujours baissée je m’avance vers lui. Soumise. Il me regarde comme il l’a toujours fait. Avec ses yeux colère qui semblent fouiller sous ma peau, chercher la bande de chair qui me fera le plus mal. Je m’arrête devant lui et lui tend mes bras, paumes tournées vers le ciel. La marque des lanières est bien visible sur la courbe tendre et blanche de mes avant-bras. Je frémis en entendant le sifflement de sa ceinture dans les passants de son jean. Je frémis d’envie et de douleur anticipée. Mes yeux n’osent pas se relever vers lui. Et c’est en fouillant le sol du regard que je comprends. « My sweet little girl » me murmure-t-il en se penchant vers moi. Sa main se pose sur mon épaule, délicatement, comme un oiseau craintif. Il arme son autre bras. Alors je relève la nuque, juste assez pour lire l’inscription de la tombe sur laquelle nous nous tenons. Et c’est son nom que je lis. Le poids de sa présence s’envole. La nuit m’enveloppe comme une couverture bienveillante. Je m’y assois, je m’y fonds, mes pieds nus dans la terre meuble du cimetière. Adossée à la sépulture de mon père, j’apprends à le laisser partir. J’apprends à laisser partir ses étreintes douloureuses et la morsure de son amour. Du bout des lèvres j’embrasse la pierre tombale. Elle a le goût des regrets et de l’avenir. Un goût d’incertain qui me trouble. Le soleil commence à poindre timidement dans mon dos. Il est temps de partir. Je jette un dernier regard au fantôme qui m’observe. Sa ceinture pend lamentablement contre son flanc, il a l’air désabusé et perdu. Il est temps de partir et je tourne les talons.

Je reprends ma course éperdue. J’entends les renards piailler sur mon passage, le fracas des poubelles dans mon sillage. Ils mêlent leur chasse à la mienne. Les aboiements des chiens excités rythme mes pas. Je martèle le monde de ma présence. Je vis. Je reprends possession du temps. Le paysage se brouille, les couleurs s’emmêlent. Je titube à l’envers du monde. Et toujours ces yeux colère qui me suivent, deux brulures entre mes omoplates. Je cours plus vite, toujours plus vite. Le soleil redescend à l’horizon, la nuit réclame sa part, l’herbe crisse sous mes pieds. Quelque chose explose tout près de moi. J’ouvre brusquement les yeux, mes paumes toujours posées contre le panneau de bois. La porte d’entrée claque une seconde fois. « Sweet girl, I'm home », grincent les escaliers sous le poids de ses muscles. Je soupire en m’éloignant du battant. Et sans un mot je vais m’asseoir sur mon petit lit d’enfant. Je baisse la tête et tend les bras devant moi. Soumise, comme il m'aime le mieux. Mes oreilles bourdonnent de ce sifflement que je connais si bien. J’ai comme un gout de regret sur les lèvres.


Dernière édition par Lilith le Ven 25 Sep - 16:58, édité 2 fois
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Mike001
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MessageSujet: Re: Sweet Baby.   Sweet Baby. Icon_minitimeVen 25 Sep - 15:01

Citation :
Sweet baby.


Le bout de mes doigts effleure le bois de la porte. Je les presse doucement contre le battant, imprègne la matière de ma chair. Laisse glisser mes mains vers le sol. Un soupir m’échappe. J’ai la poitrine lourde. Les yeux fermés, je me détourne brusquement, traverse la chambre d’enfant qui a vu les claques et les gifles, les coups et les ceintures voler dans les airs. [espace en trop] D’un bond j’enjambe le rebord de la fenêtre et me laisse tomber dans la jardinière abandonnée qui borde la maison. Pieds nus dans l’herbe brulée par le soleil d’été, je cours à en perdre haleine. Le jour tombe partout autour de moi, sa chaleur miroite doucement au ras du sol. Je cours, j’avale le jardin desséché, franchis la barrière sans un regard et m’enfuis à travers champs. Dans ma course effrénée je n’entends ni les klaxons des voitures quand je traverse les routes, ni le bruissement des oiseaux que je dérange. Je suis une flèche qui vole vers son but, paupières baissées vers la terre, chevilles ailées.

Lorsque j’arrive au cimetière du village, il est déjà là. Il m’attend. La tête toujours baissée je m’avance vers lui. Soumise. Il me regarde comme il l’a toujours fait. Avec ses yeux colère qui semblent fouiller sous ma peau, chercher la bande de chair qui me fera le plus mal. Je m’arrête devant lui et lui tend mes bras, paumes tournées vers le ciel. La marque des lanières est bien visible sur la courbe tendre et blanche de mes avant-bras. Je frémis en entendant le sifflement de sa ceinture dans les passants de son jean. Je frémis d’envie et de douleur anticipée. Mes yeux n’osent pas se relever vers lui. Et c’est en fouillant le sol du regard que je comprends. « My sweet little girl » me murmure-t-il en se penchant vers moi. Sa main se pose sur mon épaule, délicatement, comme un oiseau craintif. Il arme son autre bras. Alors je relève la nuque, juste assez pour lire l’inscription de la tombe sur laquelle nous nous tenons. Et c’est son nom que je lis. Le poids de sa présence s’envole. La nuit m’enveloppe comme une couverture bienveillante. Je m’y assois, je m’y fonds, mes pieds nus dans la terre meuble du cimetière. Adossée à la sépulture de mon père, j’apprends à le laisser partir. J’apprends à laisser partir ses étreintes douloureuses et la morsure de son amour. Du bout des lèvres j’embrasse la pierre tombale. Elle a le goût des regrets et de l’avenir. Un goût d’incertain qui me trouble. Le soleil commence à poindre [c'est une tournure que tu utilises très souvent dans tes textes il me semble] timidement dans mon dos. Il est temps de partir. Je jette un dernier regard au fantôme qui m’observe. Sa ceinture pend lamentablement contre son flanc, il a l’air désabusé et perdu. Il est temps de partir et je tourne les talons.

Je reprends ma course éperdue. J’entends les renards piailler sur mon passage, le fracas des poubelles dans mon sillage. Ils mêlent leur chasse à la mienne. Les aboiements des chiens excités rythme mes pas. Je martèle le monde de ma présence. Je vis. Je reprends possession du temps. Le paysage se brouille, les couleurs s’emmêlent. Je titube à l’envers du monde. Et toujours ces yeux colère qui me suivent, deux brulures entre mes omoplates. Je cours plus vite, toujours plus vite. Le soleil redescend à l’horizon, la nuit réclame sa part, l’herbe crisse sous mes pieds. Quelque chose explose tout près de moi. J’ouvre brusquement les yeux, mes paumes toujours posées contre le panneau de bois. La porte d’entrée claque une seconde fois. « Sweet girl, I'm home », grincent les escaliers sous le poids de ses muscles. Je soupire en m’éloignant du battant. Et sans un mot je vais m’asseoir sur mon petit lit d’enfant. Je baisse la tête et tend les bras devant moi. Soumise, comme il m'aime le mieux. Mes oreilles bourdonnent de ce sifflement que je connais si bien. J’ai comme un gout de regret sur les lèvres.


Le rythme que tu donnes au début du texte et à la fin m'a un peu dérangé. J'ai trouvé que les répétitions de « qui » et de « Et » pouvaient être évitées.
Sinon, le texte est sympathique car bien écrit. Trop bien peut-être ? Ou trop axé sur les descriptions ?
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MessageSujet: Re: Sweet Baby.   Sweet Baby. Icon_minitimeMer 7 Oct - 16:20

C'est rempli de flou, comme s'il n'y avait pas de sens. En te lisant je me suis un peu retrouvé comme dans un rêve rempli de sens quand tu dors, et qui ne veut plus rien dire quand tu te réveils.

J'ai vraiment accroché à ton style d'écriture pour cette nouvelle. Un mirage chargé d'images.
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Lilith
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MessageSujet: Re: Sweet Baby.   Sweet Baby. Icon_minitimeJeu 8 Oct - 10:08

Merci Heureux
J'ai essayé de rester dans le flou, dans le mirage que s'invente cette fille sans même s'en rendre compte. On m'a dit que le texte était triste mais je crois que tu n'as pas eu cette impression alors je suis contente !
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MessageSujet: Re: Sweet Baby.   Sweet Baby. Icon_minitimeJeu 8 Oct - 21:06

Il y a une lourdeur qui rend ton texte sombre, mais il n'y a pas de tristesse apparente de mon point de vue. Néanmoins, je peux comprendre que certains ressente cette impression de tristesse dans tes mots.

Citation :
Le bout de mes doigts effleure le bois de la porte. Je les presse doucement contre le battant, imprègne la matière de ma chair. Laisse glisser mes mains vers le sol. Un soupir m’échappe. J’ai la poitrine lourde. Les yeux fermés, je me détourne brusquement, traverse la chambre d’enfant qui a vu les claques et les gifles, les coups et les ceintures voler dans les airs. D’un bond j’enjambe le rebord de la fenêtre et me laisse tomber dans la jardinière abandonnée qui borde la maison. Pieds nus dans l’herbe brulée par le soleil d’été, je cours à en perdre haleine. Le jour tombe partout autour de moi, sa chaleur miroite doucement au ras du sol. Je cours, j’avale le jardin desséché, franchis la barrière sans un regard et m’enfuis à travers champs. Dans ma course effrénée je n’entends ni les klaxons des voitures quand je traverse les routes, ni le bruissement des oiseaux que je dérange. Je suis une flèche qui vole vers son but, paupières baissées vers la terre, chevilles ailées.

A contrario de mon confrère Mike001, je trouve que toutes tes descriptions; principalement dans l'introduction ci-dessus; portent avec une certaine aisance jusqu'à la chute de ta nouvelle.

Citation :
Avec ses yeux colère


Par contre, j'ai buté sur cette phrase. Je trouve que c'est trop enfantin par rapport au reste du texte, comme si ça n'avait rien à faire dans ton texte. Je dirais qu'une fois sa passe mais quelque lignes plus tard...

Citation :
Et toujours ces yeux colère qui me suivent

Ce n'est probablement que moi, mais vu le style d'écriture que tu utilises je trouve que sa casse le rythme. C'est limite déplacé !

Citation :
Lorsque j’arrive au cimetière du village, il est déjà là. Il m’attend. La tête toujours baissée je m’avance vers lui. Soumise. Il me regarde comme il l’a toujours fait. Avec ses yeux colère qui semblent fouiller sous ma peau, chercher la bande de chair qui me fera le plus mal. Je m’arrête devant lui et lui tend mes bras, paumes tournées vers le ciel. La marque des lanières est bien visible sur la courbe tendre et blanche de mes avant-bras. Je frémis en entendant le sifflement de sa ceinture dans les passants de son jean. Je frémis d’envie et de douleur anticipée. Mes yeux n’osent pas se relever vers lui. Et c’est en fouillant le sol du regard que je comprends. « My sweet little girl » me murmure-t-il en se penchant vers moi. Sa main se pose sur mon épaule, délicatement, comme un oiseau craintif. Il arme son autre bras. Alors je relève la nuque, juste assez pour lire l’inscription de la tombe sur laquelle nous nous tenons. Et c’est son nom que je lis. Le poids de sa présence s’envole. La nuit m’enveloppe comme une couverture bienveillante. Je m’y assois, je m’y fonds, mes pieds nus dans la terre meuble du cimetière. Adossée à la sépulture de mon père, j’apprends à le laisser partir. J’apprends à laisser partir ses étreintes douloureuses et la morsure de son amour. Du bout des lèvres j’embrasse la pierre tombale. Elle a le goût des regrets et de l’avenir. Un goût d’incertain qui me trouble

C'est le passage le plus fort du texte, celui qui pourrait révéler une certaine tristesse en effet. C'est froid, violent, sordide, rempli d'images. On est comme aspirer dans un tourbillon d'incertitude, on ne sait pas vraiment ou tout ça va nous mener. Ici, on ne peut plus respirer.

Citation :
Je reprends ma course éperdue.

Et puis viens cette reprise salvatrice qui nous fait respirer, après des images si violentes on en a besoin. Ta course nous fait du bien, elle nous sors de cette lugubre partie qui nous a comprimé les poumons.

Citation :

Lorsque j’arrive au cimetière du village, il est déjà là. Il m’attend. La tête toujours baissée je m’avance vers lui. Soumise. Il me regarde comme il l’a toujours fait. Avec ses yeux colère qui semblent fouiller sous ma peau, chercher la bande de chair qui me fera le plus mal. Je m’arrête devant lui et lui tend mes bras, paumes tournées vers le ciel. La marque des lanières est bien visible sur la courbe tendre et blanche de mes avant-bras. Je frémis en entendant le sifflement de sa ceinture dans les passants de son jean. Je frémis d’envie et de douleur anticipée. Mes yeux n’osent pas se relever vers lui. Et c’est en fouillant le sol du regard que je comprends. « My sweet little girl » me murmure-t-il en se penchant vers moi. Sa main se pose sur mon épaule, délicatement, comme un oiseau craintif. Il arme son autre bras. Alors je relève la nuque, juste assez pour lire l’inscription de la tombe sur laquelle nous nous tenons. Et c’est son nom que je lis. Le poids de sa présence s’envole. La nuit m’enveloppe comme une couverture bienveillante. Je m’y assois, je m’y fonds, mes pieds nus dans la terre meuble du cimetière. Adossée à la sépulture de mon père, j’apprends à le laisser partir. J’apprends à laisser partir ses étreintes douloureuses et la morsure de son amour. Du bout des lèvres j’embrasse la pierre tombale. Elle a le goût des regrets et de l’avenir. Un goût d’incertain qui me trouble. Le soleil commence à poindre [c'est une tournure que tu utilises très souvent dans tes textes il me semble] timidement dans mon dos. Il est temps de partir. Je jette un dernier regard au fantôme qui m’observe. Sa ceinture pend lamentablement contre son flanc, il a l’air désabusé et perdu. Il est temps de partir et je tourne les talons.


Cette partie mériterait d'être amplifiée davantage, que ce soit à la limite de l'explosion, ce qui donnerais un effet plus puissant au paragraphe qui finalise ta nouvelle.

Je n'ai pas fait un commentaire très complet, et je m'en excuse par avance, je te donne simplement quelques unes de mes impressions.

Sur ce, merci à toi d'avoir partagé et à plus tard dans la bibliothèque (fait attention à ne pas te faire écraser par une pile de bouquins, on a déjà eu des accidents)
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Lilith
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MessageSujet: Re: Sweet Baby.   Sweet Baby. Icon_minitimeJeu 8 Oct - 23:59

Merci pour ces impressions, je les trouve très utiles Heureux

Mike, j'avoue que je n'ai pas compris cette partie de ton commentaire:
Mike001 a écrit:

Sinon, le texte est sympathique car bien écrit. Trop bien peut-être ? Ou trop axé sur les descriptions ?

Je sens que tu veux me dire qqchose mais je ne saisis pas ce que tu entends pas "trop bien écris"? Veux-tu dire plat? Où trop stylistique? Je ne sais pas, j'ai besoin de tes lumières ^^
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Mike001
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MessageSujet: Re: Sweet Baby.   Sweet Baby. Icon_minitimeVen 9 Oct - 13:21

Je l'ai trouvé trop lisse car donnant trop de place à une description qui à mon goût n'intègre pas assez le ressenti du narrateur. Avec le ton qu'il utilise et le peu d'émotion exprimé il pourrait tout aussi bien aller acheter du lait.
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MessageSujet: Re: Sweet Baby.   Sweet Baby. Icon_minitime

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