Traverser l'Océan à l'insu du Ciel [Démission annulée]

Annulé pour raisons partiellement détaillées ci-dessous...

"il faut pleurer de nos rires et rire de nos pleurs", Lao-tse.

Tout les moyens de communications, journaux, radio, télévisions, et divers dispositifs fantastiques à l'improbable principe de fonctionnement, relièrent bienôt une même image: celle d'un homme en uniforme d'amiral de la flotte, l'air solannel et peut-être un brin hautain, dévisageant le spectateur à travers les optiques, le mettant mal à l'aise. Ses mains étaient croisées sur un pupitre d'une hauteur interminable frappé du sigle "UGE" en grandes lettres d'un bleu foncé ressortant clairement surplombant le symbole plus petit de l'officine, l'image définitive de celle-ci n'ayant jamais été livrée par les services graphiques. Pendant quelques instants, il resta immobile, puis, d'abord lentement, avant de prendre un rythme plus soutenu, celui là même qui avait annoncé un beau soir du 27 Mai aux unionniens que le gouvernement de Edward Ydricht avait été évincé, et qu'une junte à la tête de laquelle l'amiral Von Heigins et lui-même se trouvaient assurait l'odre, déclara:

-Aeliséens, Aéliséennes,
Étant le détenteur de la légitimité gardiennale et démocratique, j’ai envisagé depuis quarante-huit heures toutes les éventualités sans exception qui me permettraient de la maintenir. J’ai pris mes résolutions. Dans les circonstances présentes, je ne puis maintenir ce mandat pour plusieurs raisons.

La fonction de Gardien de l'officine des mécènes nécessite un investissement personnel conséquent, et des capacités d'organisation. Depuis ces derniers mois, je n'ais assumé l'intégralité de mon investissement personnel, j'en suis conscient.
D'une part, comme je l'avais annoncé à l'avance, j'ai été absent pendant tout le mois d'Aout, ne disposant que d'une brève connexion internet hebodmadaire. Cela m'a empéché de suivre les dernières évolutions de Ter Aelis et de l'Office de façon générale, au moment même où mon collègue Teclis faisait face à une panne de son modem, puis devait se rendre à la rencontre IRL.
D'autre part, j'ai constaté que Ter Aelis a changé. Alexandre Orlov et moi-même faisions partie des fondateurs d'Aëringor, dont notre forum est du point de vue RP l'héritier, et sommes les derniers de cela dans le staff actuel, les doyens. Mais peu à peu, nous avons vu les choses changer fondamentalement: Ter Aelis s'est entiérement tourné vers les genres fantastiques, fantaisy, et d'autres mysticismes obscurs. Son crédo officiel est tel également maintenant. Et force est de constater que l'immense majorité des commandes de RP de l'officine embrassent ces formes également.
Mon collègue d'alors a jugé que ses objectifs personnels et goûts ne s'identifiaient plus à la mission de gardien, et a démissionné. Tout comme lui, mon RP est basé dans un univers exclusivement futuriste et rationnel ; je me vois dans l'incapacité de remplir des commandes, même si j'ai fait l'objet à ce niveau de pressions. Malgré cela, je reste attaché au projet de RP de Ter Aelis, que je suis depuis voilà près de deux ans, depuis ses tout débuts. Au cours de notre histoire, j'ai à plusieurs reprises assisté et contribué dans la gestion des crises internes, en particulier lors de la "Nuit des longs couteaux" et de la chute de l'administration Alendil. Ainsi, je resterais comme observateur, ferais régulièrement part de mes remarques et offrirais éventuellement mon assistance. La première desdites remarques est ici: Il serait sage de relancer d'autres formes de RP comprenant la Science-Fiction, qui est, n'oublions pas, le berceau de Aëringor qui devint Ter Aelis, berceau ayant émergé de la section RP du forum Ogame, et de s'ouvrir à d'autres formes beaucoup plus largement. Car, au final, le "tout-fantastique" de Ter Aelis ne peut que nuir à sa diversité, donc à son developpement futur.
Les germes du futur sont dans le présent, dit le sage. Ce dernier doit savoir entendre ce qui ne fait pas de bruit et voir ce qui est invisible. Actuellement, ces genres sont invisibles: il faut les voir, et les installer, a fin d'assurer la perrenité.
Je reléverai également autre chose: cette démission n'est pas entiérement la mienne. J'y ais été poussé par l'entremise de Teclis, qui a eut la malheureuse tache de devoir me transmettre un certain message. "Cacher l'épée derrière le sourire", dit le stratagème chinois. En effet, "les Ad aimeraient voir quelqu'un d'autre à la tête de l'officine", me déclare-t-il. Donc, si j'avais bien compris, on me poussait à la démission. "Oui" me répond mon collègue, il faudrait que je "songe peut-être à démissionner". Certes certes, j'ai répondu que j'allais y réfléchir, et ma déçision était prise quelques jours plus tard. Mais, avant cela, j'ai consulté les nouveaux messages de Ter Aeis, et découvert avec stupeur que le sextant renouvellé.

Traverser l'Océan à l'insu du Ciel [Démission annulée] Sextantlg9

De même, le groupe des artisencres:

Traverser l'Océan à l'insu du Ciel [Démission annulée] Artisencresky6

Mon nom n'y figurais plus comme gardien de l'officine, ni gestionnaire des artisencres. Omission? Peu probable alors que justement les affaires tournaient autour de moi ces derniers jours, et qu'on m'aurait rendu la modération du groupe à mon retour de vacances si cela était sensé durer. Il était clair que j'étais déjà congédié à l'avance. Des méthodes fort expéditives, et qui sont difficilement tolérables quand on les applique avant que la personne concernée n'ait même accepter de démissionner. Ces pratiques seraient d'urgence à revoir, elles introduisent la goujâterie dans les circuits administratifs!

Mon sucesseur au gardiennat de l'officine devra garder tout cela à l'esprit, en plus des dossiers du moment.
On parle de stagnation de l'officine? Non, je refuse le fait établi, comme le dit mon collègue Von Heigins! Si l'officine ne grandit jamais démesurément, c'est qu'elle ne dispose pas de l'étiquette officielle et de l'accès universel de la section commandes littéraires Ogame; il est impossible de comparer les deux, et le faire induit forcément en erreur. La question d'un grand mouvement publicitaire a déjà été posée, mais aucune véritable solution n'a été trouvée.
Enfin, Alexandre Orlov, puis Teclis, et moi-même, avons travaillés d'arrache pied à garantir le projet Onispace, qui a été lancé malgré des débuts difficiles, et pour lequel je viens d'honorer ma dernière commande.
Je refuse qu'on renie mon bilan, et je le défendrais: les réglements ont étés refaits et améliorés, une section d'accueil et un section des candidatures ont étés crées, de nombreux autres travaux ont étés menés. Au départ de Plumo, qui, notons-le au passage, effectué également un travail considérable qui a assuré l'avenir de l'officine, la section n'était encore, comme les autres, qu'à un stade primaire, et entre-temps, elle s'est développée pour devenir bien plus grande et organisée.
J'ai bien entendu été aidé dans cette tache, et n'aurais pu la mener à bien, sans l'aide de mon premier Co-gardien Alexandre Orlov, qui a été et est toujours un ami et un soutient, puis celle de son sucesseur Teclis, qui fait un gardien formidable et très impliqué en plus d'un artisencre exceptionnel, avec qui j'ai beaucoup apprécié de travailler, et enfin bien entendu les artisencres qui ont donné tant du leur pour nous. Je les remercie tous.

L'amiral leva la main droite dans un grand geste théatrale et dramatique, le sabre de parade apparaissant briévement, le mouvement l'ayant fait bouger derrière le pupitre.

-Vive le projet Aéliséen du RP, longue vie à l'Union des Galaxie Eloignées!

Immédiatement après, les premières notes de l'hymne de l'infanterie coloniale d'Assedo rentetirent, alors qu'au même instant, tout se mettait en branle, partout dans le bâtiment, pour le dernier mouvement général. Au dehors, des rangées de soldats présentait leurs armes en parfait ordre, avec les drapeaux tendus tout les dix mètres, un pour chaque monde représenté, quittant les installations de l'officine en ordre vers le point d'évacuation.
L'amiral Nikolaï Syllas d'Acre, Ministre de la Marine de l'Union, Président de l'Organisation Centrale, fullakomtarque d'Acre, Grand Amiral de l'Union, Archi-Amiral de Christiansa, président d'honneur de la NUB, Patriarche de la Lignée des Syllas, H.N. ,etc..., eut un bref mouvement de la tête à l'adresse des optiques d'enregistrement, et quitta le pupitre, sur lequel le sigle "provisoire" de l'officine disparaissait lentement, tandis que les journalistes de la salle de presse calquée sur celle de la Chancellerie entraient en ébulition. Plusieurs hurlaient des questions incompréhensible à l'amiral, qui dédaignait la foule, mais le Chambellan s'interposa, répliquant aussi fort que possible qu'il n'y aurait rien d'autre.
Syllas alla rejoindre son ami et conseiller Sirica, Procurateur de Saint-Marc de Christiansa, et tout deux enfilèrent une longue suite de couloirs. Au détour de l'un, ils rencontrèrent le personnel de déménagement qui ramenait le magnifique bureau de duracier moderne vers l'extérieur. Il ne resterait plus rien dans sa pièce de travail...ni dans les autres dévolue à sa personne.
Enfin, au terme de la longue marche dans les corridors souterrains courrant sous leur ville, ils émergèrent des entrailles de la terre à l'extéreur de celle-ci, au milieu d'une immense place bétonnée, sur laquelle tout les militaires et membres de la délégation Unionnienne s'étaient rassemblés, formant une double haie au passage de l'amiral. Au bout se trouvait la coque grise et blanche d'un bâtiment de ligne, dont les énormes nacelles de sustentateurs créaient des ombres démesurées au sol. Tout en haut, vers l'avant de l'immense coque aux formes inssaisissables, son nom, inscrit en lettres classiques, ressortait: UFGS Patria. Cet astronef, vaisseau amiral de la VIIème flotte opérationnelle, était posé sur ses normes patins d'atterrissage, une passerelle descendant au sol depuis le sas, flanqué de plusieurs sabords de duracier renforcés qui ne s'ouvraient que pour les salves dévastatrices des classe Ienisseï. Plus loin sur les côtés, des panneaux des hangars de stockages étaient ouverts, et on terminait d'embarquer tout; il ne restait plus que le bureau aperçu plus tôt.
Arrivé au pied de l'accès à bord, alors que le Chant des Campagnes du Tribun Hyrros se terminait tout juste, Syllas se retourna, et lança un dernier regard en arrière, sur l'immense ville se dissinant à l'orée du désert.

-Mon dieu, que d'eau! Souffla-t-il, citant le maréchal de Mac-Mahon.

Puis, sans empressement, suivi du Procurateur de Saint-Marc, il monta à bord, rapidement imité par toute la délégation. Excatement trois minutes plus tard, les tuyères tetryoniques arrachaient l'énorme astronef au sol, et le lançaient dans l'azur, jusqu'à ce qu'il disparaisse dans le lointain, laissant l'immense tarmac désespérément vide.
Le vol vers Christiansa durerait sept heures. La galaxie continuait de tourner: trois inspections de troupes, et une réunion du Conseil d'Etat l'attendait. D'après ce qu'il savait, on discuterait du budget annuel accordé à la flotte...et d'autres choses d'importance.

Nombre de messages : 160 Age : 34 Date d'inscription : 25/11/2007

Première suggestion d'écoute musicale

Son Excellence le Comte Lars von Berg descendit l'escalier du splendide bâtiment victorien servant d'ambassade à l'Empire Krypto-Arkilien en compagnie de son premier secrétaire. La mine sombre en reflet des pensées noires qui avaient élus domicile dans son cerveau, l'ambassadeur remonta le long couloir à présent vide de décorations et de meubles en direction des jardins du domaine...

Le Comte sorti sous un ciel de plomb -le temps étant à l'orage- et se dirigea, flanqué de deux gardes qui attendaient à la sortie de bâtiment et toujours accompagné par son secrétaire, vers le centre des jardins en empruntant les allées des parterres de style art nouveau. Quinze prétoriens, les derniers du corps de garde, attendaient là, deux rangs de six, rangés de part et d'autres du drapeau, formaient deux lignes parfaitement parallèles au regard Burseg commandant de la troupe. Le gradé se retourna et salua l'ambassadeur.

-Faisons cela dans des délais raisonnables s'il vous plait.

Le Burseg pivota et cria ses ordres. Les gardes présentèrent leurs armes, baïonnettes pointées vers les nuages. Un autre ordre bref et guttural mirent les sergents situé à la droite et à la gauche de l'officier au garde à vous, les sous officiers remontèrent la haie d'honneur d'un pas lent et mesuré et s'arrêtèrent devant la hampe. Les deux gardes qui avaient suivis l'ambassadeur levèrent leur trompette et jouèrent l'hymne national tandis que les sergents amenaient les couleurs. Le Burseg salua et les gardes restèrent impassibles.

Tandis que les gardes repliaient le drapeau, les derniers événements défièrent devant ses yeux. Les remarques concernant un pseudo manque de volonté de l'administration unionienne, l'approche basse et indirecte du problème auprès des autorités intéressées par l'entremise d'intermédiaire. Méthode veule généralement appliquée par les pires seigneurs de guerre. Et évidemment la disparition de l'organigramme de la cité de l'envoyé plénipotentiaire de la superpuissance universelle avant même qu'elle ne fasse part de son désire de départ. Toutes ses insultes qui, du temps du règne de l'Impératrice Appolonia, auraient été considérés comme autant de casii Bellorum -l'Empereur Grégoire II étant un souverain bien plus pondéré- avaient donc forcés l'administration impériale a cesser tout lien diplomatique avec la république autoproclammée de Ter Aelis.

L'un des deux sergent salua son camarade qui revint avec le drapeau d'un pas lent sous la torpeur général, le temps était lourd, très lourd. Le sergent fut salué par le Burseg qui reprit le drapeau, pivota sur cent quatre vingt degrés, salua l'ambassadeur et lui remit le drapeau impérial.

-Bien partons d'ici...

Seconde suggestion d'écoute musicale

Le burseg cria deux ordres tout aussi gutturaux que les précédents, le langage de combat de la garde était censé susciter la terreur, les prétoriens y arrivaient toujours à la perfection. Les gardes mirent l'arme -un FAAM 9 Q160Z- à l'épaule et pivotèrent de 90 degrés sur la gauche ou la droite selon les rangs. L'ambassadeur remonta la hait d'honneur et lorsqu'il arriva au milieu, celle-ci se mit en branle en au rythme de l'envoyé d'Etat. Le cortège gagna l'arrière des jardins. Une navette Tri-Aerospace Colibri les attendaient là. Les pilotes saluèrent puis regagnèrent leurs sièges où ils lancèrent la séquence de préchauffage des modules anti-G. Les gardes montèrent en premier, seuls les deux sergents attendirent que l'ambassadeur, détenteur du drapeau soit monté à bord pour s'installer à leur tour.

Lentement puis de plus en plus vite, le colibri s'éleva dans le ciel jusqu'à rejoindre le petit scintillement en orbite géostationnaire, l'AKS Pax Imperia. Vaisseau Spacetech comme le démontrait son inégalable courbe, l'élégance au niveau des générateurs de boucliers s'insérant à merveille dans la structure du vaisseau. Cent fois copié, jamais égalé, un vaisseau Spacetech Industries restait un vaisseau unique. Le Pax Imperia tira une bordée de son artillerie d'autodéfense afin de saluer la septième flotte opérationnelle de l'Union puis s'éloigna lentement de la planète. Les quatre corvettes d'escortes rejoignirent le bâtiment et, après avoir parcouru trois millions de kilomètres en une demi heure, sauta dans l'hyperespace en direction de Nouvelle Oufa, puis d'Arkilia...

Je suis bien désolé de la manière dont cette démission se passe. Je suis désolé de te voir déçu. Et, sincèrement, je ne vois pas qui des artisencres actuels pourraient prétendre au poste que tu laisses ainsi vaquant, et qui se trouve je le pense bien au dessus des prétentions de chacun.

Nombre de messages : 5651 Date d'inscription : 22/11/2007

Syllas ...

Bravo. Non seulement tu es absent pendant des jours, voire des mois, sans pouvoir nous laisser une solution pour te remplacer (même temporairement) pour que l'Officine continue de tourner à plein régime, mais qui plus est, tu pars en voulant semer la zizanie.
Tu n'as pas été enlevé du rang des Gardiens, simplement de la modération des Artisencres. Pourquoi ?
Parce qu'il ne peut y avoir qu'un modérateur par groupe, et que étant toi absent, il a fallu passer Teclis à ce poste pour qu'il puisse opérer des changements. Mais, bien sûr, n'étant pas là, tu n'as pas eu vent de cela.

On ne pousse pas quelqu'un à "la porte" : Gardien n'est pas un poste honorifique, eu égard de ce que tu as, effectiment, contribué à bâtir avant cela. C'est un poste qui demande du temps et de l'investissement, atouts qui, de ton aveu, n'ont pas étés suffisamment de ton côté.
Nous cherchons à ce que le forum fonctionne, de la manière la plus optimisée qui soit.
L'officine battait de l'aile depuis longtemps, avec un Gardien à la place de deux, complètement débordé ... Nous t'avons déjà rappellé qu'il fallait faire avancer l'officine, tu nous a répondu que tu n'en avais pas le temps.
Le temps passant, l'Officine vivotant, le temps d'injecter du sang neuf nous a semblé opportun.
Nous en avons parlé à Teclis, peut-être aurions-dû t'en parler directement ? Soit, je l'avoue, mais je nuancerai en rappellant que tu n'es, toi, jamais venu nous voir en retour.

Je trouve maladroit de présenter une démission sous cet angle.
Tu n'as pas pu faire ton travail de Gardien correctement, nous le comprenons tout à fait, comprends donc, toi, que nous nous devions de réagir face à cela : souhaites-tu donc que l'Officine ferme ?

Alors, arrêtons d'entretenir cette ombre de tyrannie que nous, les Ads, appliquons sur vous.
Tu peux rester, si tu le souhaites : Prouve que tu peux être "Gardien des Artisencres".
Ne nous incombes pas la faute de ton inactivité, si nous ne le faisons pas nous-mêmes.

Et je note ici le temps que tu as réussi à donner pour cette fameuse démission.

Et je note aussi que tu n'as pas réussi à le redonner aux artisencres.

Je pense qu'une erreur a pu se glisser lorsque nous avons ré-écrit le sextant à plusieurs cerveaux... Elle ne serait pas la seule.
Pour ma part, tu es totalement associé au titre de gardien des artisencres, même si je n'ai jamais mis les pieds dans ton officine.
Je regrette ton départ, surtout s'il est motivé par de la rancœur. Il est vrai qu'être gardien demande du temps et de l'argent... Un troisième gardien aurait pu être nommé pendant la période de ta vie qui nécessitait un relâchement de tes activités aelisséennes, comme cela a été le cas dans l'académie de littérature.
La défaillance du système est sans doute à une mauvaise communication.

Je souhaiterais m'arrêter sur un point qui me semble important dans ton discours d'adieu. Tu sembles considérer une variété trop réduite des genres de rp. Le rp pur de sciences-fiction est très intéressant et me séduit beaucoup plus que celui de récits de batailles.
Alors, s'il te plait, ce n'est pas le moment de partir !

J'avais prévenu sur le topic interne que je partais pour plusieurs semaines, voire tout le mois d'Aout. Quand à fonctionner à plein régime, il faut dire que le "plein régime" n'est guère véloce, et n'égale sûrement pas ce que fait l'engagement régulier des aventures et écoles où un remplacement s'avère nécessaire, j'en convient, mais Teclis serait tout à fait capable de régler cela que je me disais, sans avoir tord, il me semble que je l'avais vu sur MSN auparavant, et même, si j'avais eut à choisir quelqu'un pour suppléer, il n'y avais guère de candidats potentiels parmis les artisencres de ce moment là que je connaisse assez - et qui soit actif.

Par rapport à la modération des artisencres, je l'ais dis dans mon post: je comprends que l'on mette Teclis pendant mon absence, mais on ne m'a pas remis. C'était cela que je soulignais.

Je suis conscient qu'il ne s'agit pas d'un post honorifique comme celui de procurateur de Saint Marc. Comme dit, si l'investissement n'y était pas, c'était à cause du décallage entre l'idée des RP d'origine à laquelle je me réferrais au niveau de celles que je connaissais depûis déjà longtemps, et celle qui était devenue lentement mais sûrement la réalité de Ter Aelis. Quand à aller vers vous, je me permet de remarquer l'absence sur MSN, à cet instant même alors que la connexion sur le forum est avéré par le post, d'autant plus que la sommation m'avait déjà été donnée par l'entremise de Teclis.

Enfin, il est impossible de dire que je suis la seule cause de l'activité faible de l'officine, c'est choisir un bouc- émissaire. Comme dit, encore une fois, les projets d'une actvité formidable sont grandement exagérés, étant donné que nous ne disposons pas d'une plate-forme suffisante auprès des clients potentiels, dans les MMORG tels qu'Ogame, qui est le principal. Sauf miracle, il est difficile d'envisager cela, et cela se prouvera par soi-même. D'un autre côté, il n'y a aucune raison de l'officine ferme à cause de moi...ça n'est pas la faillite généralisée, dire cela est noircir le tableau. Enfin, mon inactivité résulte d'une part de l'absence de connexion internet en Bretagne sur mon lieu de vacance (si Ter Aelis me sponsorise une connexion internet sur place, je suis partant pour une nouvelle cession), d'autre part de la faible stimulation à l'égard des commandes qui sont de plus en plus éloignées de mon champ principal de RP.

Par rapport à ce que dit Aillas...et bien, il était clair que j'allais m'escrimer à pondre un pareil texte en disposant de quelques minutes de connexion par semaine en aout? Noter ausi partiellement conduit à la mauvaise aprétiation. Quand au recrutement d'artisencres...ça n'est pas une activité facile, et la régularité demandée n'est aps la même que celle pour les élèves et autres, car introduit le facteurs des commandes, qui ne suivent pas une courbe linéaire.

Je suis d'accord avec toi Cassiopée, il y a des problèmes de communication dûs à des raisons fort diverses, il faudrait tacher de se creuser la tête pour établir un mode de communication efficace autre les WIP, qui prennent en compte beaucoup de choses, mais parfois aussi qui ne concernent pas directement la com., comme ds sections déplacées, des topics renommés, etc... Et oui, je doit dire que la focalisation sur une certaine sorte de RP est un problème. J'avais l'intention en revenant de poster mon dernier gros RP pure SF, mais j'en suis plus si sûr en ce moment...

Je suis en droit de penser que les actions, déclarations, et déçisions prises après le post de cette démission m'offrent de nouveau la possibilité de travailler correctement et de relancer pleinement l'officine, et retire ainsi ma démission.

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