Du power violon progressif, j'aime !
C'est pas courant que tu fasses des variations aussi brutales dans un morceau, mais ces soudaines ruptures passent très bien. Notamment la seconde partie très énergique, mais dont l'intensité est comme annoncée discrètement dans la première, par cette montée en puissance presque imperceptible derrière ce piano toute en retenue.
C'est là tout l'art du progressif : mettre des choses très différentes dans un morceau, mais du début à la fin, c'est toujours essentiellement le même morceau.
J'ai réécouté 4 fois aujourd'hui, au moment d'écrire ces lignes, je ne pense pas en avoir fini.