Chambre avec vue sur l'ascenseur

Moi j'ai un commentaire tout prêt ^^

Mais j'attendrai la phase quatre pour le mettre, sinon spoiler tout ça, tout ça !


Comment ça je recycle ?
Bah oui ! les vieilles habitudes du Board que voulez-vous mon pauvre Mossieur :p


N'empêche que c'ets bien.

Lisez-le !

ogame, c'est le recyclage des ressources :

Citation :

Ce que j'ai aimé par dessus tout ce sont ces personnages d'une banalité et d'une simplicité affligeante (dans leur existence j'entends, pas de façon littéraire). Le VRP dans toute sa splendeur aussi conscient de ce qui l'entoure que pourrait l'être un concombre de mer dans un panier de crabes, est très bien rendu et colle parfaitement à l'ambiance générale de cet hôtel spécialisé.

Le fait que ce ramassis de crétins décérébrés restent identiques à eux-mêmes dans l'au-delà, absorbés dans quelque chose d'incroyable et d'inouï, insensibles à l'aspect fantastique et merveilleux de la situation, est pour le moins truculente.

Le lieu joue également beaucoup sur ce rendu puisque limité à un décors des plus affligeant : l'hôtel et son entourage direct dans lequel se grime cette entité farfelue et terriblement humaine dans son simulacre.

LE personnage féminin est aussi intéressant puisque comme les autres , elle reste identique à elle même dans la mort et la simulation : entêtée et écervelée, à peine plus connectée à l'univers que ses comparses.

Par contre le gros défaut de ce texte je pense, est qu'il est vraiment trop court. vous auriez pu ouvrir encore un peu plus les perspectives, notamment la fin qui est vraiment trop abrupte (mais vraiment trop !).

Ceci dit on retrouve bien tout votre univers loufoque et insensé, où se croisent la SF la plus assumée et fantastique, et les personnages les plus franchouillards et ahuris qu'ils soient.

En bref c'ets une jolie fable sur la vacuité de l'être humain et les illusions qu'il entretient sur l'importance de sa propre existence dans son quotidien stérile.

Citation :

une morne monotonie.

Un peu redondant ? ^^

Bonne première partie, style léger, plutôt marrant. J'aime la relation sympathique qu'entretiennent le narrateur et le personnage ^^.

Citation :

M. E. ne comprenait pas ce qu’il voyait et cela avait une tendance entêtante à le mettre hors de lui, si tant est que cela avait encore un sens. Si tant est qu’il avait encore un intérieur.

Citation :

Son « coach » arriva. Il fut presque soulagé de voir cet insupportable crétin confit dans sa cuistrerie.

J'adore .

Citation :

Max tourna les talons non sans avoir tendu l’index en sa direction et utilisé son pouce comme le chien d’un colt. Il avait très certainement dû faire une overdose de série américaine, dans sa vie antérieure. Ces séries où la gestuelle est plus importante que les dialogues qu’ils sont censés souligner, du genre marquer des guillemets virtuelles avec les index et les majeurs en penchant légèrement la tête sur le côté et levant les yeux au ciel.

J'aime ce style, hilarant !

Citation :

Il hésitait entre le rire et la régurgitation. Pour vomir quoi ? Du papier peint ? Cette image le fit basculer plutôt du côté du rire. Du genre inextinguible. Celui qui peut se déclencher en cours de math, en fin de journée ou durant une messe mortuaire.

Quel enchaînement de phrases truculentes.

A ce titre, la première partie est peut-être plus introductif et sobre, mais la deuxième partie enchaîne vite. En tout cas, nouvelle plaisante à lire (on se demande un peu d'où tu l'as sortie ?!), vu que je l'ai... mangée d'une traite ! Il y a une suite à venir ?