Attiré ici par le titre (comme quoi*), ton poème m'a interpellé.
Foin de technique, de rimes, de formes, je n'y ai vu que le fond ausi opaque qu'un café fort.
Ca sent le lâchage d'émotions, le débridage des limites et l'envie de coucher par écrit son être.
On pourrait presque croire, à la première lecture, que ce n'est qu'enchevêtrement de mots sans suite logique.
Oh, il y en a sans doute une, mais quand je vois qu'Ayasse y perd sa logique, je me range à l'avis que c'est un pur sang. Un jet. Mais un bien beau et bien frais.
* Vous les compterez, les comms de poèmes, chez moi.