Lui et elle

Quand mon regard omniscient se pose sur toi à travers les brumes du temps, tu observes
mon âme pale, incandescente, dans les bras de la noire dame, le corps
vêtu de haine, ma folie à la main, je m'avance à travers les brumes
bleutées de mon orgueil. Je suis le prince des rêves, maître du chaos,
nué de folie, prend ma main et arpente les rues dévastées de mon cœur
cendré, bois à t'en rendre ivre la fontaine de ma folie... Rejoins moi !

Tu es folie et espoir et par delà tes rêves tu me regardes sombrer dans
une torpeur alcoolisée. Je suis l'ombre de ton regard comme on se
raccroche au fil d'une pensée. Ou es tu?

Par delà mes rêves je t'observe, j'attends dans l'obscurité que tu daignes
poser ton regard sur moi. Ouvre les yeux, petite dame, en face de toi
j'attends patiemment que tu attrapes ma main ouverte vers toi, vers la
folie salvatrice de mes deuils. Accepte de piétiner ta raison et couvre
toi de ma folie, vêt toi de mes rêves, ils sont l'essence de la vie, les
choix des destins, les espoirs de ma mort...

Mais je marche déjà à la lisière des royaumes pervertis et c'est ma folie
qui m'habille. Elle couvre ma peau et hante mes yeux endormis. Je te
vois dans la lumière et le temps qui se pleut sur mes cheveux. Je veux
croire. Et ma main traverse la tienne sans la saisir.

Souriant je me plonge dans tes yeux enfin ouverts, je brûle des pleurs de mon
ombre mortuaire, le linceul de mes pensées jouissants de ton
inconstance, mais ce sont mes rêves qui se glissent dans ton ombre.
Quitte enfin la lisière entre dans mon monde qui t'appelle de ses cris
déchirants de corruption, c'est ton choix, ma main figée attend.

Mais qu'attendre de moi qui soupire et qui erre ? Je suis l'insouciance au
visage meurtri et trempé de larmes. Qu'attends-tu de moi ? De mon corps
épuisé et de mon âme violée par tant d'autres ? Je me perds avec ardeur.
Fuis donc ma perdition.

Doucement l'ombre de ma folie essuie une larme bleutée de ton âme, mes rêves
t'entourent de leurs bras rassurants, les brumes maladives de ma pensée
nous cernant, dans un murmure je te réponds :

- Je n'attend rien de toi, seulement toi...

Le texte perd malheureusement énormément de sa saveur de part les fautes d'orthographe et les multiples répétitions (notamment d'"ombre", "brume", "folie" et "rêve"). Il y a aussi une impression de fouilli et de désordre qui se fait sentir. Si Lui l'observe, comment est-elle ? Pourquoi manque-t-il sa description ? De fait, j'ai plus le sentiment qu'il s'agit de Lui et que lui en la mentionnant juste.

Analyse pertinente de Mike à laquelle j'abonde totalement.

Un prof d'université m'a dit un jour que les fautes d'orthographes étaient comme les parasites des ondes radios : on aura beau écouter la plus belle des symphonies, on s'irritera toujours sans cesse du vacarme et du bruit la couvrant.

Il y a de la poésie dans ce texte, dans cet écrasant égoïsme du principe masculin qui ne veut que se refléter dans le regard féminin (effet très intéressant au demeurant... voulu ?)

Cependant, ton orthographe et ta grammaire PLUS QUE PITOYABLES et ÉHONTÉMENT IRRESPECTUEUSES VIS A VIS DE TES LECTEURS est un frein rouillé à l'appréciation de la lettre. Tu le sais, je te l'ai déjà dit : tu es un auguste flemmard, doublé d'un mégalomane dépravé. Fais toi corriger, relis toi, et arrêtes de penser que seule le fond importe; c'est entièrement faux, la forme fait partie intégrante du travail d'écriture, de plus elle n'a jamais limité la formulation de la pensée, au contraire, bien souvent elle permet de la préciser.

Un autre torchon grammatical comme celui-là, et je vais devoir prendre des mesures drastiques à ton encontre, bordel de chiée !

Seul point positif, ta syntaxe s'est beaucoup améliorée ^^

Je me dévoue pour la correction.

Teysa le sombre a écrit:: Quand mon regard omniscient se pose sur toi à travers les brumes du temps, tu observes mon âme pale, incandescente, dans les bras de la noire dame, le corps vêtu de haine, ma folie à la main, je m'avance à travers les brumes bleutées de mon orgueil. Je suis le prince des rêves, maître du chaos, nué de folie, prend ma main et arpente les rues dévastées de mon cœur cendré, bois à t'en rendre ivre la fontaine de ma folie... Rejoins moi !

Tu es folie et espoir et par delà tes rêves tu me regardes sombrer dans une torpeur alcoolisée. Je suis l'ombre de ton regard comme on se raccroche au fil d'une pensée. Ou es tu?

Par delà mes rêves je t'observe, j'attends dans l'obscurité que tu daignes poser ton regard sur moi. Ouvre les yeux, petite dame, en face de toi j'attends patiemment que tu attrapes ma main ouverte vers toi, vers la folie salvatrice de mes deuils. Accepte de piétiner ta raison et couvre toi de ma folie, vêt toi de mes rêves, ils sont l'essence de la vie, les choix des destins, les espoirs de ma mort...

Mais je marche déjà à la lisière des royaumes pervertis et c'est ma folie qui m'habille. Elle couvre ma peau et hante mes yeux endormis. Je te vois dans la lumière et le temps qui se pleut sur mes cheveux. Je veux croire. Et ma main traverse la tienne sans la saisir.

Souriant je me plonge dans tes yeux enfin ouverts, je brûle des pleurs de mon ombre mortuaire, le linceul de mes pensées jouissants de ton inconstance, mais ce sont mes rêves qui se glissent dans ton ombre. Quitte enfin la lisière entre dans mon monde qui t'appelle de ses cris déchirants de corruption, c'est ton choix, ma main figée attend.

Mais qu'attendre de moi qui soupire et qui erre ? Je suis l'insouciance au visage meurtri et trempé de larmes. Qu'attends-tu de moi ? De mon corps épuisé et de mon âme violée par tant d'autres ? Je me perds avec ardeur. Fuis donc ma perdition.

Doucement l'ombre de ma folie essuie une larme bleutée de ton âme, mes rêves t'entourent de leurs bras rassurants, les brumes maladives de ma pensée nous cernant, dans un murmure je te réponds :

- Je n'attend rien de toi, seulement toi...

I've done my best...

Merci beaucoup Lilith je m'excuse encore pour le torchon grammatical Géné

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