La Taverne L* P*lace ... [zone publique]

L Place, prononcé par les gens du coin, « El Platché », genre vieux tripot appartenant a la famille mafieuse la plus respectée du « Ports des mystérieux non dit ». Il y a bien que le vieux barman, Henri (qui s’appelle en réalité Arkinos mais qui est passionné de ce qu’il appelle « la noble étiquette Française), pour se souvenir que, en rajoutant les lettres de l’enseigne qui sont tombées avec le temps, la taverne s’appelle Le Palace.

Oh, pourtant, au temps où il s’est installé, bien avant que le port devienne un repère de bandits et de flibustiers de tous genres, tous sexes et toutes races connues et inconnues, il l’avait bien arrangé son bar, le Henri.

Tenez, le bas, vous voyez ? Dans le coin là-bas, à droite quand on est dos au bar. La ou vous apercevez une belle prostituée rousse qui fait mine d’écouter religieusement ce commerçant de passage en cherchant à lui subtiliser son portefeuille. Jadis venait ici les riches commerçants, les habitués. Ici c’était le carré VIP ! « Oui m’sieurs dames, le roi de la commission de commerces de tous les univers confondu est venu ici prendre un verre, a la place ou ce gros imbécile outrecuidant pose maintenant son postérieur » comme vous direz le Henri, avec son accent qu’il veut français. Et il vous en décrirait le décor, au temps dudit roi qu’il a connu.

« Attendez, qu’il vous dirait, j’ai même encore la photo ! » Et poussant d’une douceur amoureuse un grand cru millésimé qu’il garde juste pour les intimes et ceux qui paient le mieux, il ouvrirait son petit coffre, dans lequel vous apercevrait, recouvrant les coupures de journaux jaunis et les photos sépia, un kit d’armement qui lui permettrait de tenir un siège. La il vous le déballerait, son « album », du temps ou Le Palace en était vraiment un.
Et qu’il y irait de son petit commentaire le Arki’ ! (il n’aime pas qu’on l’appelle comme ca Hihi !)

Il vous vanterait la douceur de la soie qui ornait les sièges, les draperies fines cousues d’or dont vous apercevez encore les vestiges maintenant. Les bout de toiles découpés de façon barbares, dont on devine les traces de couteaux. Ces bout de toiles que Henri a gardé, malgrè que pour faire bonne figure, il a maintenant mis des draperies de satin noir. Made in la contrebande fournie par le patron. Passage obligé pour les garder intactes, alors il s’y plit le Henri. Il est pas mechant, il aime juste les affaires, et respecte le patron. La en locurance, c’est un mafieux. Mais Henri fais pas la difference de toute facon …

Oh, et puis apres il vous montrerais ses chaises de plus pres. Les chaises qui, pour ceux qui savent le voir, denote de la grandeur passé du Palace ! La, si vous regarder bien, vous allez voir de petits eclats de pierreries brisés, si bien incrustés qu’ils ont resister au temps. Et la, c’est la tete d’un lion, entre deux fleurs de lis. Un peu rapée, un peu usée, mais on peut encore distingué, meme.

Et peut etre meme que … hmmmmm, laissez moi vous regardez …. Vous vous n’etes pas de ces brigands des hautes mers et bas quartiers hein ? Alors vous ils vous ferez asseoir la, tenez, suivez moi.

La, vous voyez les tables bien rangées devant le comptoir, qu’il regarde avec un air de defi le Henri ? A ca messieurs dames, personne n’ose s’y asseoir sans son autorisation expresse. Mais vous il vous verrez arrivez, vous qui ne venez pas ici juste parce qu’il vous faut votre dose de luxure et de beuverie (ou autre, cela ne nous regarde pas ce que font les gens !). Alors il epousseterait de son costume une poussiere qui n’existe pas, il ne regreterais pas de s’habiller tout le temps en costume, comme autre fois. Il aurait ce sourire qu’il a chaque fois qu’il voit arrive des honnetes gens, il vous demanderais quel table vous voulez en vous appellant « Monsieur » et « Madame », et meme « Mademoiselle » si vous lui demander. Il mettrait une nappe meme sur votre table, une belle nappe de satin rouge et blanche qu’il a acheter lui-même a d’honnetes commercants, pas au rabais avec des contrefacons. Vous auriez droit a la carte des mets si vous avez faim, et quoique vous demandiez, a boire comme a manger, il vous demanderait si vous desirez la carte de visite de l’etablissement (et enfin vous sauriez que le vrai nom n’est pas L* P*lace !) ou il est bien indiqu que vous pouvez reservé si vous voulez, et meme prendre un abonnement. Et puis il vous servirait lui-même, jetant un regard froid a la serveuse qui prefere aller dans les tables du fond, ou elle propose ses services personnels en meme temps qu’elle prend la commande.

Oh, a moins que vous aimiez vous melanger a la « faune locale . Pas pour ca qu’il vous respecteras moins. Il hausseras les epaules, vous recommandant de faire attention quand meme, rangeant sa nappe en soupirant et attendant que la commande arrive.

Voila, je crois que je vous ai fait faire a peu pres toute la visite. Pour plus de renseignement, vous n’aurais qu’a venir boire un coup de temps en temps ! Et venez me saluer a l’occasion ! Moi de toute, façon, je suis parmi les habitués ici !




Deux jambes. Voila la premiere chose que els brigands du coin virent entrer dans "la place" si je puis me permettre le jeu de mot. Sur belles jambes longues et fines, avec de magnifiques formes et une douce peau metisse.
Et il leverent un peu plus les yeux et reconnurent un symbole qui aurait fait dessaouler le plus atteint de ceux a qui l'alcool permet tout et n'importe quoi : la, juste en dessous de la jambe du minishirt de la dame, sous son collant, on apercevait tres nettement un as de pique tatoué, sur la jambe droite.

Seul Henri poussa un cri de joie dans ce silence respectueux face a l'entree l'Enfant de la Nuit (et d'Astriel. Et ici on se demande encore lequel des deux fait le plus peur ...).

-Schaft ! Digne imperatrice en ces lieux ! Viens donc par la !

La demoiselle aux orreilles de chat eut un enorme sourire et s'avanca vers le comptoir, des regards suivant comme d'habitude son dehanché, et Coin-coin sur ses talons.

- Salut patron !

Elle leva les yeux vers le lustre nouvellement relustrer et gratifia Henri d'un clin d'oeil.

-Apparement ma visite guidée leur a plus !

- Mais qui peut te resister princesse ? Puis, la regardant d'un oeil parodiquement suspicieux. T'as ramassé les cadavres des soudoyés j'espere.

-Tous a la flotte, t'inquiete Henri !

Le patron partit d'un grand rire qui emplit toute la piece.

-Fort bien, comment va ton pere ?

-Bien bien, occupé je suppose, je ne le vois plus beaucoup !

-Oh, il passera bien, je lui ai reservé mes meilleurs bouteilles d'hydromelait, telles qu'il les aime. Tiens ca me fait penser, pour ta commande de l'autre fois. Ne t'inquiete pas, avec toutes les bagares a Galvorn, nous auront assez d'hemoglobine pour ton ami a longues quenottes.

Schaft sourit dans le vague en pensant a Smirtnoff et sa vodka hemoglobine

-Il en sera ravi.

-Eh, je t'avais dit que je pourrais satisfaire tout le monde ! Sinon tes amours.

Ce coup ci, la reponse de la dame se resuma a une moue decue.

-Oh ne t'inquiete pas, j'ai renonver la piste de danser et decrasser les barres de streap tease. Avc ton corps de liane, j'abreuverais bientot ta fete de fiancailles !

L'air joyeux du patron rejoui dame koneko et lui fit oublier sa solitude.

-Allez Henri, c'est le moment d'ouvrir !

Rejetant ses cheveux en arriere, la "dame de pique" s'assit a sa table habituel, dans le coin droit, bien eclairé, face a la porte et pas loin du bar.

Henri lui apporta une nappe rouge et noire cousue avec des fil d'or et rajusta son noeud papillon deja impecable.

-Tu as raison. Que la fete commence !

La porte s'entrouvra pour y laisser passer un docker de forte carrure en train de rire...
il fut suivit par un homme chat, a la taille moins impressionnante mais au corps tous aussi équilibrés...
apparemment les deux compères avaient finis le travail sur les docks et s'étaient déjà attarder dans une autres taverne avant d'arriver dans le "L PLACE"
les deux compères furent saluer par Henri...


- bonsoir Henri, dit Home la cigarette encore fumante a la bouche, un bon vieux rhum de pirate... et pour mon ami ce sera un liqueur du nord...

il posa alors trois pièces d'or sur le comptoir.

- comme d'habitude très cher chat botté...

Home esquissa un sourire a l'écoute du surnom d'un vieux compte français dont il ne connaissait même pas l'histoire, mais vexer Henri cela il ne pouvait s'y résoudre...
Cet alors que du coin de l'œil le chat fit un petit tour d'horizons avant de voir qui était présent...
il put voir Schaft avec deux hommes, comme a son habitude la belle était courtisé, il en savait quelques choses puisqu'il vivait chez elle... ce qu'il savait aussi c'est qu'il avait mentit sur l'heure de la fin de son travail au dock, et que normalement il ne devait pas se trouver ici...du moins elle devait le croire...
espérer ne pas être vue... espoir perdue avec Henri...

- Schaft !! Home est arriver !!

écrasant sa cigarette dans le cendriller prévu a cet effet...

- merci Henri...

il but son ti punch en redemandant un autre il en aurait besoin...

Schaft ne savait pas vraiment ou donner la tete, vu que Darkfire etait surevenu avant meme qu'elle puisse repondre a le taquin mister ter aelis.

Repondre a Darky, repondre a Aillas ? La belle opta pour sourire a Aillas en daignant se lever pour s'assoir pres de lui et repondre a Darkfire. Quand soudain ....

- Schaft !! Home est arriver !!

-HEIN ?

Reponse, vous en conviendrais, on ne peut plus eloquente.

-Euh ... Seigneur Aillas, puis je vous emprunter votre montre ou tout autre chose dont vous vous servez pour savoir l'heure ?

Les reparations de l'horloge du Palace n'etaient pas encore finie, il y avait toujours un gros trou en plein milieu et la troteuse jouait a "un pas en avant, trois pas en arriere".

-Merci.

Schaft, incredule, faisait passé ses yeux d'ebenes de l'heure a Home, ce au moins 3 fois. Puis un sourire narquois naquit sur ses levres.

- Eh bien mon cher chaton, je vois que votre habitude de secher les cours ne vous a pas quitter et que l'elargissez.

Elle se leva, pour un bref instant, lancant un regard d'excuse a Aillas, et s'approcha de son colocataire.
Quand elle fut suffisement pres pour que les yeux de son interlocuteur ne voit plus que les siens, elle finie sa phrase.

-Car jamais vous n'aurez jamais osé me mentir, n'est ce pas ? Pas a moi ...

Sans attendre la reponse, elle se retourna a la table d'Aillas et se rassit avec un sublime mouvement de hanche finement etudiée au cours des années.

Nonchalement, elle fit un signe de la main a Henri.

-Comme d'habitude patron ! Et profite en pour mettre l'addition des consos de mes amis ici present sur mon compte ! C'est pas tous les jours qu'on fete l'ouverture de LA taverne de Ter Aelis !

Enfin, dame Koneko se tourna vers celui qui l'avait, le premier, inviter a sa table, tout en tirant une chaise a ses cotés par la pointe de son pied. S'asseye qui veut et peut surtout. Comme les chaises musicales en somme.

Elle adopta, par bravade (car elle n'etait pas née de la derneire pluie et savait que si il y en avait bien un ici qui etait la pour la taquiner et non pour la courtiser, c'etait bien Aillas) la meme posture que lui. Mais avec l'avantage de sa feminité et de son decolter, ca ne donnait aps vraiment la meme chose ...

-Alors, que prendrez vous ?

Home regarda incrédule la montre et Schaft lui faire la leçon...

- Mselle ne soyez pas trop dur avec Home

dit alors l'ami docker...

- nous avons gagner a une partie de dé contre de vil tricheur, mais ses idiots de pirates ne voulait pas payer... ahahah !! vous auriez du voir ce bougre de Home leur donner une leçon...

il frappa dans le dos de home qui manqua de s'étouffer...

- Schaft... promis je ne t'as pas menti... mais suite a l'altercation nous avons du quitter le travail plutôt...

- pour sur vu dans l'état qu'ils étaient !!

Home fit signe a son ami de ne pas en rajouter....
il s'approcha alors de sa chaise, commençant à jouer de son charme, espérant que par les saint de Ter Aelis la douce puisse se calmer... il passa sa main vigoureuse sur son épaule... pour lui murmurer...

- me pensez vous à ce point fou pour vous mentir...

coin-coin opina du chef a la remarque de l'homme chat...

Home regarda l'écrivain un instant avant de sourire...

- vous seriez près à jouer ?

il pris alors une chaise a la table d'en face et se posa près du jeune écrivain...


- je vois à l'odeur que vous dégagez que vous avez déjà trouver vos psychotropes pour écrire... c'est vrais que Galvorn est un paradis pour ce genre de substances...

allumant une énième cigarette...

- si nous jouons permettez moi de ne pas y mettre d'enjeux, vous pillez m'embarrasserai...

s'approchant de Aillas, en lui murmurant...

- c'est surtout que mon ami n'aime pas perdre...

Le gros Docker au bras équivalent au cou d'un taureau fit un signe niais de la main au jeune écrivain....

Schaft regardais les beaux jeunes hommes et ... un docker sortir des dès pendant que Coin-coin tournait la clepsidre dans tous les sens pour savoir si il y avait la moindre chance que ceci puisse etre commestible ou amusant. L'idée lui vint soudain de soulever l'objet afin d'en tester la dureté sur le crane de celui qui l'avait offert mais en se heurtant au regard colereux de sa maitresse, il stopa son experience sans que quiconque (ou alors peut etre HOME) n'eu remarqué ce qu'il traffiquait.

-Les jeux de hazard dites vous ? Passionnant, vraiment ! Vous permettez que je joue aussi ? Mon cher Home, nous n'avons qu'a jouer la vaisselle ? Et si c'est le seigneur Aillas qui perd, cela fera une raison pour l'inviter a diner chez nous !

Se tournant vers Aillas, avec un clin d'oeil.

-Ne vous tracassez pas, je sortirais des assiettes jetables, mais fort belle neammoins !

Sortant nonchalement une dame de pique de son decolté, un lanca un regard entendu a l'ensemble des brigands de la taverne. Certains d'entre eux avaient laissés vaguabonder leur regard sur l'arriere train de Grendelor. Il sentirent le regard de Dame Koneko sur leur nuque et se tournerent vers elle. Leur sourire mouru sur leur visage quand il virent de sortie la carte fetiche de l'Enfant de la Nuit.

-Vous m'excuserez un instant.

Schaft se leva de la table et alla jusqu'a son amie acoudée au bar d'un pas serrain et decidé. Apres tout, comme le disait Henri, elle etait imperatrice en ces lieux.

Passant pres des tables des messieurs reputés comme les plus dangereux sexuellement apres grande ingestion d'alcool, elle abaissa innocement sa main et fit voler quelque eclat de bois. En effet, il s'averer que la carte de la dame de pique etait en metal finement aiguisé.

Henri faisait la grimace.

-Schaftou', attention la table !

-Excuse patron !

Enfin, elle posa une main sur l'epaule de Grendelor.

-Salut ma belle ! Comment vas tu ? Je souffrirais que tu reste seule a boire au comptoir alors que la taverne est encore sufisement jeune pour etre a elle seule pretexte de fete ! Viens donc a notre table !

D'un geste gracieux du bras, elle designa le groupe qui jouait aux dés.

- Viens comme tu le souhaiteras, je t'indique pas le chemin, ca ira ?

Puis Schaft s'en retourna a sa place, recommencant son numero d'intimidation piur un lascar mal degrisé qui rit encore betement en regardant le decolté de Grendelor.

-Chatonne LA TABLE !

TCHAC !

La carte de ficha soudainement dans le poteau de bois a environ un centimetre de l'orreile gauche du brigand qui irritait Schaft.

-Oui Henri !

Reprenant sa carte comme si de rien etait, dame Koneko retourna s'assoir aupres d'Aillas.

-Au fait, pour vous repondre cher Mister Ter Aelis, ce sera pour moi un martini avec une rondelle d'orange.

Puis, a l'assemblée.

-Alors, nous jouons ?

- la vaiselle...

Home resta dubitatif... pour sur il detestait faire les taches ménagères...
mais l'arrivée de Schaft dans le jeu voulait aussi dire, pas de mise onéreuse et pas de triche...

Schaft alla chercher Grendelor adosser au bar...
Home lui fit un signe de tete amicale...depuis les incidents du parc il restait géné face à la demoiselle...

Permettez que je participe? Cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu aussi bonne compagnie, dit-elle enjoleuse.

- bien sur plus on est de fou, vous connaissez la suite...

Home rengea son dé pipé et sortit de vrais dés...
il recommanda une peinte...

- à boire, des femmes, un bon jeu... il n'y a qua Galvorn qu'on peut vivre cela, n'est ce pas sir Aillas

il planta son couteau sur la table en bois et se retourna vers le jeune écrivain lui faisant un clin d'oeil.

Schaft mumura quelques mots a l'orreille de son canartoon qui s'exquiva en sortant sa matraque en cahoutcouc ave un sourire a faire fuir un Darkfire (expression nouvellement inventé par Coin-coin lui meme !).

Enfin, dame Koneko se tourna vers Home.

- Il manque juste une petite chose pour que tout soit parfait, mais Coin-coin s'en occupe.

Elle le gratifia d'un clin d'oeil et, presque simultanement, on entendit un grand BLAM ! suivit d'un air de musique, Day-o pour etre precis, retentit dans la taverne.

-Voila !

Puis, a l'adresse apparente du fond de la taverne.

-Coinkinou ! C'etait pas la peine d'assomé le gars bourré qui campait devant le piano !

Elle lanca un regard d'excuse cajoleur a Aillas et Home et prit un des dé pour le faire rouler entre ses doigts.

-Alors, on commence ?

Puis, soudainement et sans raison, a l'adresse de grendelor :

-T'as vu Grendinounette ? Je me suis faite tatouée recemment !

Se levant, elle exiba sa cuisse aux regards de la table, fiere de son acquisition

-Quand papa verra ca ! ... esperons qu'il n'en fera pas une cirse cardiaque.

Grendelor se pencha par dessus la table pour regarder de plus près le tatouage de Schaft, mettant en avant un décolleté très... décolleté.

Ouha magnifique ma belle! répondit la jeune femme en s'extasiant. Mais je suis pas sûre qu'Astrinou apprécie... tu devrais pas lui montrer tout de suite, je pense et préparer le terrain. En tout cas celui qui te l'a fait est un artiste! Chapeau!

Elle se rassit avant de siroter son pineau, souriant à ses compagnons de table.

Home resta sur place, la bouche ouverte, voyant la jambe de Schaft, et se tatouage... même si il vivait chez elle il arrivait encore à s'extasier devant sa plastique, mais elle le savait et en jouait...
Grendelor se pencha a son tour pour voir le dit dessin, ce qui permit a Home d'entrevoir son décolleté...


- par Moriganne, on aura tous vue...

la cigarette tomba de la bouche du félidé pour finir sur sa main, le brûlant... la douleur vive le sortit alors de sa contemplation de l'espèce féminine...

- ayeu !! bon le jeu, oui alors... chacun à un gobelet, avec quatre dés, on parie sur le nombre de dé totale chacun son tour, si l'un pense que l'autre ment il le dit... on regarde alors le nombre de dé...

devant les regard dubitatif de ses compagnons.... l'homme chat posa sa tête sur sa main d'un air résigner...

- bon, on lance chacun notre tour et le 7 gagne...

Il avait marché longuement, depuis le collège des arts jusqu'ici, sans se presser. (ça lui avait bien pris plusieurs jours de solitude)
Son errance dans les quartiers sombres l'avait portée jusqu'à une antre de briguands bruillante et lumineuse. A distance, un petit parfum félin avait sans doute tendu un piège à son nez. Le voilà dans l'ombre de l'entrée d'une taverne animée. Beaucoup de bruit, beaucoup de monde.
Il voit atterrir ce qui ressemble à un chevalier ailé...Un ange? Horreur. Accompagnée d'une femme ébouriffée. Il reconnait Cassiopée. Les deux sont trempés de pluie.
Cette remarque s'applique au vampire également, lui-même ne s'en souciait pas.

Il reste à distance, trop impressionné par la foule, pourtant connue et identifiée. Ces derniers jours de solitude rêvassante l'ont ramené à cette légère anxiété qui le prend face à de grosses réunions humaines joyeuses.

Lorsque les 2 derniers voyageurs sont entrés il ose quelques pas dans l'ombre du mur d'entrée, observe à l'intérieur. (en supposant que ce doit être la fameuse taverne que vantait le petit chaton blanc)
Il y a trop de monde, il recule et s'éloigne, avec un regard furtif à Home, dont il discerne la silhouette avec précision, au fond de la salle supeuplée.
Le coup d'oeil ne fut qu'un éclair de chaleur sur son iris de glace, avant qu'elle ne disparaisse dans le noir.

voyant la dite cuisse de la dame Grendelor se dévoilée, Home ralluma une cigarette, ce qu'il aimait Galvorn...

il déposa les dés dans un pot prévu a cet effet...

la soirée s'annonçait bien, la pluie et la chaleur du sud, la taverne était pleine, l'alcool coulait a flot... et l'ambiance était détendu...
quand soudain Cassiopée et Calais débarquèrent trempé... Home se souvenait de les avoir vue partir d'Atalante avant lui et Tobine...

le personnage qui suivit fit hérisser le poils à Home il ne l'avait pas vue, mais malgrès la pluie il avait reconnue son odeur... Smirtnoff.
L'homme chat récupéra délicatement le couteau sur la table et le rangea à sa place...

- décidément votre tatouages ma chère attire du beau monde

murmurât il...

Traelis lui même savait que les deux personnages ne se portaient pas dans le cœur... peut être étais ce parce qu'il se ressemblait trop, ou était ce peut être la convoitise de la belle Schaft, insouciante mais si attirante... ou étais simplement le fait que plus le temps passait plus Home devenait associable...
Home tira un latte sur sa cigarette et regarda silencieusement en direction du mur... il attendait patiemment que le jeune vampire face son entrée... la fumée enveloppant son visage félin...

Le noir félin a senti sa présence, évidement. Il est attentif. Mais le vampire lui est invisible, à présent, glissé en arrière, dans la pénombre pluvieuse.
Il tire de sa poche humide un morceau de parchemin froissé, presque décomposé par la douche qu'il a reçu au travers des vêtements.
Smirtnoff déplie la pauvre carte, reçue de la patte de Home, et qui se désagrège contre le gant.
Il a eu le temps de jeter un coup d'oeil, histoire de confirmer son intuition. C'est bien la Taverne de la miss, située dans les bas-quartiers de Galvorn.
Il laisse tomber à terre les déchets de papier liquefiés, qui contenaient encore un infime indice de l'odeur du chat noir, de ses mains qui l'avaient plié.

Ce contact sensoriel le fait grincer des dents.

Il s'approche à nouveau de l'entrée empreinte de chaleur très humaine, se secoue et s'ébroue tout entier, pour se débarrasser de quelques litres d'eau qui l'encombrent.
Ensuite il rentre, d'un pas vif. (pour ne pas récupérer, illico, toute la flotte qu'il a lancé)
Un petit frisson d'agressivité lui parcourt l'échine. Si ce n'est pas la peur de la foule et du bruit. Ses yeux de givre sont un peu plus ouverts qu'à l'habitude.

L'ombre esquive les dames, les ailes et les Darkfire en émoi. Se glissant entre les tables il s'approche de celles des joueurs. La différence de température entre la nuit orageuse, son corps glacé et les lieux bouillonnants d'amusement force un certain tremblement dans ses mains.
C'est pourquoi il s'abstient de les poser sur les épaules de Home, et se contente de se pencher au-dessus de lui, le menton près de son cou.
Il étire un sourire vraiment bizarre, qui se voulait joueur, mais qui se fait complètement crispé par son froid intérieur.
Toute cette pluie qui lui a traversé le corps. Comme pour du terreau, l'eau a fait remonter à la surface quelques anciennes blessures. En fait. Pas si anciennes que ça... Après tout il est jeune. Impulsif. Indécis.

Il fait grincer de sa voix:
-hey, monsieur-le-chat. J'ai ouï dire qu'on servait de la vodka-hémoglobine par ici. Quoiqu'en mon état actuel, je me passerais bien des glaçons.

Grendelor fit un sourire d'une innocente pureté à Aillas avant de lui répondre.

Moi? Le détourner? C'est bien mal me connaître. Et puis je lui donne aussi des cours particuliers sur des sujets bien peu approchés à l'Académie. C'est un autre savoir que nous partageons... Mais peut être êtes-vous un peu jaloux? ajouta-t-elle en lui retournant clin d'oeil.

Elle observa avec curiosité l'arrivée de Calaïs et Cassiopée et surtout l'approche d'un être sombre qui, à son sourire, se devait d'être un vampire.

*Un vampire dans une taverne... que de souvenirs enfuis...*

Ses pensées s'envolèrent vers cette fameuse taverne de Ogame City tenue par un vampire et fréquentée par tant de ses connaissances actuelles. Cependant, celui qu'elle avait près d'elle ne semblait pas avoir encore atteint la maturité de Zlakto (*Etait-ce exactement ça?*). Aussi elle se tourna à nouveau vers Aillas.

Voudriez-vous une démonstration de ce que je peux lui apprendre? fit-elle d'une voix charmeuse en se levant et en passant derrière l'écrivain. Elle posa ses mains douces sur ses épaules et commença un massage léger.

jeux de dés, jeux de cartes... on s'y perdrait sans y prendre garde...
Home donna la cigarette au jeune écrivain, enfin un homme un vrai... il observa son jeux, esquissa une sourire qui disparu quand Schaft gagna pour la énième fois de suite avec trois cartes présent dans le jeux de l'homme chat... Schaft ne savait pas tricher, pas aux cartes en tous cas... et puis il lui avait apprit ce qu'elle savait en triche aux cartes alors qui.... le sourire froid et crispé de Smirtnoff, lui faisait dire que lui aussi avait vue qu'on trichait, ou alors étais ce autres choses...

-hey, monsieur-le-chat. J'ai ouï dire qu'on servait de la vodka-hémoglobine par ici. Quoiqu'en mon état actuel, je me passerais bien des glaçons.

ce que détestait le plus Home s'était les tricheurs, surtout quand s'était à ses dépends... il regarda l'assemblée, dévisageant chaque invité, il s'arrêta un instant sur le jeune elfe... il posa violemment son jeu sur la table...


- se sera tous pour moi, ce soir... je me couche.

levant la tête, vers le jeune vampire...

- je vois que vous savez lire une carte... le ton était ironique... Délinda, sert nous une Vodka, steuplé !

la serveuse ondula du postérieur...

- tous ce que tu veux mon fauve...

ils s'échangèrent un sourire coquin... le Docker passait beaucoup de temps ici ou alors il la connaissait plus intiment...

- asseyez vous... pour le sang, le mien vous serez indigestes... demander a nos autres convives...