Un personnage peu commun

( je préviens tout de suite je suis nul en RP ^^ )

Ce matin là, sur Ter Aelis, Le soleil était à son paroxisme, la chaleur au rendez vous, et la gaieté toujours aussi présente.
Lorsque, au loin, on aperçu un jeune homme, grand, les cheveux court noir, rempli d'épis et une longue écharpe rouge flottant au vent.

Il marchait avec grâce et certitude.

Lorsqu'il arriva devant un vieux mendiant, voila quel fut sa réaction :

Il s'assit à ses côtés, et sans le regarder il lui demanda pourquoi il mendiait, le mendiant lui répondit alors qu'il devait pouvoir se nourrir.

Le jeune homme lui donna alors une bourse d'or et lui dis ces quelques mots :

" Prends, ici, je n'en aurais plus besoin "

Il se releva et continua sa route affichant un large sourire enfantin.

Il arriva alors devant une grande maison, magnifique.
Il y était inscrit " Embarcation pour l'archipel des premières mers "

" J'y suis enfin ! "

Il pris alors une grande bouffé de cet air frais et pénétra dans la maison

Puisqu'il boudait toujours dans sa taverne sans qu'on vienne le secouer d'avantage, Smirtnoff s'en alla respirer un peu l'air du port, quittant la foule imbibée d'alcool et ses vagissements salaces.

Après une courte marche dans l'ombre des hautes maisons marchandes et réceptions de navires en tout genre, le vampire a retrouvé son humeur placide et anti-pensive. (oué quand il est seul, il ne pense pas) (ça s'appelle la Nothing Box)

Il marche avec, certes, un air particulièrement pensif et philosophe, mais la surface n'a aucune incidence sur le contenu, n'est-ce pas.

Il aperçoit un grand dadet souriant, et son odorat intercepte son odeur portée par un vent de face, encombré des senteurs agressantes de la mer.

-...?

Traduction de son silence; Il reconnaît une odeur familière. Il marche plus vite pour rejoindre ce joyeux energumène, s'en approche, bondit et le choppe par l'épaule avant qu'il n'entre dans la baraque.
(c'était violent)

-HEY! ...Mais c'est ma figue? (voix courtoise) Tu m'as donc suivi? Bienvenu ici.

Il grimace sous l'étreinte. (Gnnh)

Et puis, n'oublie pas tu m'as promis qu'ici, mes œuvres seront appréciées !

-J'ai dit ça moi?
Naaaaan...? J'ai promis quelque chose? Faut que tu me rappelles ce que signifie le verbe promettre.

Il ricane et ajoute:
-Ent tout cas ça va te changer de ta campagne de grapheurs-sur-paint!

Bijour et bienvenue très chère, j'espère que vous vous plairez !!!


:cheers:

-Hum, Lafigue, je te présente Cassiopée. (Donne un coup de coude à cette dernière) Hé tu m'as pas collé un bisous comme ça à mon arrivée, madame. Et je t'ai pas prévenue parce que c'est une suprise pour moi aussi, je pensais pas qu'il me poursuivrait jusqu'ici.

(se tournant vers son comparse) Pas vrai tête de noeud? T'es quand même passé par là.(Smile ravi)

Il salut Izambard:
-Je le connais pas celui-là. Enfin, je l'ai entendu parler de poulets. (Plus bas pour Lafigue) Je pense qu'il est un peu cinglé.

Il s'avéra cependant que le cinglé eut l'oreille fine


Et oui effectivement je suis un peu givré, mais c'est comme ça que le cacolac est le meilleur.

Si je n'étais pas givré, il aurait peut être fallu que je me passe au congel. Je sui tellement bien quand je suis givré. Lalalalalalala. M'enfin, effectivement noble nouveau membre, si tu me vois poursuivis par des abeilles ou autres insectes nuisibles, n t'inquiète pas, mais laisse moi fuir. Voilà tout est dit.

Et Izambard paya sa tournée de Cacolac. Quel seigneur !

Le vampire éclate de rire.
-Tant mieux l'ami! Ce que je préfère ce sont les gens qu'on laisse au frigo.

Et il s'en retourne vers Lafigue et Cassiopée, qui risqueraient de s'envoyer encore quelques baisers baveux. (et moi et moi!)

Schaft, comme d'habitude, cherchait les GGGs. En particulier Smirtnoff. Pourquoi ? Elle aimait bien l'embetter. Il avait bu de son sang, alors il lui devait bien ca !

Malheureusement, elle avait ete le chercher a une taverne ou elle l'avait laissé, et quand elle y ete retourné, il n'y etait plus !

Passant au detour d'une allée en sortant de ladite taverne, pensant qu'il faudrait qu'elle fasse comme quand elle etait petite : qu'elle range mieux ces jouet, elle entendit le nom de son souffre douleur adoré prononcé par une voix inconnue.
Aussi le sang de la sublime (elle paie le narrateur pour qu'il place un compliment par RP ! Si si je vous jure !Exclu live, pour toi public !) damoiselle Koneko ne fit qu'un tour et elle se precipita vers le lieu d'ou emanait la voix.

-SMIIIIIIIIIIIIIIIIIIRTNYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY !

Un vampire n'a pas vraiment le sang chaud, mais celui dudit Smirtny se glaca quand meme en entendant la douce voix melodieuse de la douce et grandiose Schaft (qui a augmenter la paye du narrateur apparement ....)

La fille chatte s'accrocha au bras du vampire, a la fois parce qu'elle l'aimait beaucoup, mais aussi pour qu'il ne se sauve pas. Il faut dire qu'avec cette technique, plus le fait que Coin-coin orientait de facon presque inocente son bazooka vers le jeune homme, ce dernier ne risquait pas de bouger. Pour plus de precaution, Schaft se colla un peu plus vers lui.

-Tu me presente ton ami ?

Puis, vers ledit "ami"

-A moins qu'il se presente lui meme ! Bonjour jeune homme ! Bienvenue sur Ter Aelis ! Quelqu'un a deja eu l'idée brillante de respecter la coutume des hotes parfait en vous offrant a boire et a manger dans une taverne ou je peux me permettre de vous inviter ?

*regarda l'air anxieux de Smirnoff*

*sourit*


*sourit et tira la langue au pauvre Smirnoff*

Schaft, d'effroit, lacha Smirtnoff qui tomba comme une pierre sur le bitume (ca doit faire mal ca !).

-Moi ? Sa campagne ? Mais ... du tout voyons ! Je ne suis la compagne de personne ! Je suis meme la plus merveilleuse des celibataires de Galvorn. N'est ce pas Smirtny.

Schaft se pencha vers ledit Smirtny qui apparement avait decider que tant qu'il serait a terre, elle ne pouvait rien li faire de pire. Dame Koneko lui jeta un regard si froid que nous meme, membres de la narration Aelisienne, ne nous prononcerons pas sur la question, laissant le vampire chef des mechants se depatouiller (car ainsi est le destin des mechants ! ....)

Mais ce mechant avait de la chance, Schaft avait pour coutume de ne pas effrayer TOUT DE SUITE les jeunes hommes qui debarquait fraichement en Ter Aelis.

-Mais la n'est pas le sjet ! Vous avez surement fait un voyage erintant !

Elle prit LaFigue par le bras et entreprit de le conduire vers la taverne que Smirtnoff avait recement quitter.

-Venez voyons, je vous en pris ! Il y serve des boissons fabuleuses. Pour ne pas decourager les futures vict... euh ... eleves de nos eminants professeurs je suppose !