[Defi] Cassiopée et Franz - Aimer le même homme.

Alors tout d'abord merçi les filles. Pour moi, deux des personnes que j'apprécie le plus qui nous offre du savoureux ça fait vraiment plaisir. L'une qui ne veut jamais écrire ces écrits et quand on les lit on se demande vraiment pourquoi, car c'est vraiment une plume que j'aime, franz. Je trouve que vraiment tu nous offres un certain style, mode de pensée, tu nous mets dans l'ambiance et tu vas au dela des mots ou du schéma basique.
Cassiopée, elle est plus courageuse et j'aime d'autant plus, je ne m'en lasse pas, c'est toujours une invitation au rêve, à la visualisation, à l'émotion, à l'imagination.

Alors déja un thème qui peut paraitre ardu, parler de quelqu'un qu'on aime et en plus le mettre à vu de celui-ci c'est vraiment doublement difficile, car même si c'est un échange il a une sorte de pression. Les textes sont des pépites chacun différent je vais les commenter un peu et alors l'idée de rajouter du visuel, de les imager, vraiment bien, on devrait le faire de plus en plus, montrer cohésion graph- plume, montrer ce que peuvent apporter ces échanges. Oh et je viens de voir l'ajout musique encore une bonne idée, il y a eu quelques précédents avant en bibliothèques et je trouve que c'est un plus.

Alors quand je descends le curseur d'abord le texte de Cassi.
La musique je trouve qu'il te ressemble, très coloré, très hippie lol, avec une trame toute en douceur, qui nous emmène un peu partout, dans un champ, dans les nuages ça fait un peu kaleidoscope je trouve que ça te sied bien et que ça va aussi avec l'image du grand soleil.
Bon le texte, le premier, la naissance ce que j'aime bien c'est que d'un c'est imagé et que ce n'est pas sentimentalo pour deux ronds, je m'explique, tu nous donnes vraiment l'image de la naissance, à la fois souffrance, lutte et amour, un trop plein. Le enfin montre bien l'attente maternel et la délivrance de la jouissance.
En fait c'est un tryptique où tu enchasses le dialogue entre deux textes.
Premier texte la relation mère fils et le premier contact, la découverte et le dialogue dans le soleil, et ensuite le dernier texte est comme un constat, une réconciliation l'amour d'une mère pour l'amour de son fils. Le troisième est plus chantant et rayonnant que le premier je trouve. Comme si c'était un enchainement qui allait en ascendant.
Celui du milieu c'est une explosion, une déclaration dans ce dialogue imaginaire. C'est toute l'expression de l'émotion. J'adore ce dialogue, par ces sonorités, par les idées et images qui se répondent. Je trouve ça innovant.
Le tout est vraiment complet, une sorte de patchwork mêlant ton amour à l'amour de Franz.
Euh voila ça sera tout.


Franz
Pour la musique, j'ai regardé juste le début du clip et la caméra façon interne de la personne allant vers le pont ça m'a rappelé ton texte étrangement, comme si le regard essayait de se perdre au loin comme la femme à la fenêtre. Là aussi, la musique convient ( tu as bien choisi pour les deux) celle-ci est beaucou plus fragile, le piano est magnifique, on a l'impression qu'on va tomber, ça fait une boule au ventre. Ca va avec ce texte à fleur de peau.
Tout d'abord je ne m'attendais pas à ça comme j'ai du déja te le dire, je m'attendais à un truc du genre grande déclaration.Et je suis sure que ça aurait été beau, mais là tu m'as encore plus surprise et ravie car c'est encore plus beau qu'une déclaration à son homme, c'est une déclaration au monde, à soi même, se déclarer d'ête touché par l'amour, et un amour qui peut nous briser mais auquel on permet tout et dans lequel on s'abandonne.
Je commente un peu comme tu voulais, j'aime ce début en mode chassé croisé
les prénoms se répondent, les portraits jouent sur une similitude qui en même temps s'oppose, ne se décompose pas. J'aime bien le mot décomposé. Comme si l'humain était une construction, ce qu'il est, comme si le second était érigé en divinité.
J'aime bien comment tu organises et sectionne ton texte.
Les personnages, la fusion.
La rencontre, les images, toujours de l'admiration, de la fragilité. Déclarer à l'aimé. J'aime le décor, les livres, l'univers des mots. Transposition. Très privé ce que tu nous transmets.
Ca joue sur l'émotion.
L'amour qui bouffe, qui fait peur, qui consume.
Partie sortilège est tout simplement bouleversante, le chaos, à moins que le chaos n'était la rencontre, comme si elle avait tout perdue en réalisant ce qu'elle n'avait jamais connu auparavant. Comme du sens. Comme une raison.
Tu as très bien décrit les réactions physiques du désespoir, on s'y retrouve et même on s'y voit dans les images même quelque peu irréelle.
L'épanchement est d'un lyrisme pur, le dialogue avec les images, la plage, l'eau, le ruban, c'est très poétique, et on regarde. L'idée du temps compté avec Jérémie est un rappel, si ciselé et si douloureux. L'amour.
Je suis en fait sans mot désolé Franz je ne peux commenter trop de personnel, d'émotion j'aime beaucoup.
L'image va très bien avec la fin de l'histoire, le moment de solitude sacré , arrêté, face à la mer. Bien trouvé la aussi.

Il a raison d'être amoureux de ces deux femmes, de façon différente mais de façon tout aussi importante.
Merçi les filles.

Ca fait quatre fois qu'on me pose la question : le premier texte a bien été écrit par mes soins, le second par Cassiopée elle-même. La mise en page des deux textes a été faite par Cassiopée et le choix des musiques est de moi. :Smile

Merci pour vos commentaires.

Ah, j'ai enfin compris le titre du sujet, et l'intérêt du duel amical. Je devais être le seul à n'en rien savoir.

Ter Aelis, un feuilleton mémorable.

Tu pensais, peut-être, que j'étais amoureuse du mari de Cassi ? Héhé.

Ou que t'avais pour amant le mien....