Concours Taverne!

Texte 1

Citation :

Au loin, on pouvait apercevoir près de la rue principale , une grande batîsse, contruite en marbre principalement ou en brique rouge. C' était un batîment simple- c' est à dire un rectangle surmonté d' un toit en bois qui donnait l' impression d' un drôle de couvre-chef.

Devant celui-çi, un jardin offrait un superbe spectacle aux voyageurs. On y trouvait de part et d' autre de l' allée, un saule pleureur qui déversait ses larmes végétales et un bouleau gigantesque qui déposait son ombre douce sur l' herbe humide. Des bancs de pierres étaient placés sous l' ombre de ce dernier et contre la facade rouge de la taverne.
La pelouse abondait de tulipes et de crocus qui s' élevaient par centaine, faisant couler sur les passants une odeur parfumée et douce.
La Soleil s' élevant au-dessus du batîment et déversant dessus ses chauds rayons, faisait refléter sur les échopes et maisons environantes une douce lueur rouge-orangée. Au dessus de la porte de bois, deux haches se croisaient avec, au-dessus, une chope peinte.

A l' intérieur, c' était différent.
La première chose qu l' on remarquait, c' était la vingtaine de tables rondes qui remplissaient la salle carrée. Un feu simple brûlait au milieu de celle-çi, étant suffisant pour réchauffer les alentours, et les lampes accrochées aux murs donnaient une lueur ombrageuse le soir.
De chaque côté de la porte d' entrée, une statue de nain célèbre qui donnent sur la salle une atmosphère de puissance et de respect de par leurs ombres.
A droite se trouvait le bar, où le barman Igor était en train de sommeiller paisiblement. L' estrade aux musiciens face à l' entrée. Les hautes fenètres rondes, placées à une dizaine de mètres du sol, donnait à la salle des allures d' église.
Mais on y boit à peu-près la même chose, alors...

Dans un coin, attentive à la moindre trace, à la moidre poussière, Irma la femme de ménage vaillait au grain.
Les serveurs étaient de hauts et beaux elfes (comprenez de belles elfes), des hobbits rondouillards (des mâles cette fois-çi) et des humaines. Tous étaient habillés du même uniforme gris-noir, vert-bouteille pour les elfes.

Mais quelque chose attirait vite l' oeil: les chaises.
Certaines étaient normales ou petites, encore plus petites ou larges, renforcées ou en bois fin et doux. En effet, l' auberge était ouverte à tous, du semi-homme au grand orc (si celui-çi essuyait ses pieds avant de rentrer).

Cette taverne était un lieu convivial et acceuillant pour tous les membres du monde fantastique et magique. Typique du monde médiéval, il est la fois un lieu de détente et une salle de repos, aceuillant toues créatures, petites et grandes.
Aujourd' hui, cette Taverne est votre, pour le plus grand bonheur de tous, prête à abriter les plus grandes histoires épiques, les récits de voyages et de merveilles et à acceuillir toutes les créatures du monde fantastique.

Texte 2

Citation :

La lumière était douce, filtrée par la manteau feuillu qui dominait le village suspendu. Aëvian Fün'Il Marchait sur l'une des passerelles moussues liant les plates formes.
Aëvian était un artisan elfe, il maitrise l'art du bois, la gravure et la sculture était son domaine. Il arriva devant l'un des chênes millénaires d'Adalerin quand lui survient cette vision, il regarda ses outils puis les pris en mains.
La première entaille dans le bois fût faite. Les jours passèrent, les nuits s'enchainèrent et bientôt, l'arbre pris la forme d'une batisse elfique logée au milieu de deux cascades. Mais l'eau n'avait pas sa place dans ces chutes, l'hydromelait y régnait. Les deux flots d'alcool arrivait dans deux grands bassins de bois gravés.
Les gravures semblaient si réelles qu'à plusieurs reprises on eu cru voir l'un des héros du village nous regarder, une coupe à la main.
La batisse quant à elle était légère, des grands vitraux laissait entrer la lumière. Un raie de lumière éclairant avec majesté un comptoir d'ivoire incruté de gemmes provenant des mines d'Echoriath.
Le mobilier était un pure luxe, constitué d'or, d'argent et d'ivoire. On reconnaissait le savoir faire elfique.

Texte 3

Citation :

L Place, prononcé par les gens du coin, « El Platché », genre vieux tripot appartenant a la famille mafieuse la plus respectée du « Ports des mystérieux non dit ». Il y a bien que le vieux barman, Henri (qui s’appelle en réalité Arkinos mais qui est passionné de ce qu’il appelle « la noble étiquette Française), pour se souvenir que, en rajoutant les lettres de l’enseigne qui sont tombées avec le temps, la taverne s’appelle Le Palace.

Oh, pourtant, au temps où il s’est installé, bien avant que le port devienne un repère de bandits et de flibustiers de tous genres, tous sexes et toutes races connues et inconnues, il l’avait bien arrangé son bar, le Henri.

Tenez, le bas, vous voyez ? Dans le coin là-bas, à droite quand on est dos au bar. La ou vous apercevez une belle prostituée rousse qui fait mine d’écouter religieusement ce commerçant de passage en cherchant à lui subtiliser son portefeuille. Jadis venait ici les riches commerçants, les habitués. Ici c’était le carré VIP ! « Oui m’sieurs dames, le roi de la commission de commerces de tous les univers confondu est venu ici prendre un verre, a la place ou ce gros imbécile outrecuidant pose maintenant son postérieur » comme vous direz le Henri, avec son accent qu’il veut français. Et il vous en décrirait le décor, au temps dudit roi qu’il a connu.

« Attendez, qu’il vous dirait, j’ai même encore la photo ! » Et poussant d’une douceur amoureuse un grand cru millésimé qu’il garde juste pour les intimes et ceux qui paient le mieux, il ouvrirait son petit coffre, dans lequel vous apercevrait, recouvrant les coupures de journaux jaunis et les photos sépia, un kit d’armement qui lui permettrait de tenir un siège. La il vous le déballerait, son « album », du temps ou Le Palace en était vraiment un.
Et qu’il y irait de son petit commentaire le Arki’ ! (il n’aime pas qu’on l’appelle comme ca Hihi !)

Il vous vanterait la douceur de la soie qui ornait les sièges, les draperies fines cousues d’or dont vous apercevez encore les vestiges maintenant. Les bout de toiles découpés de façon barbares, dont on devine les traces de couteaux. Ces bout de toiles que Henri a gardé, malgrè que pour faire bonne figure, il a maintenant mis des draperies de satin noir. Made in la contrebande fournie par le patron. Passage obligé pour les garder intactes, alors il s’y plit le Henri. Il est pas mechant, il aime juste les affaires, et respecte le patron. La en locurance, c’est un mafieux. Mais Henri fais pas la difference de toute facon …

Oh, et puis apres il vous montrerais ses chaises de plus pres. Les chaises qui, pour ceux qui savent le voir, denote de la grandeur passé du Palace ! La, si vous regarder bien, vous allez voir de petits eclats de pierreries brisés, si bien incrustés qu’ils ont resister au temps. Et la, c’est la tete d’un lion, entre deux fleurs de lis. Un peu rapée, un peu usée, mais on peut encore distingué, meme.

Et peut etre meme que … hmmmmm, laissez moi vous regardez …. Vous vous n’etes pas de ces brigands des hautes mers et bas quartiers hein ? Alors vous ils vous ferez asseoir la, tenez, suivez moi.

La, vous voyez les tables bien rangées devant le comptoir, qu’il regarde avec un air de defi le Henri ? A ca messieurs dames, personne n’ose s’y asseoir sans son autorisation expresse. Mais vous il vous verrez arrivez, vous qui ne venez pas ici juste parce qu’il vous faut votre dose de luxure et de beuverie (ou autre, cela ne nous regarde pas ce que font les gens !). Alors il epousseterait de son costume une poussiere qui n’existe pas, il ne regreterais pas de s’habiller tout le temps en costume, comme autre fois. Il aurait ce sourire qu’il a chaque fois qu’il voit arrive des honnetes gens, il vous demanderais quel table vous voulez en vous appellant « Monsieur » et « Madame », et meme « Mademoiselle » si vous lui demander. Il mettrait une nappe meme sur votre table, une belle nappe de satin rouge et blanche qu’il a acheter lui-même a d’honnetes commercants, pas au rabais avec des contrefacons. Vous auriez droit a la carte des mets si vous avez faim, et quoique vous demandiez, a boire comme a manger, il vous demanderait si vous desirez la carte de visite de l’etablissement (et enfin vous sauriez que le vrai nom n’est pas L* P*lace !) ou il est bien indiqu que vous pouvez reservé si vous voulez, et meme prendre un abonnement. Et puis il vous servirait lui-même, jetant un regard froid a la serveuse qui prefere aller dans les tables du fond, ou elle propose ses services personnels en meme temps qu’elle prend la commande.

Oh, a moins que vous aimiez vous melanger a la « faune locale . Pas pour ca qu’il vous respecteras moins. Il hausseras les epaules, vous recommandant de faire attention quand meme, rangeant sa nappe en soupirant et attendant que la commande arrive.

Voila, je crois que je vous ai fait faire a peu pres toute la visite. Pour plus de renseignement, vous n’aurais qu’a venir boire un coup de temps en temps ! Et venez me saluer a l’occasion ! Moi de toute, façon, je suis parmi les habitués ici !

Texte 4

Citation :

Au Panda Joyeux.

Bienvenue au Panda Joyeux !!!
Pénétrez en ce lieu magique et festif, superbe et divertissant. Entrez par un escalier tout de bois tressé pour parvenir à l' entrée de cette taverne, dix mètres au dessus du sol.
Et là, admirez ! Comme les jardins suspendus, une grande quantité de fleurs de tous types peuvent être admirée par les curieux qui lèvent leurs yeux ébahis sur ce batîment. A l' intérieur, des bambous sont plantés dans de vastes massifs, des plantes asiatiques de toute beauté font offices de murs à des couloirs où l' on aime flâner. Parfois, le sol, constitué de bambous doux et clairs, fait place à quelques vitres d' où l' on peut observer les passants, au dessous de vous.

Après avoir traverser ces quelques couloirs végétals, vous parviendrez au restaurant. Une douce musique typique de l' Asie s' y déverse et de superbes gaïshas viennent vous acceuillir et vous proposer un rafraichissement. Le saké y est à l' honneur et sa consommation est ici gratuite. Le barman, dans son kimono tout de blanc nacré, vous préparera n' importe quel boisson de ces doigts agiles. Ne faites pas attention à son katana, il n' est là que par pure décoration.
Autour de vous, aucun mur, sauf celui constitué de plantes maintenant derrière vous.
Tout en dégustant les délices offerts par l' établissement, n' hésitez pas à admirer la vue qui s' offre à vous. Idéal pour de sompteuses soirées romantiques sur fond de soleil couchant. Des portes coulissantes, à la manière des établissement japonais, sont néanmoins là pour vous protéger de toute intempérie.

Montez un second escalier, à droite du bar, pour parvenir aux terrasses. Là, balladez vous entre les magnifiques massifs de fleurs, les arbres imposants, les diverses plantes, les oiseaux chantant, les magnifiques papillons. Divers bancs vous permettent de vous installez confortablement pour admirez cela. Attention, une armure de samouraï, une statue de kitsune, un mini-temple aux allures impériales vous attendent à certains détours. Ou bien, délectez vous de la vue. Au centre de tout cela se dresse un espace vide où de sompteuses soirées peuvent être organisées.
Finalement, venez observez avec respect et émerveillement le panda, emblème de notre batîment, dans son vaste enclos, séparé de vous par une barrière magique. Vous pourrez le regardez vivre confortablement, passant sa journée à flâner et à se reposer en compagnie de sa petite famille.

Vous hésitez encore ? Alors, entrez et voyez par vous-même.

Texte 5

Citation :

Connaissez-vous la digue de Saint Adobe ? Avez-vous déjà erré sur le brise lames en écoutant la rumeur profonde de l’océan ?

Quand le vent a heurté votre souffle et que soudain usé par les efforts vous aspirez à un réconfort, n’hésitez pas à longer les quais et à diriger vos pas vers l’occident.

Si, tendrement enlacés, vous souhaitez la chaleur d’un moelleux accueil, promenez vos pas vers le « Le trône de la becquée ».

Lorsqu’en plein été, après avoir profité des couleurs paradisiaques de l’île, vous décidez de clore cette bonne journée de découvertes juteuses en vous saoulant des nectars et délices de boissons parfumées, courez dans l’ambiance lumineuse ou sordide de la taverne de la cité mystérieuse d’Atalantë.

A l’entrée, les lettres « Le trône de la becquée » s’affichent à même le ciel en caractères lumineux.
Sous vos pieds se détachent les marches menant à une antique bâtisse montée sur pilotis.
Passé le seuil, Les odeurs sucrées ou poivrées titilleront vos narines frémissantes. Vos pas se dirigeront d’eux-mêmes vers votre lieu de prédilection. Que vous soyez volant, félin, elfe ou mort en éveil, la taverne est à votre service.
Parandrin est le maître incontesté du lieu. A la fois barman et acrobate, il circule, zélé d’un lieu à l’autre, maîtrisant toutes les langues et toutes les philosophies. Il s’encanaille en servant les fêtards et se lie d’amitié avec les intellectuels ou encourage les artistes.

Ces derniers utilisent le lieu pour exposer leurs tableaux comme un écrin renfermant des trésors et viennent y déguster cette boisson pour eux conçu par Parandrin : le « Prix de la beauté » aux pâquerettes aeliséennes saturées de vodka citronnée.

Sous la voûte centrale, Parandrin vient servir des « supernovas liquoreux » aux êtres volants. Les anges peuvent y déployer leurs ailes en sirotant un « rémanent de trou noir » très fortement alcoolisé capable de terrasser les déchus.

Les petits peuples viennent s’attabler en riant autour des pistes de jeux en s’installant confortablement dans les coquillages des mondes engloutis artistiquement tapissés de mousses.

Les amoureux frigorifiés se vautrent dans les cocons duveteux en s’étreignant davantage avant que le « souffle brûlant de Schaft » au goût de miel arrosé d’un whisky ancestral allume de ses feux leurs esprits et leurs corps.

Parandrin s’en éloigne bien vite pour se glisser sous les arcades près de la fontaine aux mille lueurs. C’est le lieu de prédilection des elfes. Ils s’allongent avec plaisir sous ses reflets. Les effets lumineux de l’ambre alcoolisé qui s’en dégagent réveillent leurs ardeurs nobles et poétiques. En écoutant ces êtres d’exception, Parandrin leur sert une « Nymphe de mer » composée d’algues brunes fermentées.

Les félins narcissiques aux griffes acérées savourent la dernière boisson composée qu’est le « Bleu d’Allias » au curaçao parsemé d’étoiles lunaires au goût tendrement sucré mais fort en gueule. Ils profitent de leurs reflets sur les miroirs nombreux en jouant quelques tours à leurs amis.
Dans les alcôves, une brume froide et ténébreuse charme les êtres de la nuit à qui Parandrin vient de servir en rampant un « siffle sanguinaire »sur un lit de glace pilée.

C’est ainsi que dans le « Trône de la becquée », taverne à multiples facettes, tous les êtres qui peuplent Ter Aelis sont accueillis et soignés ; qu’avec le sourire, Parandrin servira ces boissons spécialement conçues pour chacun à toute heure du jour ou de la nuit.

Texte 6

Citation :

Au commencement, Dieu créa le monde, puis la terre promise, Ter Aelis. Dieu n'étant pas stupide, il voulut faire don à cette terre d'une chose essentielle qui permettrait aux populations de devenir puissantes et prospères : Une taverne !!

Mais ou la créer ? Beaucoup d'endroits auraient été parfaits pour un si noble lieu. Le choix était dur. Ou Dieu devait-il mettre la taverne, afin que tous puissent en profiter ? La terre promise recélait cinq lieux capables d'accueillir un tel établissement. Dieu pensa tout d'abord que détruire quatre d'entre eux serait une bonne façon de tout concentrer sur le dernier lieu où il aurait placé la taverne. Hélas, il se rendit rapidement compte que faire cela lui causerait des problèmes avec la SPECTA (Société Protectrice des Êtres Courants de Ter Aelis) et le BAD (Bureau des Abus Divins). Bien sûr il aurait pu déplacer les êtres vivants et détruire les villes ensuite, mais enfin Dieu aussi a un budget et ça lui aurait fait un trop gros manque à gagner. Il ne restait donc que le hasard pour décider d'où serait la taverne. Tirer a Pile ou face ? Non. Comme nous venons de le dire, Dieu ne rigole pas avec l'argent ! Dieu se décida donc à lancer la taverne, pour voir où elle atterrirait. Au premier lancer la taverne atterrit dans la mer. Hélas, Dieu se rendit rapidement compte que tout le monde ne pouvait pas s'y rendre et que, de toute façon, les poissons ne consommaient pas d'alcool (Sous prétexte qu'ils passaient déjà leur temps à boire). Une taverne aquatique ne servirait à rien. Dieu récupéra sa taverne (Il n'y a pas de petites économies.) et la lança à nouveau. Cette fois-ci, il fit un magnifique panier... dans un volcan. Vous vous doutez bien que la population d'un volcan se résume à quelques sacrifiés, un dragon et une petite colonie d'élémentaires de lave. Ainsi, la taverne n'eut pas le succès escompté. Bizarrement, cette fois-ci, Dieu reconstruit une taverne qu'il lança encore une fois. L'échec, tout comme précédemment, fut... cuisant ! Après sept mille huit cent quatre vingt-trois lancer et quatre cent trente-sept reconstructions, la taverne atterrit finalement à Galvorn, cité mal famée correspondant à peu près à l'ambiance que Dieu recherchait pour sa taverne.

Le somptueux établissement atterrit donc en plein sur le salon de manucure de Berthe la Pucelle (qui ne l'était plus selon certains, mais nous en parlerons dans un autre RP), terrorisant au passage la populace, qui, baignant dans son inculture, crut à l'attaque d'un monstre venu dispenser un châtiment divin quelconque, ce qui n'était pas totalement faux. Toutefois, un homme plus courageux que les autres, ou plus drogué et saoul diront les mauvaises langues, s'avança et entra dans le "gosier"du monstre, pour aller s'affaler sur la plus proche table, ayant commandé au passage "gnu' dché ruc y'ous r'mente l'hom'" (Encore aujourd'hui certains historiens et voyants cherchent un sens à cette phrase ou la prophétie qu'elle annonce, c'est selon...).

Des siècles ont passé et aujourd'hui, mais la taverne est toujours la (La magie divine, c'est pas un truc de baltringues).

Maintenant, il s'agit d'un lieu de débauche ou se réfugient les voyageurs de passages, les habitués, les aventuriers en quête d'argent ou de moyen de dépenser celui gagné précédemment, ainsi que tous les pauvres hères ayant eu le malheur de contrarier leur tendre quoique ferme épouse, sirotant un alcool allant du vin frelaté pour les pauvres bourses à la bière du parc des Milles senteurs, véritable chef-d'œuvre pour les papilles, en face d'un barman au visage écarlate de son labeur et de sa consommation personnelle.

L'ambiance de ce lieu de perdition, bien que festive, a souvent tendance à déborder lorsqu'un joueur sort un brelan d'as de pique ou qu'une des danseuses décide de garder ses atours pour d'autres, ayant plus de pièces. Un de nos reporter s'est d'ailleurs aventuré dans ce lieu, pour en ressortir blanc et rigide, après avoir assisté à une malheureuse rixe ayant tourné en carnage général.

Mais ne présentons pas que les mauvais côtés de la chose ! En effet le bar possède une panoplie de boissons alcoolisées incroyables, allant du sirop de vodka assaisonné de menthe fraîche avec une rondelle d'épinard au jus de goyave assaisonné de pepsi avec une goutte d'arsenic. Il y a aussi une scène sur laquelle sont passées les plus grandes star de la musique de Ter Aelis ( Bien que leur nombre soit limité ) De superbes tables en granit poli sont mises à disposition des tricheurs de poker. Aménagé à côté, un ring est mis à la disposition de ces mêmes "joueurs", pour se défouler après la partie. En extérieur, la piscine offre les joies de la baignade avec une charmante maîtresse nageuse, qui porte très bien le bikini (Certains prétendent qu'il s'agit toujours de Berthe la Pucelle, Dieu ayant détruit son commerce lui aurait offert en compensation un millénaire de chirurgie esthétique gratuite). Mais ne nous attardons pas, il n'y a hélas qu'une seule maîtresse nageuse, bien que les serveuses ne soient pas mal non plus. Citons encore les toilettes, second lieu on se verse le plus d'alcool et Ed' le videur. Maintenant que vous connaissez tous les recoins de la taverne de Ter Aelis, venez donc vous y payez un verre !

Texte 7

Citation :

Galvorn est une ville réputée pour ses corsaires, ses brigands, ses beuveries et ses bagarres. Mais que serait tout cela sans les tavernes, ces lieux de perdition où pourtant tout le monde se rejoint avec enthousiasme. Chaque auberge a sa propre personnalité, et donc sa propre clientèle, comme un être de chair et de sang, elles respirent et vivent avec le flux des clients et du temps qui passe. C’est pourquoi, il existe de nombreuses tavernes à Galvorn, telles des lieux de culte, elles sont respectés, la plupart du temps. Les clients habitués jouant donc le rôle de garde-fou et interdisant le saccage de leur refuge où ils savent qu’ils trouveront le repos après une longue journée passée aux docks ou à décharger des charrettes. Cette antique loi a donc permit à des auberges de belle envergure et d’une classe toute relative de prospérer.

C’est ainsi que la Belle Enora, un pub tout à fait honorable, a fait son apparition. Peint de vert et de marron, avec des motifs celtiques, pour rappeler les forêts natales du patron, le pub se dresse dans le quartier celte de la ville, faisant ainsi fusion avec la population. Le vent salé vient régulièrement faire grincer la vieille enseigne de bois accrochée au mur, repeinte régulièrement, on y voit un cheval blanc qui se cabre monté par une belle femme aux cheveux longs et roux avec le nom de la taverne « la Belle Enora ».
Le voyageur curieux pourra prendre la poignée et pousser la porte. A l’intérieur règne une légère pénombre troublée par la lumière chatoyante provenant du feu de cheminée, toujours allumé, quelque soit le temps ou la saison. Dans cette ambiance tamisée, on perçoit là les clients, assis à leurs tables en jouant aux cartes ou affalés dans des canapés ou des fauteuils. Quelques tabourets vides devant le comptoir indiquent que les clients habituels ne sont pas encore arrivés, mais les banquettes de cuirs semblent avoir été plus prisées par les voyageurs de passage. La bonne humeur est toujours maîtresse des lieux, égayés par une bonne boisson et par la bière à profusion, les clients sont rieurs et amicaux pour quiconque vient leur parler avec une chopine.

Il fait agréablement chaud à l’intérieur, et cela provient en fait du foyer, à côté duquel le setter élancé « Bono » est assoupi. Les habituels du bar le considèrent comme le gardien du pub, il devine les personnalités en un regard, il grogne ou aboie lorsque le nouvel arrivant est louche ou alors vient lui lécher la main quand il y reconnait quelqu’un de doux ou de joueur. On lui reconnaitra quand même sa lucidité lorsqu’il urina sur les prospecteurs d’impôt, fidèle à son flair.
Roy William, le barman, est un homme mature, aux tempes grisonnantes, il peut apparaître un peu sec au premier abord mais il reste quelqu’un d’agréable et attentionné lorsque l’on a prit la peine de discuter un peu avec lui ou de se montrer respectueux à son égard et à celui de sa belle taverne. Pour le moment il est en train d’essuyer quelques chopes en regardant deux clients qui blaguent à côté à travers ses lunettes. Ses deux filles, Abby la jolie rousse et Sinead, blonde et plus forte, font le service, zigzaguant entre les tables et les chaises pour contenter avec rapidité et grâce les clients affables. L’une d’elle fait aussi le lien avec l’arrière salle, où le fils de Roy, Duncan, et ses compagnons musiciens sont au violon, à la veuse ou au whistle, égayant les clients en entonnant des ballades, parfois des chants, passant du joyeux et de l’entrainant au triste et larmoyant.

Moi je vois pas l'image du texte 1 patron ! C'est normal ou faut que je tape sur mon PC ?

pareil pour moi...

L'image existe plus je crois (enfin c'est que internet il m'a dit !)

Spoiler:

J'avoue avoir le même problème...L'auteur peut me contacter par MP

Le Panda Joyeux... pourquoi? parce que ça me rappelle certains barbecues au koala... ^^

Moi je preferes decrire pour justifier mon choix.

Alors, le texte 1 ... m'inspire une sorte de melancolie, de souvenirs lointains je dirais

Pour le texte 2, je trouve difficile de ce faire une idée en si peu de phrase, je suis un peu lente d'esprit peu etre mais moi, quand je lis ca, je ne m'y vois pas.

Le texte 3 plus deja, une visite guidée avec personnage préimplanté est deja plus acceuillante (avis personnel ...). En plus j'ai un faible pour Galvorn et j'ai toujours trouvé qu'un lieu mal famé sans taverne avec brigand dedans, ca le faisait pas trop. Alors la, y a brigand, Galvorn, ambiance mafia (pour un quartier mal famé, faut bien !), proximité du port souligné, mais un brin de chic, de vieille classe qui resiste toujours; bref il y en a pour tous les gouts : que demandez de plus ! (peut etre un peu plus de description des distractions ?)

Texte 4 : J'accroche pas. On a deja un parc, une taverne avec des fleurs partout ... En plus le coup de "y a pas de murs mais y a des portes " .... Enfin c'est pas mon truc quoi. Et puis ca me fait plus penser a un resto japonnais qu'a une taverne ! Et moi je pourrais dire adieu a mon Martini bien frais ! (par contre j'adore les sushis ! En resto ca le ferais !)

Texte 5 : Mais euh ! Droit d'auteur, qui a donné mon nom a un cocktail ! Non franchement, je suis bisarre mais je la trouve trop calme, (sinon j'adoooooooooooooooooooooooooooore l'ambiance interrieure !) mais ... Galvorn mon amour .... Il me faut des bandis et de l'action. Et puis je me demandais : les personnages qui sont celibataires, ils vont se suicider avec une taverne comme ca, non ?

Texte 6 : Alors la j'adore ! De l'humour, une taverne Galvorn, pleins de sorte de boissons .... Ambiance un peu Night Club, tout pour s'amuser. Dommage qu'il n'y ai pas de serveurs en plus des jolies serveuses (bande de machos pervers ! ). Seul manque : un moyen de ne pas se "perditionner" ( ) quand on y entre

Texte 7 : Mais ... Pourquoi il est honorable le pub nabord ? C'est pas l'idée que je me fesais de Galvorn personnellement ... (la fille qu'est aps butée DU TOUT !) Et puis je parle pas bien anglais Plus serieusement, le point que je n'aime pas dans cette taverne (seul point !) c'est que je ne m'y sens pas a l'aise. C'est tellement confiné, garder par un chien qui juge les gens, pleins de gens qui jugent les gens comme le chien (comme quoi c'est pas toujours la bete qui imite les maitres !). J'ai peut etre pas la bonne lecture du texte mais moi j'ai l'impression d'une taverne chaleureuse pour ses habitués et qui ne laisse pas enormement de chance aux etrangers d'y devenir eux meme des habitués.

Verdict (vous pourrez pas dire que j'ai voté a la hate hihi !) : 3 ou 6 ? 6 ou 3 ? Allez, j'ai un vieux faible pour cette classe, cet endroit qui acceuille les gens et renferme les fantomes du passé et les plaisirs du present. Et puis, comme je l'ai dit, sur le texte trois, il y en a pour tous les gouts (du plus hupé et fier des grands de ce monde, au rigolo du coin qui cherche juste un cruchon et des potes pour mettre avec)

Alors, alors...
Comment dire...
Euh...
Je ne trouve pas mes mots...
Chez moi c'est un grand défaut...
Alors...

TU VA L'OUVRIR TA GRANDE ****** OU NON ?

Ok, ok. Donc, je disais:

-TEXTE 1: Tout le monde connais cette Taverne, son principe et ses persos loufoques. Pas besoin de la présenter. Surtout moi.
PS: quelle image ne va pas ? Je les vois toutes les deux !?

-Texte 2: Même avec mon cerveau quadrineurolaires à vapeur, je ne puis me faire une idée précise de l' ensemble. Trop court et pas assez apronfondis à mon goût.

-Texte 3: Drôle, il est vrai, mais c'est non pour moi. Pourquoi ? Faire que l'unique taverne de notre forum, et qui le représente donc, soit un lieu mal-famé ne me plaît guère. Un lieu aussi beau, classe et distingué que Ter Aelis (c'est dans le BG) ne correspond pas à l' esprit de cette taverne. Une bonne idée mais pas pour représenter notre forum.

-Texte 4: J'aime bien ce principe de "jardins suspendus". Et puis, le thème y est particulier: le médéval-japonais. C'est un lieu distingué, qui correspond plus à l'esprit de Ter Aelis que le troisième. A la fois, restaurant, taverne, lieu de promenade, il est polyvalent. Je ne crois pas que le martini y soit interdit, mais c'est vrai que le coup des portes peut être arrangé. Sinon, j'accroche.

-Texte 5: Même chose que la Hache des Nains, bien que ce soit plus poussé vers la distinction et le luxe. Ce n'est pas l'idée que je me fais d'une taverne fantastico-médiévale mais bon ^^. Un thème classique... On n'est pas trop emballé dans l'ensemble car cela semble sans surprise.
PS: copieur !!!

-Texte 6: Alors, a changer obligatoirement: "Lieu de débauche" et"Lieu de perdition" (c'est une taverne, pas un bordel. Ces termes ne se prètent pas bien par rapport à ce que tu veux dire). Sinon, moi je vais à Lille et, dans les bons quartiers, on en trouve aisément des lieux de débauche...
Ben pourquoi vous me regardez comme ça ??!
Comique, oui, mais cela correspond plutôt à une boîte de nuit (surtout le coup du videur) mais bon... Drôle, en effet mais pas très convivial.

-Texte 7: Bof... Pas trop inspiré. Classique, pas si convivial que ça, déjà vu...

Donc: vive le PANDA JOYEUX !

Oulà ... J'ai vraiment longtemps hésité (et hésite toujours maintenant).
Tout d'abord, bravo pour la masse de travail qui se dégage sur beaucoup des textes présentés.

Les seuls reproches que je pourrai faire (je suis en mode râleur, je peux ?) c'est que tous ces textes manquent encore un poil de "débridage" : tout est très formaté dans un esprit "Taverne" classique (malgré tout) et ... je m'attendais à voir des choses vraiment originalement traitées.
Mais ne nous méprenons pas, c'est déjà très très bien.
Ensuite ... C'est vrai qu'en relisant tous les textes, on a affaire à du BackGround. Ca pose la situation, ça explique, ça met dans l'ambiance, mais .. On n'a pas ou pas assez d'éléments intéréssants (décors, particularités des personnages) pour rendre des RP vraiment typiques de la Taverne.
Allez .. J'arrête de râler.

Pour l'originalité du lieu, j'aurai voté pour le Texte 4 du "Panda Joyeux", mais il est un peu trop tourné Restaurant.
Pour la qualité des personnages, j'aurai voté Texte 7 (les deux serveuses et le Setter, ce serait sympa à mettre en scène).
Pour l'ambiance ... Texte 3. On est bien dedans.

....

Alors ... Texte 3. Pour y faire vivre le Barman.

Le Fondateur a écrit:

Pourquoi ? Faire que l'unique taverne de notre forum, et qui le représente donc, soit un lieu mal-famé ne me plaît guère. Un lieu aussi beau, classe et distingué que Ter Aelis (c'est dans le BG) ne correspond pas à l' esprit de cette taverne. Une bonne idée mais pas pour représenter notre forum.

Je suis aps d'accord avec ca : a ce moment la, tous les personnages non distingués ils s'en vont aussi ? Dommage, je me plaisais bien moi la ...

Et puis on a un quartier entier avec des brigands, dont certaines rues sont des coupes gorges, des flibustiers, des pirates des esclavagistes et j'en passe et des pires ! Alors je vois aps ou tu vois une grandeur et une distinction a chaque millimetres que nos persos font dans le monde ..... M'enfin ! Jte naime quand meme mon Francois ! :heart:

Je vote pour le texte n°3...

J'ai le droit ? Parce que sinon Schaft me tue....

je vote texte 3, c'est le seul qui comme mr R la dit sort des sentiers battu. on découvre carrément un personnage et une ambiance qui colle parfaitement à l'idée que je me fais de Galvorn.
le style reconnaissable par certaines fautes de frappes est frais, et surprenant... je pense que la taverne doit déroger aux anciennes donc, le 3 pour moi ^^

pour la question d'un lieu mal famé... je me demande pourquoi pas deux taverne après tous, ce forum est différents, et il pourrait avoir deux tavernes, avec leurs habitués ^^ en même temps je débarque alors cela ne me regarde pas... mais je le dis...

HOME+ a écrit:

le style reconnaissable par certaines fautes de frappes

Oh eh hein !


Bon :lol!: ... Nabord j'ai lu la revolte des accents et ca m'est resté, la !

Les filles se rinceront l'oeil sur les hommes qui pintent au comptoir =° Et si vous voulez plus de chance, habillez-vous en serveuse

Rappel :

Il reste DEUX semaines !!!

Néanmoins, si un texte continue à se démarquer des autres, il est possible que le concours prenne fin plus tôt... A vos votes

Sephiroth a écrit:

Et si vous voulez plus de chance, habillez-vous en serveuse [/color]

Je propose de lincher Sephi qui minimise les charmes des aelisiennes ! :lol!:

Citation :

Je propose de lincher Sephi qui minimise les charmes des aelisiennes !

hum... tout à fait d'accord. Deux BELLES filles contre Sephi dans la Taverne qui va naître... :face: Je te plains mon petit!!

:lol!: :lol!:

Sinon, Oyez Oyez brâves gens, venez votez pour la Taverne de vos rêves!! Bah oui c'est pas drôle sinon...

OYE OYE BRAVE GENS ! Suivez le conseil de Nahïs : votez pour ma taverne ! :lol!: