Sentiments découverts

Courir, chercher, encore courir, rechercher
Ont été pendant des années mes maîtres mots,
Puis je t’ai vu, admirant ce ciel étoilé
Qui me disait : « vas-y c’est celle qu’il te faut.»

D’un pas lent et silencieux je m’approchais de toi.
Dans tes yeux bleus tels des océans je plongeais
Et pour rien au monde je m’en détacherais,
Ils m’ont donné un brûlant et vibrant émoi.

Dans tes saphirs j’y ai vu cette même lueur
Qui irradiait mon corps, mon âme et mon cœur.
Cet amour brûlant qui envahit tout mon être
Telle la lave où la violette peut naître.

Cette timidité vaincue et surpassée,
Je peux enfin te susurrer ces simples mots.
Ces doux mots qui m’engagent pour l’éternité.
« Je sais vraiment que tu es celle qu’il me faut. »


Petit poème noté que je devais faire pour le professeur de français. Le sujet est de faire un poème lyrique.
Je mettrais la note plus tard quand il aura corrigé. NOTE: 15.5/20

Tu es en seconde? A-t-il donné d'autres contraintes particulières?

Oui je le suis. 16 vers en alexandrin, en utilisant des figures de styles appropriées (en rapport avec le lyrisme). A la première personne.Pourquoi?

Parce que ce serait amusant de faire des pronostics de note, avec essai de précorrection, (sauf si ça ne t'amuse pas). Celui qui serait le plus prêt des appréciations et de la note aurait droit à je ne sais pas quoi.

Tu peux le faire si tu veux mais donne moi le résultat que tu en as tiré en mp s'il te plait

Ah non en mp c'est pas drôle! Moi ce qui m'aurait amusé c'est que plusieurs personnes essaient de prévoir la note (il s'agirait plus d'un pari que d'un jugement).

Ha d'accord je ne voyait pas ça de cette façon mais par contre cela ne sera-t-il pas associé avec du flood?

On verra bien.

Ramalok a écrit:

Courir, chercher, encore courir, rechercher
Ont été pendant des années mes maîtres mots,
Puis je t’ai vu, admirant ce ciel étoilé
Qui me disait : « vas-y c’est celle qu’il te faut.»

D’un pas lent et silencieux je m’approchais de toi.
Dans tes yeux bleus tels des océans je plongeais
Et pour rien au monde je m’en détacherais,
Ils m’ont donné un brûlant et vibrant émoi.

Dans tes saphirs j’y ai vu cette même lueur
Qui irradiait mon corps, mon âme et mon cœur.
Cet amour brûlant qui envahit tout mon être
Telle la lave où la violette peut naître.

Cette timidité vaincue et surpassée,
Je peux enfin te susurrer ces simples mots.
Ces doux mots qui m’engagent pour l’éternité.
« Je sais vraiment que tu es celle qu’il me faut. »

Mon pronostic (j'imagine un prof gentil) :
15/20, les consignes sont respectées, les thèmes du lyrisme sont présents, ainsi que les figures de style. Peut-être quelques interjections exprimant l'émotion du poète auraient apporté plus de souffle. La versification est bien respectée malgré quelques erreurs.

MAJ pour ajout de la note.
Tu y étais presque c'est 15.5/20