Teysa devoir numero 3 [Ambre]

Je venais a peine de m’engager dans la ruelle, quand je me retrouvai face a trois visages grimaçant. Trois visages pleins de haine, les yeux injectés de sang, un rictus déformant leur visage, découvrant ainsi leurs dents jaunâtres. Leurs cheveux gras encadraient des figures émaciées et une barbe de quelques jours.

- Alors monsieur Chatro, on c’est perdu ?

C’était celui du milieu qui parlait. Les deux autres se contentaient de ricaner, en répétant les derniers mots de celui qui semblait être le chef. Au moment de ses paroles, l’haleine nauséabonde du grand m’atteint le visage. Une haleine qui sentait la mauvaise bière et la nourriture avariées.

- Quand on doit des sous monsieur Chatro, on paye. Sinon…

Je ne savais pas du tout de quoi il parlait. Je n’eu, de toute façon pas le temps de lui poser la question car a se moment, il souleva une énorme masse qui atterrit droit dans mon ventre. Mes abdos se contractèrent par pur réflexe. La douleur m’envahit quand même. Je sentis mon estomac exploser à l’intérieur comme un ballon baudruche. Mes muscles étaient déchirés et le sang remplissait ma bouche. Un mince filet d’hémoglobine mélangé à la salive s’écoulait entre mes lèvres entrouvertes. Je sentais se goût acre dans ma bouche… le goût du sang. Je vis que j’étais à genoux, quand étais-je tombé. Je n’en n’avais aucune idée. Je levais la tête pour voir mes ravisseurs. La douleur m’envahit alors par se simple geste et je ne pus qu’apercevoir leur silhouette, par mes yeux voilés de douleur. Je crachai le sang qui m’emplissait la bouche.

- Pp … pou… pourquoi ?

Réussi-je a balbutier. Les trois hommes éclatèrent de rire, avant que celui qui tenait la masse réponde :

- Mais parce que vous n’avez pas payé monsieur Chatro.

Et sur ce, il m’envoya la masse dans la cuisse qui lâcha alors. Je sentis l’os se fendre et le muscle imploser. La douleur me fit me recroqueviller. Il ricana. Puis la masse s’abattit sur mon crâne. Mes os firent un craquement sinistre. Une douleur aigue m’envahit. Puis plus rien. Je me souviens qu’il s’était mis à pleuvoir, de fines gouttelettes. La dernière image que je vis, se fut le sang s’écoulant devant moi, mon sang. Qui se diluait a l’eau du caniveau. Le marteau posé devant mes yeux avec les restes de ma cervelle accrochés dessus, glissant petit a petit pour tomber a terre. Et enfin le trou noir, la délivrance…enfin.

Rappel : sujet du devoir : la violence, interdiction d'utiliser les conjonctions de coordination.

Teysa le sombre a écrit:: Je venais à peine de m’engager dans la ruelle(,) quand je me retrouvai face à trois visages grimaçants. Trois visages pleins de haine, les yeux injectés de sang, un rictus déformant leur visage, découvrant ainsi leurs dents jaunâtres. Leurs cheveux gras encadraient des figures émaciées et une barbe de quelques jours.

Soulagement intense, déjà, il y a des paragraphes, et pas trop de fautes dans celui-ci, donc c'est plutôt positif. Juste histoire de chipoter, si tu pouvais diminuer sur les participes présents, ça améliorerait encore ton texte, mais là, vraiment, rien trop à dire...

- Alors monsieur Chatro, on s’est perdu ?

C’était celui du milieu qui parlait. Les deux autres se contentaient de ricaner(,) en répétant les derniers mots de celui qui semblait être le chef. Au moment de ses paroles, l’haleine nauséabonde du grand m’atteint le visage. Une haleine qui sentait la mauvaise bière et la nourriture avariées.

Pas de fautes, mais attention à la ponctuation, tes virgules sont mal placées. Sinon, "au moment de ses paroles", c'est très maladroit comme formulation, essaie plutôt alors qu'il parlait ou quelque chose dans le genre. Et ensuite, qui c'est qui a été TRES vilain et qui a changé de temps, hum ? c'est le petit Teysaaaa (sisi, il est petit, trèèèès petit, woui madame c'est vrai :tongue: ) donc non, l'haleine nauséabonde ne m'atteint pas, mais elle m'atteignit (eh oui, entre temps j'ai appris à vivre en apnée toute la journée, utile ça ^^)

- Quand on doit des sous monsieur Chatro, on paye. Sinon…

Je ne savais pas du tout de quoi il parlait. Je n’eus(,) de toute façon pas le temps de lui poser la question car à ce moment, il souleva une énorme masse qui atterrit droit dans mon ventre. Mes abdos se contractèrent par pur réflexe. La douleur m’envahit quand même. Je sentis mon estomac exploser à l’intérieur comme un ballon de baudruche. Mes muscles étaient déchirés et le sang remplissait ma bouche. Un mince filet d’hémoglobine mélangé à la salive s’écoulait entre mes lèvres entrouvertes. Je sentais ce goût âcre dans ma bouche… le goût du sang. Je vis que j’étais à genoux. Quand étais-je tombé ? Je n’en n’avais aucune idée. Je levais la tête pour voir mes ravisseurs. La douleur m’envahit alors par ce simple geste et je ne pus qu’apercevoir leur silhouette(,) par mes yeux voilés de douleur. Je crachai le sang qui m’emplissait la bouche.

Bon bon bon... Plein de choses à dire ici, donc mauvais, en fait XD... Déjà, j'ai cru voir un car, c'est mal... Ensuite, c'est surtout au niveau du rythme de tes phrases et de leur formulation que ça coince. Tu es entré au début de paragraphe dans une routine sujet/verbe/complément qui casse un peu la violence des actions, les rend monotone. Si tu avais pris le point de vue de celui qui frappe, ça aurait été parfait, mais là ça ne va pas du tout. Ensuite, la ponctuation, grande ennemie... Essaie de te relire à voix haute, ce serait mieux... Et puis, on dit "de mes yeux" et non pas "par mes yeux"... Pour finir sur ce paragraphe, laisse tomber les "alors" partout ou je me fâche...

- Pp … pou… pourquoi ?

Paaaaaaaarce queeee !!!! *bruit de tronçonneuse*

Réussis-je à balbutier. Les trois hommes éclatèrent de rire(,) avant que celui qui tenait la masse réponde :

- Mais parce que vous n’avez pas payé monsieur Chatro.

Et sur ce, il m’envoya la masse dans la cuisse qui lâcha alors. Je sentis l’os se fendre et le muscle imploser. La douleur me fit me recroqueviller. Il ricana. Puis la masse s’abattit sur mon crâne. Mes os firent un craquement sinistre. Une douleur aigue m’envahit. Puis plus rien. Je me souviens qu’il s’était mis à pleuvoir, de fines gouttelettes. La dernière image que je vis, ce fut le sang s’écoulant devant moi, mon sang qui se diluait à l’eau du caniveau. Le marteau posé devant mes yeux avec les restes de ma cervelle accrochés dessus, glissant petit à petit pour tomber à terre. Et enfin le trou noir, la délivrance…enfin.

Non, désolée, la cuisse ne lâche pas "alors", elle lâche aussitôt. C'est mieux. Et les os ne font pas de bruit, ils émettent. Et d'un coup, hop, un "je me souviens". Il est mort à la fin du texte le bonhomme, il ne peut pas se souvenir. Donc on enlève ça ^^ On ne dit pas "à l'eau du caniveau" mais "dans l'eau du caniveau". Ensuite le fin est trop brusque, tu n'as pas assez développé, et les bouts de cerveau accrochés au marteau c'est un peu bad tastien, je dirais... Genre exagéré quoi, et c'est dommage...

Bon, je pense que ce corrigé est assez complet pour que je me passe de commentaire général, on verra pour le reste au prochain devoir, je suis dispo pour les moindres précisions si jamais tu en veux...

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