Je dois avouer que si au début j'ai trouvé l'image du texte compacte, sa surface m'attire sans que je puisse dire pourquoi.
Dans les anecdotes, j'ai aimé le bruit des pas dans les flocons (cricri), ce que ça m'évoque : une naissance.
J'y vois aussi une métaphore du temps qui passe, des codes de notre monde qui entraient en nos têtes blondinettes à force de tourner les pages, ces vagues d'écume plate.
Par contre, je ne suis pas certain de comprendre la charnière des chairs bleues, j'ai l'impression qu'elle nous tourne vers le décès. Pourrais-tu m'éclairer sur ce point s'il-te-plait?