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Aillas
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Aillas


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MessageSujet: [Article] Faire un commentaire   [Article] Faire un commentaire Icon_minitimeLun 6 Juin - 18:29

Commenter.
Lumière Lumière
Lumière

Souvent assez difficile d'apporter sa pierre à l'édifice quand un texte vous a particulièrement plu, ou qu'il ne vous a pas touché. Dans un cas vous n'avez que « C'est trop cool, GG bravo ! » en tête et dans l'autre vous ne commentez même pas, de toute manière vous avez l'impression de ne rien avoir à dire. Sauf que c'est faux, on se laisse trop souvent dominer par le sentiment immédiat, ce qui nous empêche cordialement de procéder de manière intelligente. Mais je suis là pour essayer de donner un coup de pouce à tous les commentateurs en herbe que vous aspirez à devenir du plus profond de votre âme.

Lumière

D'une part, une s'agit de décomposer l'œuvre qui vous est proposée et de s'attarder sur les points qui la composent. La forme et le fond sont les deux axes à exploiter pour commenter efficacement :

Lumière

La forme.

Les temps :
  • Est-ce que la concordance des temps est convenable ?
  • Le mode temporel employé est-il le plus efficace ?


La fluidité :
  • Les phrases sont-elles agréablement construites ?
  • La ponctuation est-elle à sa place ?
  • Les phrases ne sont-elles trop courtes, bonnes, trop longues ?
  • Si musicalité il y a ou devrait y avoir, quels sont ses éléments favorables et défavorables ?


La grammaire :
  • Le texte est-il parsemé de fautes ?


Lumière

Le fond.


Les images :
  • Les métaphores sont-elles convenues ou bienvenues ?
  • Les comparaisons sont-elles pertinentes ?


La thématique :
  • Le sujet mériterait-il plus de nouveauté dans le point de vue ou est-il abordé de manière efficace ?
  • Le sujet est-il suffisamment exploité ? Comment l'améliorer, quels points auraient mérité une plus grande attention ?


L'auteur :
  • En regard aux productions extérieures de l'auteur, celui-ci ne devrait-il pas explorer autre chose ? Continuer à approfondir le sujet ?
  • Est-ce mieux ou moins bien que d'autres textes ? Par rapport à quels éléments ?
  • L'auteur a-t-il tenu compte des remarques précédentes ?


Toutes ces questions sont des aides pour vous lors de la rédaction de votre commentaire, s'attacher à répondre à une partie de ces questions pourra amener votre commentaire à apporter un avis construit et constructif à l'auteur. Bien évidemment, il n'est pas impérativement nécessaire de répondre à toutes ces questions, ce qui rendrait le fait de commenter un peu rébarbatif.

Un point important par ailleurs, ce n'est pas parce que vous êtes subjectifs que vous êtes dans le faux. Votre avis mérite de l'attention, et ce malgré les commentaires précédent le votre. N'hésitez pas à commenter dès lors que vous avez lu un texte. Les auteurs vous en remercieront.
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Mike001
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Mike001


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MessageSujet: Re: [Article] Faire un commentaire   [Article] Faire un commentaire Icon_minitimeVen 17 Jan - 18:59


Faire un commentaire : la pratique


Commenter est un exercice de style comme un autre, une certaine aisance vient donc par la pratique. Pourtant, s'il peut paraître difficile de prime abord d'approfondir les sentiments nés à la lecture d'un texte, d'étudier la syntaxe, le vocabulaire, la grammaire et la cohérence ; une méthode peut simplifier le tout. Il s'agit, bien sûr, de la fameuse méthode Pransson-Springfield, de l'école analytique de Columbia¹ qui est particulièrement adaptée au traitement des WIP.

Celle-ci comporte plusieurs étapes :
- une ou plusieurs lectures attentives de l'œuvre
- un clic sur "citer"
- et hop le commentaire commence
- et hop il est terminé on envoie

En l'espèce, nous allons prendre un exemple (tiré de ma propre textographie honteuse directement issue de 2008-2009) :



De l'extinction des poussins



Depuis tout petit je me sens différent. C'est de leur faute, ils se sentent tellement supérieurs en prenant leurs grands airs et en faisant les gros yeux à chaque fois qu'ils me voient. Mes parents ont disparu dans la forêt, peu après ma naissance. Alors une vieille chouette m'a recueilli. Elle a fait du mieux qu'elle a pu, mais ça n'a pas empêché à ce que les autres me rejettent. Tenez, rien que hier je me suis fait insulter par une bande de petits blanc-bec tout juste sortit du nid de leur mère. Que vouliez-vous que je fasse ? Pendant des mois, je ne me promenais plus. Je préférais me cacher, là où personne ne pouvait m'atteindre. La vieille m'a conseillé d'affronter mes problèmes, de les regarder en face, de leur montrer mon mépris mais de ne rien faire. Elle avait raison en partie et a réussi à me convaincre. Bon, il y aura fallu des semaines et des semaines, certes. Donc, comme je vous le disais, hier j'ai fait une sortie, succincte du fait de la bande qui m'a traité. Ils étaient six, impossible de régler ça sur le moment. Malgré ce que ma mère adoptive m'avait appris, j'avais accumulé tellement de haine que j'en oubliais l'éthique, la retenue et les principes fondamentaux de vie en communauté. En gros, je m'abaissais à leur niveau.

Je savais exactement qui était qui. J'avais passé suffisamment de temps à observer les gens lors de ma réclusion. Je ne pouvais dormir de la nuit. Ils m'obsédaient. Alors, je me décidai d'en finir. Durant les longues heures qui étaient devant moi, je mis au point un plan. Un plan diabolique même. Au matin, j'avais un grand sourire au lèvre. Ce qui étonna ma vieille, évidemment. J'engloutis mon déjeuner et patiemment attendis de les voir. Dès que j'en vu un je me dépêchai de sortir de ma grotte pour le retrouver. Nous marchâmes vers un coin plus tranquille, là où on ne nous verrait pas. Rien de plus facile pour cela. Il était très facile à manipuler, en lui promettant un cadeau en échange de quoi il devait arrêter de m'insulter. En un sens, c'était vrai. Je ne lui avais seulement pas précisé les choses. Que comme mes parents, il ne ressortirait pas de la forêt par exemple.

Je répétais ce manège cinq fois, et me félicitais pour mon travail. J'aurais fait un bon boucher je pense. Néanmoins, il y avait un revers à la médaille : les corps. Je commençais donc à creuser un grand trou, ce qui me pris quelques heures tout de même. Sans compter que je devais rassembler les morceaux et reboucher. C'était vraiment une tâche ingrate, nécessaire cependant. Je ne vous le conseille pas. Je compris plus tard que ça ne servait à rien de se fatiguer pour les corps, autant les laisser sur place. Il suffisait de bien effacer ses traces. Ce que je fis d'ailleurs en partant. Je n'allais pas laisser mes empreintes reconnaissable en plein milieu de tout.

Le lendemain, les familles les cherchaient. Moi, je contemplais les conséquences de mes actes. Prenant des notes. Les attitudes étaient à retenir au cas où je devrais recommencer. On ne dirait pas comme ça, mais c'est un art, l'assassinat. Certes, je suis peut être légèrement dérangé. Mais c'est de leur faute. J'ai faim. Vous n'avez pas faim, vous ? Enfin bref, ils abandonnèrent les recherches au début de la troisième semaine des « malheureuses disparitions », c'est le nom qu'ils donnèrent à ma vengeance. J'espère que vous les excuseriez, ils n'avaient pas vu l'état de leurs petits poussins. Ça avait donc l'air seulement malheureux.

Ils procédèrent à un enterrement sans corps. Je sentais que les gens étaient plutôt triste lorsque j'assistais à la cérémonie. Un ami des « disparus » se pencha vers moi, en pleine procession. Et tout bas me parla « Qu'est-ce que tu fais là le Rouge ? T'as pas tes parents à retrouver le plumé ? ». Je lui répondis : « T'as pas des copains à retrouver le Jaune ? ». Je m'occupai de lui deux jours plus tard. Ce qui entraîna de nouvelles recherches pour les six autres, lorsqu'ils le retrouvèrent. Ouais, c'était franchement pas beau à voir. Jusqu'ici les attentions ne se portèrent pas sur moi, ils commencèrent à s'en douter quand ils tombèrent sur des restes de deux personnes. Je sais que je devrais avoir honte, mais vous savez lorsque vous y prenez goût, il est dur de s'arrêter. De se fixer des barrières.

En revanche, ils surent carrément que c'était moi quand des témoins me virent emmener dans la forêt le jeune Ducky. Ils ne firent pas grand chose, et moi j'allais par la suite me baigner dans le lac. Tous s'écartaient devant moi en secouant leurs plumes jaunes pendant que leur dindon de mère les éloignaient de moi. Je m'occuperai d'eux ! Aussi vrai que je suis un perroquet rouge tueur de poussins. C'est de leur faute vous savez. Tous ses piafs n'avaient pas qu'à être méchant avec moi. Si je trouve des oeufs je les fait cuire. Il paraît que c'est bon. Ça n'a jamais tué d'humains en tout cas. Non madame, je ne suis pas un canibal voyons, nous ne sommes pas de la même espèce. Désolé, je dois vous laisser, la vieille vient d'apprendre ce que j'ai commis. Je vais peut-être déménager, je n'ai pas très envie de nettoyer.

 Lumière  Lumière  Lumière 

Maintenant qu'il est lu, nous pouvons attaquer le travail, car nous brûlons d'impatience de mettre en exergue toutes les fautes que nous avons pu trouver.
Personnellement, j'utilise un code couleur simple et compréhensible rapidement : le rouge c'est pour les fautes ; le orange pour les répétitions ; le rose (parfois le vert) pour soulever des problèmes de syntaxe, proposer des corrections et pour poser des questions à l'auteur.
Ici, j'ajouterai exceptionnellement le bleu, afin de commenter le déroulement de cet exercice de corrections et d'analyse.

Nous allons donc nous atteler à entourer de balises les répétitions (pour cela il faut de la mémoire ; une utilisation de la fonction recherche – ctrl + f – peut pallier à un tel déficit) et à corriger les fautes (l'usage d'un bescherelle ou d'un conjugueur est vivement recommandé). Les points qui peuvent être les plus délicats seront la syntaxe et le style, mais prendre chaque phrase indépendamment permet de repérer les faiblesses éventuelles et de les traiter en toute quiétude une par une.



Citation :
Depuis tout petit je me sens différent. C'est de leur faute, ils se sentent (on peut dire que ça commence bien : deux phrases et déjà une répétition, généralement ça donne le ton et est symptomatique d'un manque flagrant de relectures) tellement supérieurs en prenant leurs grands airs et en faisant les gros yeux à chaque fois qu'ils me voient (l'utilisation du gérondif est inutile et alourdie la phrase : je-tu pourrais le tourner de cette manière : "C'est de leur faute. Ils s'estiment tellement supérieurs : ils prennent leurs grands airs et font les gros yeux dès qu'ils me voient"). Mes parents ont disparu dans la forêt, (virgule inutile) peu après ma naissance. Alors une vieille chouette (étant donné que le twist de fin repose sur le fait que ce sont des oiseaux, je-tu devrais remplacer le terme de "chouette") m'a recueilli. Elle a fait du mieux qu'elle a pu, mais ça n'a pas empêché à ce que (inutile, lourd et incorrect : "Elle a fait du mieux qu'elle a pu mais les autres m'ont quand même rejeté") les autres me rejettent. Tenez, rien que hier (rien qu'hier) je me suis fait insulter par une bande de petits blanc-bec tout juste sortit du nid de leur mère (trop explicite encore). Que vouliez-vous que je fasse ? Pendant des mois, je ne me promenais plus. Je préférais me cacher, là où personne ne pouvait m'atteindre. La vieille m'a conseillé d'affronter mes problèmes, de les regarder en face, de leur montrer mon mépris mais de ne rien faire ("de ne pas les provoquer" plutôt). Elle avait raison en partie ("Elle avait en partie raison" sonne mieux, de toute manière le "en partie" est-il nécessaire ?) et a réussi à me convaincre. Bon, il y aura fallu des semaines et des semaines, certes (" [...]convaincre, encore qu'il y aura fallu des semaines"). Donc, comme je vous le disais, hier j'ai fait une sortie, succincte du fait de la bande qui m'a traité ("insulté"). Ils étaient six, impossible de régler ça sur le moment. Malgré ce que ma mère adoptive m'avait appris, j'avais accumulé tellement de haine que j'en oubliais l'éthique, la retenue et les principes fondamentaux de vie en communauté. En gros (inutile), je m'abaissais à leur niveau.

(un commentaire de ce genre prend une demi-heure au minimum. Pour ce texte, la tâche va être longue tant il y a de choses à revoir)

Je savais exactement qui était qui. J'avais passé suffisamment de temps à observer les gens lors de ma réclusion. Je ne pouvais dormir de la nuit. Ils m'obsédaient. Alors, je me décidai d'en finir. Durant les longues heures qui étaient devant moi, je mis au point un plan. Un plan diabolique même. Au matin, j'avais un grand sourire au lèvre. Ce qui étonna ma vieille, évidemment. J'engloutis mon déjeuner et patiemment attendis de les voir. Dès que j'en vu un je me dépêchai de sortir de ma grotte pour le retrouver. Nous marchâmes vers un coin plus tranquille, là où on ne nous verrait pas. Rien de plus facile pour cela. Il était très facile à manipuler, en lui promettant un cadeau en échange de quoi il devait arrêter de m'insulter. En un sens, c'était vrai. Je ne lui avais seulement pas précisé les choses. Que comme mes parents, il ne ressortirait pas de la forêt par exemple.

(ce paragraphe se lit plus aisément, notamment grâce au passage soudain à l'imparfait et au passé simple, ce qui n'est pas dans la continuité du premier : problème de concordance des temps)

Je répétais ce manège cinq fois, et me félicitais pour mon travail. J'aurais fait un bon boucher je pense. Néanmoins, il y avait un revers à la médaille : les corps. Je commençais donc à creuser un grand trou, ce qui me pris quelques heures tout de même. Sans compter que je devais rassembler les morceaux et reboucher (" [...] et reboucher la fosse commune"). C'était vraiment une tâche ingrate, nécessaire cependant. Je ne vous le conseille pas. Je compris plus tard que ça ne servait à rien de se fatiguer pour les corps, autant les laisser sur place. Il suffisait de bien effacer ses traces. Ce que je fis d'ailleurs en partant. Je n'allais pas laisser mes empreintes reconnaissable en plein milieu de tout.

Le lendemain, les familles les cherchaient. Moi, je contemplais les conséquences de mes actes. Prenant des notes. Les attitudes étaient à retenir au cas où je devrais recommencer. On ne dirait pas comme ça, mais c'est un art, l'assassinat. Certes, je suis peut être (peut-être) légèrement dérangé. Mais c'est de leur faute. J'ai faim. Vous n'avez pas faim, vous ? Enfin bref, ils abandonnèrent les recherches au début de la troisième semaine des « malheureuses disparitions », c'est le nom qu'ils donnèrent à ma vengeance. J'espère que vous les excuseriez, ils n'avaient pas vu l'état de leurs petits poussins. Ça avait donc l'air seulement malheureux.

Ils procédèrent à un enterrement sans corps. Je sentais que les gens étaient plutôt triste lorsque j'assistais à la cérémonie. Un ami des « disparus » se pencha vers moi, en pleine procession. Et tout bas me parla (lourd) « Qu'est-ce que tu fais là, (il y a une virgule avant le nom ou l'appellation des personnages) le Rouge ? T'as pas tes parents à retrouver, (bis repitita) le plumé ? ». Je lui répondis : « T'as pas des copains à retrouver, (même chose) le Jaune ? ». Je m'occupai de lui deux jours plus tard. Ce qui entraîna de nouvelles recherches pour les six autres, lorsqu'ils le retrouvèrent. Ouais, c'était franchement pas beau à voir. Jusqu'ici les attentions ne se portèrent pas sur moi, ils commencèrent à s'en douter quand ils tombèrent sur des restes de deux personnes. Je sais que je devrais avoir honte, mais vous savez lorsque vous y prenez goût, il est dur de s'arrêter. De se fixer des barrières.

En revanche, ils surent carrément que c'était moi (lourd) quand des témoins me virent emmener dans la forêt le jeune Ducky. Ils ne firent pas grand chose, et moi j'allais par la suite me baigner dans le lac. Tous s'écartaient devant moi en secouant leurs plumes jaunes pendant que leur dindon de mère les éloignaient de moi. Je m'occuperai d'eux ! Aussi vrai que je suis un perroquet rouge tueur de poussins. C'est de leur faute vous savez. Tous ses piafs n'avaient pas qu'à être méchant avec moi. Si je trouve des oeufs ("œufs") je les fait ("fais") cuire. Il paraît que c'est bon. Ça n'a jamais tué d'humains en tout cas. Non, madame, (un point conviendrait mieux) je ne suis pas un canibal ("cannibal") voyons, nous ne sommes pas de la même espèce. Désolé, je dois vous laisser, la vieille vient d'apprendre ce que j'ai commis. Je vais peut-être déménager, je n'ai pas très envie de nettoyer.

 Lumière  Lumière  Lumière 


Voilà, le texte est commenté, du moins dans sa partie formelle. Le fond vient tout seul après cela : l'histoire tient-elle la route ? est-elle prévisible ou surprenante ? Mériterait-elle d'être poursuivie et développée ou abandonnée à tout jamais dans les tréfonds du forum ? La qualité du texte est-elle inférieure aux productions précédentes de l'auteurs ou supérieure ?

Vous avez dorénavant toutes les cartes en main. Si cela vous semble trop fastidieux, quittez ce forum ou restez à Galvorn. Si vous n'avez pas le temps, achetez-vous une montre mais que vous désirez tout de même commenter, prévenez l'auteur de l'existence de fautes et de répétitions ainsi que de la maladresse de certaines tournures, il vous en remerciera.


__
¹ Nan, je déconne. Ça n'existe pas.
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