[La guerre des Confréries] en temps de guerre

Teysa montait les escaliers qui menaient au contrefort de Galvorn, une ruine de l’époque ou la ville était encore sous le joug de Belthil, en haut les troupes des Lunaires et du Zénith les attendaient. Cette guerre était absurde il le savait mais il ne pouvait se permettre de ne pas y participé, sa confrérie, sa ville était menacé. Il finit par arriver à une terrasse qui surplombait la grande place. Des milliers de personnes les attendaient là, tous armés, tous mobilisé voyant arrivée leurs seigneurs, ils les acclamèrent à renfort de grands cris, un grondement que secoua l’air de la ville.
Teysa ouvrit les bras et les abaissa pour calmer la foule, les brumes sortirent de sa capes pour envahirent l’aire de la ville, quand il prit la parole, sa voix raisonna dans la ville entière.

- Confrère, camarade, allié, nous somme rassemblé aujourd’hui pour combattre l’oppression d’une noblesse corrompue et décadente, nous tous là aujourd’hui prés à nous battre contre les détracteurs de la liberté. Mes frères, aujourd’hui nous n’aurons aucune victime, tous ceux qui tomberont seront les martyr d’une cause que nous savons juste, et pour chaque personne qui s’écroulera, dix personne seront la pour prendre sa place et défendre sa dépouille, qu’elle soit honorer. Mes frères, aujourd’hui nous vaincront afin d’anéantirent nos ennemie, nous montreront a ces bourgeois engrossit le pouvoir de la fange de Galvorn, nous somme les phalènes, les fils de la lune et aujourd’hui mes frères, nous vaincront !

Sur l’esplanade a ses cotés se tenait un elfe marquer du sceau de la lune, un phénix perché sur son épaule, un humain qui serait un polochon, un homme enrouler dans une cape noire, une grande dame au chevaux turquoise, un étrange personnage au allure d’autre-monde, une fillette qui respirait la magie et au regard dur, un guerrier armée de deux grandes lames, et une autre gamine tenait d’une main la dame turquoise et de l’autre une poupée dérangeante.

» Les Thermes [zone publique]