Elle...

Elle…

Une larme coula sur ses joues si pâles…ses longs cheveux noirs semblaient se soulever sous une brise légère… Oui, elle l’aimait. Elle les aimait tous et toutes, de toute façon. Jamais elle n’aurait voulu provoquer leur larme. Jamais…

Elle s’avança lentement vers lui, ce jeune homme séduisant qui rigolait avec ses amis aux coins de la rue…Elle l’avait observé longtemps, et Elle savait que dans dix minutes à peine, il traverserait la rue pour rentrer chez lui. Une petite maison, pour une grande famille. Elle lui réservait une surprise comme Elle savait en faire. Elle n’avait jamais le choix.

Lorsqu’il traversa, il arrêta sa course à mi-chemin, pour contempler une pluie d’étoile scintillante qui l’enveloppa pour le cacher de la nuit… S’ensuivit ensuite ce manteau pourpre si semblable aux pétales des roses, qui l’enveloppa pour qu’il n’ait plus jamais froid… La magicienne avait exaucé un vœu… Mais Elle n’aimait pas cela.

Les gens crièrent, la musique hurla, et les spots s’allumèrent en même temps, illuminant le public d’éclat tantôt bleus, tantôt rouges… dans une succession folle et interminable.

Elle l’aimait…oui, elle l’aimait, et elle venait de l’ensorceler pour que toujours il demeure auprès d’Elle. Elle se sentit coupable, mais Elle n’avait pas le choix.

Elle caressa son visage, et se pencha pour lui démontrer sa tendresse mais…Elle fut appelée ailleurs, et s’en retourna. Tant pis, aujourd’hui n’était pas le jour où ils seraient réunis.

Elle passa par la fenêtre, pour arriver dans la chambre de celui qui l’appelait. Elle me connaissait, et m’attachait encore plus d’importance qu’aux autres…Ca faisait longtemps que j’avais cru l’apercevoir, la sentir près de moi. Je la désirais, je l’aimais, et Elle le savait. J’avais fermé les yeux, feignant de m’endormir. Je lui offris la blancheur de mes draps, et le rouge qui quittait mes joues. Je m’offrais à Elle.

Des larmes perlèrent au coin de ses yeux…Elle caressa mes joues, qui au fur et à mesure, pâlissaient. Elle se coucha sur moi, m’enveloppant d’un froid glacial possessif et protecteur. Je ne sentais rien. Sauf elle… Elle se pencha, et effleura mes lèvres avec les siennes. Les siennes qui m’enlevèrent à moi, celles qui m’élevèrent au-dessus des vivants. Elle était belle, douce et aimante : Elle m’avait embrassé…

J'aime bien.
Comme toujours tu parviens à maintenir le supsens tout au long du texte. On ne se doute pas qu'il s'agit de la mort. On pense que c'est une jeune fille amoureuse qui rêve un peu...

Pour le garçon qui s'arrête au milieu de la route, on ne saisit qu'à la fin, paèrs la chute, ce qui lui est réellement arrivé.

Je trouve ton texte très bien mené.
Simplement bravo.

Très beau texte, le suspens est gardé jusqu'au bout même si il y a une phrase que j'avais pas capté (honte a moi Tire la Langue

)
la façon d'écrire donne envie de continuer et d'arriver a la fin Très Heureux

les métaphores
(c'ets bien cela ??^^) sont tellement bien utilisé que je les aient même pas toutes comprises Très Heureux

(tu voulais que je casse, je casse...)

Mais frérot, franchement, qu'est-ce que c'est que ce texte ? C'est nul nul nul, franchement, ça vaut pas un clou, rien, que dalle, nenni, on touche le fond, et encore, on pourrait creuser...

(bon, maintenant que t'es content...)

Bon, il y a des fautes (si si, relis-toi), notamment sur les pluriels, je sais pas on dirait que tu les as inversés... Oo

Maintenant, pour le fond, je trouve cette nouvelle très belle, triste surtout, teintée de ta poésie habituelle... Les phrases sont bien tournées, on un certain rythme. Certains passages me font penser à d'autres choses aussi, les métaphores permettent d'élargir la perception de la nouvelle, il y a même une certaine identification, je trouve... Comme si tu faisais des allusions... (là revlà partie dans son délire l'ot'... On fait quoi ? Bah, laisse-la, elle se taira toute seule...)

Simplement (une ch'tite critique ça fait pas de mal), mais c'est tout à fait personnel et ça ne gache rien, je trouve que de mettre le E de Elle en majuscules n'était pas nécessaire et diminue un peu le supsens... Maintenant, comme dit, je pense que c'est vraiment une perception très personnelle...

Voilou ! (je t'attends sur le mien maintenant, namého Tire la Langue

)

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