L'arrivée du sombre

Assi dans l'ombre de la voute, emmitouflé dans sa longue cape noire salit par le voyage et les égouts il attendait patiemment la nuit. La bouche d’égout donnait sur la mer et au dessus de lui il pouvait entendre le bruit des quais de Galvorn. Tout en regardant le soleil se couché sur la mer il repensait a tout se qui l’avait amené jusqu’ici.
…
Tout d’abords sa tribu l’avait exilé. Ayant toujours été différents des autres autant physiquement que mentalement il avait toujours été rejeté et seul dans sa misère. Seul sa mère le soutenait et l’aidait, il n’avait jamais connues son père qui es avaient quitté très tôt. Sa tribu l’avait exilé quand le nouveau chef avait pris place, ne pouvant accepter sa différence, il l’avait déclaré mort pour la tribut. Sa mère lui avait alors dit d’aller trouver sont demi-frère a Ter Aelis.
Il pris son arme, (la lame de son père elle n’avait pas de garde ni de poigné et seul sa famille pouvait la prendre en main, sa mère lui avait donné dés qu’il pus tenir une épée dans les main, et il appris a la magné a un âge ou elle étai trop lourde pour lui, se qui faisait qu’il la magnait comme une épée courte, alors qu’elle était plus longue et plus large que épée longue.) ses affaire d’art, différents parchemin des plume de l’encre et du charbon pour le dessin.
Il paya son voyage avec les bourses des autres et arriva a Galvorn ou il passa totalement inaperçu dans la foule hétéroclite. L’arrivée devant les portes l’abasourdis au début et il mit un certain temps a s’habitué a la ville n’ayant jamais vécut que dans son village. Mais très vite il comprit l’intérêt de la ville pour ses talant de voleur et d’artiste. Artiste à la plume et au carbone le jour il devenait l’artiste de l’ombre et de la disparition la nuit.
…
Nuit qui venait de tombé justement et qui annonçait la levé du voleur. Il fallait bien se contenté de sa avant de se lancé dans ces recherche il était impératif dans savoir plus sur Ter Aelis et qui mieux que les artiste et les voleurs pouvait le découvrire

Chromatique Nombre de messages : 2373 Age : 32 Date d'inscription : 22/11/2007

Mido était venu dans cette citée sombre qu'était Galvorn pour y recueillir quelques plantes pour sa boutique de fleurs, ainsi que quelques parchemins administratifs pour les concours d'écriture. Il venait directement de la cité des airs Wilwarin, et ce changement brutal d'ambiance, de la lumière aux ténèbres, l'avait quelque peu déboussolé.

Alors qu'il marchait doucement dans de petites ruelles des bas quartiers, sa main elfique posée sur le manche de son épée, près à dégainer, il croisa une ombre qui courrait, vite. En tant que Gardien, il ne put s'empêcher de savoir qui était si presser de l'esquiver. Il retira sa cape et dans un mouvement d'une grâce rare, il s'éleva dans les airs à la seule impultion de ses pieds et aterrit devant l'homme. Il le prit par le bras et lui sourit:

- Hola jeune homme, que vous arrive t'il ?

Et voila sa malchance légendaire venait encore de frapper, il venait de sortir de l’annexe de L’académie lorsque il croisa un gardien. Certes se mettre à courir dés que celui-ci l’apercevais n’était peut être pas la meilleur des idées qu’il est eu. Mais bon il faut avouer que pour un voleur les gardiens son rarement signe d’une bonne nouvel. Le fait est que le gardien le rattrapa, oui il n’avait pas prévu d’avoir a faire a un non humain donc bien sur Teysa se fit attraper rapidement. Le gardien atterri devant lui. Il lui sourit et lui dit :
-Holà jeune homme, que vous arrive t’il ?
En voyant le garde Teysa put voir que celui-ci avait fais la même erreur que lui celui de le sous estimée. Même si le jeu était dangereux, Teysa ne put s’empêché de sourire a l’idée de la course poursuite qui s’ensuivrait. Il dévisagea le garde avec un grand sourire, puis d’une vitesse impressionnante, hérité de sa race, il se dégagea aisément et sauta sur le toi opposée. Il regarda le gardien lui fit un grand sourire et lui répondit :
-monsieur je vous en pris mais se serait m’insulté que de pensé attraper quelqu’un de ma race aussi facilement et d’ailleurs le je n’en vaudrais pas la chandelle si se serai si facile de m’attraper.
Puis sur ses mots il éclata de rire et s’échappa, comme une ombre il venait de disparaitre dans la ville laissant le gardien abasourdi dans la rue, celui-ci ne pouvait ignorer la poursuite qui lui était proposé. Surtout quand en regardant la ou était le jeune elfe il put apercevoir sa bourse pleine.

Un frisson parcouru l'échine de Dounette. Elle leva la tête, étonnée : la nuit venait à peine de tomber, et l'air était encore chaud des derniers rayons du soleil. Son frisson ne pouvait qu'être intérieur.

Elle laissa tomber la plume qui, quelques instants auparavant, courrait encore sur le parchemin que la jeune fille s'employait à noircir de barbares régles administratives.

S'approchant de la fenêtre de son cabinet de travail de Belthil, l'âme damnée ferma un instant les yeux, cherchant les dernières traces de ce fugace frisson. Quelque chose l'avait provoqué ... Elle rouvrit les yeux et les tourna instantanément vers la direction de la côte.

"Galvorn..."

Son front se barra. Elle était préoccupée. Cette ville avait toujours été un repère de bandits et de pirates reconvertis dans le marchandage et la tenue de boutiques exotiques et pas toujours d'une honnêteté scrupuleuse. Mais quelque chose venait de se produire. Ter Aelis elle même avait prévenue l'une de ses Ames Errantes.

Dounette tourna alors son esprit vers Ramrod, qu'elle trouva très occupé à dessiner, sur un coin de table, l'ébauche d'un plan du pays.

"Ne le dérangeons pas avant de savoir exactement la nature de mes pressentiments..."

L'Ame Damnée sortit rapidement de ses appartements et se dirigea vers l'un des ascenseurs anti-grav de la Cité. Les couloirs étaient toujours très animés, de jour comme de nuit, mais devant elle, les fonctionnaires s'écartaient, avant de reprendre, pressés, leurs activités administratives. Ainsi, elle grimpa a haute vitesse les innombrables étages de la Tour, jusqu'à son sommet, où, sous une coupole de verre, les magiciens de Ter Aelis travaillaient.

"A Galvorn, et vite !"
Sans attendre, la jeune fille se plaça dans le cercle de transportation. L'air bourdonna légèrement, pendant que le RETI (Réseau Express de Téléportation Intérieur) l'amenait instantanément au sein même de la Cité Mal-Famée.

Sans attendre, l'Ame Damnée se concentra un instant, avant d'enfiler, discrète, quelques ruelles sombres.
Un bruit l'alerta, et Dounette se fondit dans l'obscurité d'une porte cochère. Un jeune homme passa devant elle, visiblement très pressé et faisant d'incommensurables efforts pour passer inaperçu.

"Eh bien, jeune homme, vous vous cachez?"

Teysa fit un bond de surprise, les yeux écarquillés, ce qui provoqua un sourire amusée chez la jeune fille. Puis, sans lui laisser le temps de recouvrer ses esprits, Dounette enchaîna :

"Je suis l'une des Ames Damnées de ce Pays. Pour une raison qui m'est moi-même inconnue, Ter Aelis a voulu que je vienne à votre rencontre. Seriez vous en quête de quelque chose?"
Puis, baissant la voix, la jeune fille ajouta :
"Ou une menace pour notre communauté peut être?"

Teysa regarda abasourdi la personne qui venait d’apparaitre a ses cotés. Quand Elle lui parla comme s’ils se connaissaient depuis longtemps cela le laissa sous le choc et il ne sut quoi répondre. Au bout de quelque temps ou elle le regardait bizarrement il réussit a bégayé :

-Non il n’y a rien de grave j’échappais juste a un gardien. Il n’y rien de grave enfin pas a ma connaissance. Je ne pense pas que cette contrée soit en danger, mais il est vrai que je ne sais pas tout. Il ria doucement gêné. Je suis juste a la recherche de mon demi-frère mais je ne connais presque rien de lui a par qu’il est humain a par entière. Comme des quantités de gens dans cette ville.

Il souri et la regarda en souriant toujours gêné.

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