Nakumi , devoir n] 1 [ KinderWalker ]

Spoiler:

Bon tout , d'abord je tiens à m'excuser pour ce long retard auprès de toi Kinder , je t'ai informé des raisons valables ou non. Et il est vrai que l'inspiration n'était pas au rendez vous. Je suis sûr que le devoir n'a pas été réaliser à la perfection sur les conditions et donc je m'en excuse également d'avance. Mais je ne souhaite pas te faire attendre davantage. Et désolé de la médiocrité de l'écriture.

Citation :

Un soleil de plomb, quelques formes nuageuses se baladant dans le ciel. C'est ainsi que je j'aurais dessiné cette journée. Je m'amusais à faire parler mon imagination en regardant ces masses blanches avancer lentement, poussés par le vent lointain. Une fois, je voyais des animaux imaginaires; une autre des vêtements, pour finir par quelque chose qui m'interpella plus, une arme à feu. L'herbe grasse du parc était douillette et confortable. Mes paupières clignaient de plus en plus lentement en me laissant parfois plusieurs secondes dans le noir total. C'est ainsi que je m'assoupis pendant une bonne demi-heure...


Je me réveillai alors avec une légère migraine , décidant de ne pas traîner davantage, je me levai pour me changer les idées et me promener un peu. Les ruelles étaient bondées de monde , il était trois heures de l'après-midi et la vie urbaine battait son plein. Magasins , cafés , tout était remplit , je ne sais pas pourquoi je m'en étonnait , étant donné que c'était une journée habituelle pour la ville. Surtout pour Lyon, pollution , fourmilière, journées récurrentes , voilà les maîtres mots d'une si grande agglomération. Je marchais donc tranquillement dans les rues du centre-ville , admirant les vitrines si bien remplies et si coquettes de toutes les enseignes qui me choyaient du regard. Je m'enfonçais de plus en plus dans les ruelles étroites mais toujours pleines de monde. 
Mon attention fut alors piquée par une bijouterie sur la chaussée d'en face , à une dizaine de mètre à peine. Un homme venait d'y pénétrer , un long manteau de cuir couvrait son corps svelte tandis qu'un chapeau de « cow-boy » lui servait de couvre chef.. Un bandana noir s'enroulait autour de son visage , ne laissant paraître que 2 pupilles émeraudes. Même si je ne connaissais pas cet individu , je savais qu'il était quelqu'un de louche et que sa personnalité devait sans doute être intéressante , je m'attardai alors un moment sur cette personne.

Il se trouvait prêt du vendeur et discutait avec lui. Je le vis fouiller dans sa longue veste et tendre le bras , évidemment , j'eu du mal à distinguer ce qu'était l'objet tendu pour l'homme. Je décida , par curiosité , de m'approcher de la vitrine. Au moment où j'arrivai , je vis les trois personnes déjà présentes s'allonger lentement sur le sol , c'est à ce moment que je compris ce qui était en train de se passer. La tension monta d'un coup , d'abord pétrifier , je pris lentement mon téléphone portable dans ma poche. Mais je fus stopper net dans mes pensées , appeler n'était-il pas trop risquer pour ma personne? Pourtant , quatre vies étaient en danger , de plus je serais en tord et ferais preuve d'une lâcheté humaine certes , mais qui ne me convenait pas. Pendant ce laps de temps , le bijoutier remplissait ses sacs de tout ce qu'il possédait. Voyant l'urgence du moment , j'appelai la police, le sang battait jusque ma gorge , la comprimant et m'empêchant de m'exprimer avec clarté, je devais me dépêcher. Tout leur expliquer était beaucoup trop long , mais je ne m'en rendis compte seulement lorsque le cambrioleur se retourna , plusieurs sacs à la main. Il m'avait remarqué , mon coeur ne fit qu'un saut et mon corps fut parcourut d'un long frisson permanent. Il sortit en trombe, le regard agacé , je n'eus pas le temps de réagir , bloqué dans ma peur , je lâchai mon portable qui s'éclata sur le sol. J'étais incapable de faire le moindre mouvement. Je vis sous ce bandana , un rictus malsain se dessiner. Le meurtrier pointa son arme sur moi. L'effroi me gagna , mes yeux se mouillèrent, la mort me guettait sans états d'âme et sans pitié... Le temps passait au ralentit , il semblait si long et si pesant. Je vis le fou viser plus attentivement pour enfin presser sur la gâchette de cette faucheuse qui bientôt , allait prendre ma vie. J'étais à bout portant et mon destin était sceller , le coup de feu retentit comme un coup de marteau dans ma tête. La balle transperça ma gorge. 
 Je sentis l'asphyxie venir , ma bouche versait du sang à flot , ce goût horrible. La douleur me vint subitement , ma main se posa instinctivement sur ma gorge pour tenter vainement d'apaiser cette souffrance qui me tordait. Je tombai à terre , les yeux révulsés et le souffle coupé...

C'est alors que je me réveillai , le front en sueur , les mains moites , je mis la main sur ma gorge sans pouvoir la contrôler. Rien ne s'y trouver , je touchais ma bouche mais rien ne s'y trouvait. Ne croyant pas à ce qu'il m'arrivait , je regardais autour de moi , j'étais au même endroit qu'au début d'après midi, je me rendis compte que je m'étais seulement assoupis. Rassuré et à la fois mal à l'aise , je décidai de me promener pour me soulager , la ville était pleine de monde ...

Un soleil de plomb, quelques formes nuageuses se baladant dans le ciel. C'est ainsi que je j'aurais dessiné cette journée. Je m'amusais à faire parler mon imagination en regardant ces masses blanches avancer lentement, poussés par le vent lointain. Une fois, je voyais des animaux imaginaires; une autre des vêtements, pour finir par quelque chose qui m'interpella plus, une arme à feu. L'herbe grasse du parc était douillette et confortable. Mes paupières clignaient de plus en plus lentement en me laissant parfois plusieurs secondes dans le noir total. C'est ainsi que ( répétition : tu peux utiliser "c'est comme ça" je m'assoupis pendant une bonne demi-heure...


Je me réveillai alors avec une légère migraine , (place un point ici) décidant de ne pas traîner davantage, je me levai pour me changer les idées et me promener un peu. Les ruelles étaient bondées de monde (pléonasme, un endroit bondé l'est par défaut de monde) , il était trois heures de l'après-midi et la vie urbaine battait son plein. Magasins , cafés , tout était rempli (adjectif, pas participe passé , je ne sais pas pourquoi je m'en étonnais , étant donné que c'était une journée habituelle pour la ville. Surtout pour Lyon, pollution , fourmilière, journées (répétition) récurrentes , voilà les maîtres mots d'une si grande agglomération. Je marchais donc tranquillement dans les rues du centre-ville , admirant les vitrines si bien remplies et si coquettes de toutes les enseignes qui me choyaient ( utilisation un peu curieuse de choyer, associé à dorloter, à une image corporelle) du regard. Je m'enfonçais de plus en plus dans les ruelles étroites mais toujours pleines de monde. 
Mon attention fut alors piquée par une bijouterie sur la chaussée d'en face, à une dizaine de mètres à peine. Un homme venait d'y pénétrer , un long manteau de cuir couvrait son corps svelte tandis qu'un chapeau de « cow-boy » lui servait de couvre-chef. Un bandana noir s'enroulait autour de son visage , ne laissant paraître que deux (pars du principe que les chiffres s'écrivent toujours en toutes lettres) pupilles émeraudes. Même si je ne connaissais pas cet individu , je savais (un peu aléatoire comme image, ici, un verbe comme deviner est plus recommandé) qu'il était quelqu'un de louche et que sa personnalité devait sans doute être intéressante, je m'attardai alors un moment sur cette personne.

Il se trouvait prêt du vendeur et discutait avec lui. Je le vis fouiller dans sa longue veste et tendre le bras , évidemment , j'eus du mal à distinguer ce qu'était l'objet tendu pour l'homme. Je décidai , par curiosité , de m'approcher de la vitrine. Au moment où j'arrivais , je vis les trois personnes déjà présentes s'allonger lentement sur le sol , c'est à ce moment que je compris ce qui était en train de se passer. La tension monta d'un coup , d'abord pétrifié (participe passé, pas infinitif (pense à remplacer le verbe en question par "mordre", par exemple, pour vérifier le temps à utiliser, c'est mnémotechnique) , je pris lentement mon téléphone portable dans ma poche. Mais je fus stopper net dans mes pensées , appeler n'était-il pas trop risqué pour ma personne? Pourtant, quatre vies étaient en danger, de plus je serais en tord et ferais preuve d'une lâcheté, (oubli de virgule ?) humaine certes , mais qui ne me convenait pas. Pendant ce laps de temps , le bijoutier remplissait ses sacs de tout ce qu'il possédait. Voyant l'urgence du moment , j'appelai la police, le sang battait jusque ma gorge, la comprimant et m'empêchant de m'exprimer avec clarté, je devais me dépêcher. Tout leur expliquer était beaucoup trop long , mais je ne m'en rendis compte seulement lorsque le cambrioleur se retourna, plusieurs sacs (petite répétition) à la main. Il m'avait remarqué , mon cœur ne fit qu'un saut et mon corps fut parcouru d'un long frisson permanent. Il sortit en trombe, le regard agacé , je n'eus pas le temps de réagir , bloqué dans ma peur , je lâchai mon portable qui s'éclata sur le sol. J'étais incapable de faire le moindre mouvement. Je vis sous ce bandana, un rictus malsain se dessiner. Le meurtrier pointa son arme sur moi. L'effroi me gagna, mes yeux se mouillèrent, la mort me guettait sans états d'âme et sans pitié... Le temps passait au ralentit , il semblait si long et si pesant. Je vis le fou viser plus attentivement pour enfin presser sur la gâchette de cette faucheuse qui bientôt, allait prendre ma vie. J'étais à bout portant et mon destin était scellé , le coup de feu retentit comme un coup de marteau dans ma tête. La balle transperça ma gorge. 
 Je sentis l'asphyxie venir, ma bouche versait du sang à flot, ce goût horrible. La douleur me vint subitement , ma main se posa instinctivement sur ma gorge pour tenter vainement d'apaiser cette souffrance qui me tordait. Je tombai à terre, les yeux révulsés et le souffle coupé...

C'est alors que je me réveillai , le front en sueur , les mains moites , je mis la main sur ma gorge sans pouvoir la contrôler. Rien ne s'y trouvait, je touchais ma bouche mais rien ne s'y trouvait. Ne croyant pas à ce qu'il m'arrivait, je regardais autour de moi, j'étais au même endroit qu'en début d'après midi, je me rendis compte que je m'étais seulement assoupi. Rassuré et à la fois mal à l'aise, je décidai de me promener pour me soulager, la ville était pleine de monde...


Première réflexion en voyant ce message : « Je suis ton hombre »... Pitié, dis moi que c'est de l'espagnol et du français mélangé x). Sinon, je vais être obligé de te tronçonner les bras grumbl.

Correction à chaud

Sinon, tu as une grande tendance à te servir du participe présent dans tes phrases, ce qui leur donne un ton guidé (me rappelant, se balladant). Tu peux te servir de "qui" plus souvent (qui se baladent) associé au présent narratif.

Je vois des virgules dans tous les sens. La construction de tes phrases est parfois un peu aléatoire. Autant, elle est parfois très bonne, autant, je vois qui tu mêle plusieurs idées régulièrement. Ça peut être bon, mais il faut alors séparer ces deux idées qui sont liées (sinon, autant mettre un point), par un point virgule.

Autre remarque (mais c'est de la forme bête et méchante) les virgules n'ont d'espaces qu'après. Très simplement, si le signe de ponctuation comporte deux morceaux (point virgule, d'interrogation, d'exclamation), il y a un espace avant et après le signe. S'il n'en comporte qu'un, alors, il n'y a d'espace qu'après le signe (point, virgule).

Le nombres d'erreurs est correct pour un premier devoir, certaines sont évitables facilement, je t'ai indiqué comment la plupart du temps. Pas mal de problème entre le passé simple et l'imparfait. En général, passe ton verbe à la troisième personne du singulier, le bon temps devrait alors apparaître plus clairement.

Le thème du devoir - le vocabulaire - a porté ses fruits, puisque tu as du utiliser des mots que tu employais peu ou pas pour pallier à l'interdiction de répétition. Cependant, et c'est le corolaire du vocabulaire, son utilisation est parfois un peu vacillante. Je m'explique : Tu es tombé dans deux "grands travers".
Le premier, c'est d'utiliser des expressions toutes faites.

Citation :

Je vis le fou viser plus attentivement pour enfin presser sur la gâchette de cette faucheuse qui bientôt, allait prendre ma vie.

Pour paraphraser Undead, prendre la vie, c'est une expression de roman de gare, des termes si souvent associés et utilisé ensemble que la symbolique, l'image en a perdue tout intérêt. Autant que possible, évite-les, même s'il peut être un peu ardu de les distinguer quand on ne les connait pas. Autres exemples :

Citation :

mon destin était scellé

Citation :

la mort me guettait

Je remarque d'ailleurs que c'est lorsque le rythme accélère que tu t'emmêles les pinceaux avec ces expressions toutes faites.


L'autre faute récurrente, c'est une utilisation inappropriée de tes mots. C'est normal, puisque que tu ne t'en sers jamais, mais ça donne un air décalé et faux au texte. Ce genre de défauts se corrigent avec la pratique, et parfois la lecture de livres.

Citation :

long frisson permanent

Hum, permanent ? Ici, tu peux te contenter de long comme adjectif. Ne rajoute pas pour te donner de la matière.

Citation :

les enseignes qui me choyaient

Choyer ? ça sent le dictionnaire des synonymes héhé (si c'est ça, tant mieux, tu t'en es servi au moins). L'image est intéressante, mais pas convaincante. Sur le coup, je verrais plus un "les enseignes se disputaient mon regard".

Citation :

mes yeux se mouillèrent

C'est pas forcément décalé, juste maladroit. "Mes yeux s'embuèrent" "Mes yeux se troublèrent", sonne mieux, disons.

Citation :

vie urbaine battait son plein

Une petite accumulation d'adjectifs qui ne veut plus dire grand chose. Et "vie qui bat son plein", ça fait roman de gare. La totale héhé. L'activité, le flux de passants, trouve une périphrase dans ce cas.

Et hop, pour la route, un petit commentaire général. L'idée est bonne, tu t'impliques dans l'action, et finalement le tout se lit bien. Pour nuancer cependant : Le début est rigide, plombé par les expressions vacillantes et le ton un peu guidé que tu emploies. La suite est un peu convenue, le scénario un peu simpliste (quoique plaisant). Ton émotion devant le tireur est bien rendue, mais parasitée par des expressions de gare. En fait, j'ai le sentiment que dès que tu écris de façon instinctive, tu libère ton récit et tu emploies le bon registre, mais tu ne fais plus de recherche pour étayer ton histoire. Résultat, un début satisfaisant sur les contraintes mais curieusement écrit, une fin bien fichue, mais terriblement classique. Le fait que tu lui fasse recommencer son après midi ouvre pas mal de possibilités et c'est un bon point. Pense a bien fragmenter tes paragraphes en ne gardant qu'une idée par phrases, on s'occupera des points virgules et du reste plus tard.

Voila, plutôt satisfaisant dans l'ensemble, puisque les contraintes sont respectées. Le reste viendra demain, pour une analyse plus froide.

Yop , j'ai bien pris en compte tout ce que tu as dis kinder et c'est une très bonne correction.

Je te remercie sur le temps que tu as passé dessus , j'attend la suite pour mieux approfondir. Il s'avère néanmoins que tu as raison sur toute la ligne , merci bien de me dire ce qui n'allait pas. Trouver une solution à certains problème sera difficile , mais on y arrivera.

A bientot

Je prend dans le détailton texte.

Citation :

, décidant de ne pas traîner davantage

Oubli de point ici. La phrase avec juste une virgule ne mets pas en exergue le fait que tu démarres ton aventure maintenant et ne sépare pas bien les idées.

Citation :

étant donné que c'était une journée habituelle pour la ville

La dernière préposition est quelque peu superflue. Le remarque se répète plus tard, n'ai pas peur de suggérer, pour éviter les répétitions et les constructions un peu lourdes. Si tu tiens absolument à préciser ta pensée, sers toi d'"ici", par exemple et simplifie ta construction.

Citation :

je compris ce qui était en train de se passer.

Un autre exemple de construction lourde. Ici, un bête "ce qui se passait" suffit amplement, pas besoin d'en rajouter. Je vois l'effet pervers de la contrainte de taille, mais évite autant que possible d'enrober tes phrases pour leurs donner de la consistance.

Citation :

je savais qu'il était quelqu'un de louche et que sa personnalité devait sans doute être
intéressante

J'ai épinglé l'utilisation de savoir, un peu curieuse, mais à la relecture, il s'avère que tout ce morceau est étrange. D'une part, tu sais qu'il a l'air louche, dans une bijouterie, et tu t'approches ? Mettons que tu n'y songes pas, penses tu réellement que sa personnalité est "intéressante" ? Penses tu seulement à sa personnalité ? C'est une maladresse disons, mais ça sonne extraordinairement faux comme prétexte pour t'approcher. Ici, il suffit de parler de curiosité, tu veux savoir ce qui se passe, tu n'imagine même pas qu'il y ait un quelconque danger. Et puis tu écris un truc de ce genre : "Il avait l'air louche, ses habits m'intriguait (soleil de plomb et il porte un grand manteau de cuir noir ?) et je me demandais ce qu'il faisait dans une bijouterie comme celle ci".Éventuellement, demande toi ce que tu ferais dans une situation comme celle là pour éviter les incohérences.

Citation :

Un bandana noir s'enroulait autour de son visage , ne laissant paraître que 2 pupilles émeraudes

Incohérence légère, tu arrive à voir la couleur de ses yeux, alors qu'il est de dos, relativement loin et enroulé de tissus ?

Citation :

de plus je serais en tord et ferais preuve d'une lâcheté humaine certes

"Tord" , c'est le présent de tordre, un tort est un nom. C'est une faute courante que goldy à eu l'occasion de relever un paquet de fois.
Autre petit reproche, le ton est vraiment trop surréaliste, "De plus" est en trop, "D'une lacheté humaine" mélange deux idées qui devaient être séparées. N'aurais tu pas simplement des remords, un sentiment de honte pour n'avoir pas agit ? Tu te compliques beaucoup la vie dans ce bout.

Citation :

mon coeur ne fit qu'un saut

Une conversion de l'expression "mon sang ne fit qu'un tour" ? Ça ne veut malheureusement plus dire grand chose ici (le coeur ne saute pas, il bat), en l'occurence, mon cœur cessa de battre me semble plus élégant, quoiqu'un peu classique comme expression. A toi de voir.

Citation :

Il sortit en trombe, le regard agacé

Un regard n'est pas agacé , c'est l'homme tout entier qui l'est. "Les sourcils froncés", ect, ça peut convenir ici. De même sortir en trombe, c'est étonnant, cela signifie qu'il a une grande distance à parcourir pour t'atteindre, alors que la rue est étroite et bondée. Même chose, un cambriolage a une heure de pointe touristique, en plein après midi, avec un visage couvert ? C'est assez peu crédible, et ça montre qu'il faut bien choisir le contexte dans lequel tu plantes ton récit.

Citation :

La douleur me vint subitement

Ici, ce n'est pas une maladresse, juste une remarque un peu plus poussée. Tu viens de te prendre une balle en pleine gorge, le ton employé me semble faiblard pour décrire la poussée de douleur qui doit prendre quelqu'un dans cette situation.

Globalement toujours, des petites incohérences de scénario (concernant le décor, le moment de l'action et sa crédibilité). Des formulations hésitantes dans la construction, toujours, avec des passages alourdi par une accumulation d'adjectifs qui noient l'action.
Après relecture, le thème est bien respecté, dans toutes ses variables.
Maintenant, c'est un premier devoir, c'est normal que tout n'aille pas, mais après tout, pour un premier devoir, de la part d'un novice complet, c'est plutôt encourageant. Je vois le travail, je vois la recherche, et puis j'ai plus d'éléments pour ton prochain devoir.

Voila, je te donnerais le prochain devoir par MSN, ou par Message si besoin.

Merci beaucoup pour cette explication super détaillée , ça m'aide bien à comprendre où sont mes défauts.Il y a parfois des choses que tu dis auxquelles je ne pense simplement pas , comme tout simplement utiliser des mots simples , ça ne me vient pas à l'esprit au moment voulu.Il y a des incohérence effectivement auxquelles je n'avais pas prétés attention ou parce que l'image de la scène me paraissait bien clair dans mon esprit , désolé.
Donc a bientôt pour le prochain devoir , j'essaierai de bien prendre en compte tout ça.