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| Avençage et reculage. [Grand oral, sujet n°1] | |
| | Auteur | Message |
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Innomable
Nombre de messages : 246 Age : 32 Localisation : Disparu là où il est dur de disparaitre... Date d'inscription : 07/01/2008
| Sujet: Avençage et reculage. [Grand oral, sujet n°1] Dim 23 Mar - 16:58 | |
| Avençage et reculage. La marquise sortit à cinq heures. Ouverture, fermeture, explosion. Les secondes de coeur se passent ailleurs. Là. C'est long. Ca pique, ça tends, ça pue : c'est l'amour. Le creux mouvement du métronome. Pleurs ? C'est long, c'est long. L'on se perd dedans, l'on s'y jette férocement, l'on s'y noie. C'est donc la mort. Là. Maintenant. Toc - Toc. Ou bien est-ce le temps ? Toc - Toc ? Le parmesan haineux fit exprès de gâcher mes nouilles par sa chutatation transversale. Minuit. L'Idée. Plop, le temps est dans l'idée. J'ai donc le temps, l'idée, l'amour et la mort. TIAM. Toc - Toc. Que le fromage fondu est bon, dur, froid, lorsque la fine pellicule de graisse heurte nos doigts dans cette conviction suicidaire que... Rantanplan et la mur : PAF. Vous et ça... Le dépit d'avoir un jour le coeur à la lecture. Mais que peuvent valoir ces cris ? C'est long. Et tout s'accélère quand : " c'est votre regard qui me calcine, ô jeune diaphane, portez donc à mes lèvres les profondes portes du paradis." Que le geai s'envole. Des cris et des larmes ? Tout ce perds : Je me perds. Et tout recommence, le même mouvement de l'attente maudite, immorale et naissante. "Coeurs cherchent à se rejoindre - STOP - Cessent - STOP - Partent - STOP. Et la lumière visquale immacule. Et la mort et le sang, et l'amour et l'amour : Nos vies errent sur les images polies...
Avençage et reculage. La marquise sortit à cinq heures. Ouverture, fermeture, explosion. Les secondes de coeur se passent ailleurs. Là. C'est long. Ca pique, ça tends, ça pue : c'est l'amour. Le creux mouvement du métronome. Pleurs ? C'est long, c'est long. L'on se perd dedans, l'on s'y jette férocement, l'on s'y noie. C'est donc la mort. Là. Maintenant. Toc - Toc. Ou bien est-ce le temps ? Toc - Toc ? Le parmesan haineux fit exprès de gâcher mes nouilles par sa chutatation transversale. Minuit. L'Idée. Plop, le temps est dans l'idée. J'ai donc le temps, l'idée, l'amour et la mort. TIAM. Toc - Toc. Que le fromage fondu est bon, dur, froid, lorsque la fine pellicule de graisse heurte nos doigts dans cette conviction suicidaire que... Rantanplan et la mur : PAF. Vous et ça... Le dépit d'avoir un jour le coeur à la lecture. Mais que peuvent valoir ces cris ? C'est long. Et tout s'accélère quand : " c'est votre regard qui me calcine, ô jeune diaphane, portez donc à mes lèvres les profondes portes du paradis." Que le geai s'envole. Des cris et des larmes ? Tout ce perds : Je me perds. Et tout recommence, le même mouvement de l'attente maudite, immorale et naissante. "Coeurs cherchent à se rejoindre - STOP - Cessent - STOP - Partent - STOP. Et la lumière visquale immacule. Et la mort et le sang, et l'amour et l'amour : Nos vies errent sur les images polies...
Avençage et reculage. La marquise sortit à cinq heures. Ouverture, fermeture, explosion. Les secondes de coeur se passent ailleurs. Là. C'est long. Ca pique, ça tends, ça pue : c'est l'amour. Le creux mouvement du métronome. Pleurs ? C'est long, c'est long. L'on se perd dedans, l'on s'y jette férocement, l'on s'y noie. C'est donc la mort. Là. Maintenant. Toc - Toc. Ou bien est-ce le temps ? Toc - Toc ? Le parmesan haineux fit exprès de gâcher mes nouilles par sa chutatation transversale. Minuit. L'Idée. Plop, le temps est dans l'idée. J'ai donc le temps, l'idée, l'amour et la mort. TIAM. Toc - Toc. Que le fromage fondu est bon, dur, froid, lorsque la fine pellicule de graisse heurte nos doigts dans cette conviction suicidaire que... Rantanplan et la mur : PAF. Vous et ça... Le dépit d'avoir un jour le coeur à la lecture. Mais que peuvent valoir ces cris ? C'est long. Et tout s'accélère quand : " c'est votre regard qui me calcine, ô jeune diaphane, portez donc à mes lèvres les profondes portes du paradis." Que le geai s'envole. Des cris et des larmes ? Tout ce perds : Je me perds. Et tout recommence, le même mouvement de l'attente maudite, immorale et naissante. "Coeurs cherchent à se rejoindre - STOP - Cessent - STOP - Partent - STOP. Et la lumière visquale immacule. Et la mort et le sang, et l'amour et l'amour : Nos vies errent sur les images polies...
Avençage et reculage. La marquise sortit à cinq heures. Ouverture, fermeture, explosion. Les secondes de coeur se passent ailleurs. Là. C'est long. Ca pique, ça tends, ça pue : c'est l'amour. Le creux mouvement du métronome. Pleurs ? C'est long, c'est long. L'on se perd dedans, l'on s'y jette férocement, l'on s'y noie. C'est donc la mort. Là. Maintenant. Toc - Toc. Ou bien est-ce le temps ? Toc - Toc ? Le parmesan haineux fit exprès de gâcher mes nouilles par sa chutatation transversale. Minuit. L'Idée. Plop, le temps est dans l'idée. J'ai donc le temps, l'idée, l'amour et la mort. TIAM. Toc - Toc. Que le fromage fondu est bon, dur, froid, lorsque la fine pellicule de graisse heurte nos doigts dans cette conviction suicidaire que... Rantanplan et la mur : PAF. Vous et ça... Le dépit d'avoir un jour le coeur à la lecture. Mais que peuvent valoir ces cris ? C'est long. Et tout s'accélère quand : " c'est votre regard qui me calcine, ô jeune diaphane, portez donc à mes lèvres les profondes portes du paradis." Que le geai s'envole. Des cris et des larmes ? Tout ce perds : Je me perds. Et tout recommence, le même mouvement de l'attente maudite, immorale et naissante. "Coeurs cherchent à se rejoindre - STOP - Cessent - STOP - Partent - STOP. Et la lumière visquale immacule. Et la mort et le sang, et l'amour et l'amour : Nos vies errent sur les images polies... MORT | |
| | | Garg Kertome
Nombre de messages : 44 Age : 41 Date d'inscription : 19/03/2008
| Sujet: Correction : Innomable Lun 7 Avr - 1:06 | |
| - Citation :
- Avançage et reculage. La marquise sortit à cinq heures. Ouverture, fermeture, explosion. Les secondes de coeur se passent ailleurs. Là. C'est long. Ca pique, ça tend
s, ça pue : c'est l'amour. Le creux mouvement du métronome. Pleurs ? C'est long, c'est long. L'on se perd dedans, l'on s'y jette férocement, l'on s'y noie. C'est donc la mort. Là. Maintenant. Toc - Toc. Ou bien est-ce le temps ? Toc - Toc ? Le parmesan haineux fit exprès de gâcher mes nouilles par sa chutatation transversale. Minuit. L'Idée. Plop, le temps est dans l'idée. J'ai donc le temps, l'idée, l'amour et la mort. TIAM. Toc - Toc. Que le fromage fondu est bon, dur, froid, lorsque la fine pellicule de graisse heurte nos doigts dans cette conviction suicidaire que... Rantanplan et là mur : PAF. Vous et ça... Le dépit d'avoir un jour le coeur à la lecture. Mais que peuvent valoir ces cris ? C'est long. Et tout s'accélère quand : " c'est votre regard qui me calcine, ô jeune diaphane, portez donc à mes lèvres les profondes portes du paradis." Que le geai s'envole. Des cris et des larmes ? Tout se perds : Je me perds. Et tout recommence, le même mouvement de l'attente maudite, immorale et naissante. "Coeurs cherchent à se rejoindre - STOP - Cessent - STOP - Partent - STOP. Et la lumière visquale immacule. Et la mort et le sang, et l'amour et l'amour : Nos vies errent sur les images polies...
Avençage et reculage. La marquise sortit à cinq heures. Ouverture, fermeture, explosion. Les secondes de coeur se passent ailleurs. Là. C'est long. Ca pique, ça tends, ça pue : c'est l'amour. Le creux mouvement du métronome. Pleurs ? C'est long, c'est long. L'on se perd dedans, l'on s'y jette férocement, l'on s'y noie. C'est donc la mort. Là. Maintenant. Toc - Toc. Ou bien est-ce le temps ? Toc - Toc ? Le parmesan haineux fit exprès de gâcher mes nouilles par sa chutatation transversale. Minuit. L'Idée. Plop, le temps est dans l'idée. J'ai donc le temps, l'idée, l'amour et la mort. TIAM. Toc - Toc. Que le fromage fondu est bon, dur, froid, lorsque la fine pellicule de graisse heurte nos doigts dans cette conviction suicidaire que... Rantanplan et la mur : PAF. Vous et ça... Le dépit d'avoir un jour le coeur à la lecture. Mais que peuvent valoir ces cris ? C'est long. Et tout s'accélère quand : " c'est votre regard qui me calcine, ô jeune diaphane, portez donc à mes lèvres les profondes portes du paradis." Que le geai s'envole. Des cris et des larmes ? Tout ce perds : Je me perds. Et tout recommence, le même mouvement de l'attente maudite, immorale et naissante. "Coeurs cherchent à se rejoindre - STOP - Cessent - STOP - Partent - STOP. Et la lumière visquale immacule. Et la mort et le sang, et l'amour et l'amour : Nos vies errent sur les images polies...
Avençage et reculage. La marquise sortit à cinq heures. Ouverture, fermeture, explosion. Les secondes de coeur se passent ailleurs. Là. C'est long. Ca pique, ça tends, ça pue : c'est l'amour. Le creux mouvement du métronome. Pleurs ? C'est long, c'est long. L'on se perd dedans, l'on s'y jette férocement, l'on s'y noie. C'est donc la mort. Là. Maintenant. Toc - Toc. Ou bien est-ce le temps ? Toc - Toc ? Le parmesan haineux fit exprès de gâcher mes nouilles par sa chutatation transversale. Minuit. L'Idée. Plop, le temps est dans l'idée. J'ai donc le temps, l'idée, l'amour et la mort. TIAM. Toc - Toc. Que le fromage fondu est bon, dur, froid, lorsque la fine pellicule de graisse heurte nos doigts dans cette conviction suicidaire que... Rantanplan et la mur : PAF. Vous et ça... Le dépit d'avoir un jour le coeur à la lecture. Mais que peuvent valoir ces cris ? C'est long. Et tout s'accélère quand : " c'est votre regard qui me calcine, ô jeune diaphane, portez donc à mes lèvres les profondes portes du paradis." Que le geai s'envole. Des cris et des larmes ? Tout ce perds : Je me perds. Et tout recommence, le même mouvement de l'attente maudite, immorale et naissante. "Coeurs cherchent à se rejoindre - STOP - Cessent - STOP - Partent - STOP. Et la lumière visquale immacule. Et la mort et le sang, et l'amour et l'amour : Nos vies errent sur les images polies...
Avençage et reculage. La marquise sortit à cinq heures. Ouverture, fermeture, explosion. Les secondes de coeur se passent ailleurs. Là. C'est long. Ca pique, ça tends, ça pue : c'est l'amour. Le creux mouvement du métronome. Pleurs ? C'est long, c'est long. L'on se perd dedans, l'on s'y jette férocement, l'on s'y noie. C'est donc la mort. Là. Maintenant. Toc - Toc. Ou bien est-ce le temps ? Toc - Toc ? Le parmesan haineux fit exprès de gâcher mes nouilles par sa chutatation transversale. Minuit. L'Idée. Plop, le temps est dans l'idée. J'ai donc le temps, l'idée, l'amour et la mort. TIAM. Toc - Toc. Que le fromage fondu est bon, dur, froid, lorsque la fine pellicule de graisse heurte nos doigts dans cette conviction suicidaire que... Rantanplan et la mur : PAF. Vous et ça... Le dépit d'avoir un jour le coeur à la lecture. Mais que peuvent valoir ces cris ? C'est long. Et tout s'accélère quand : " c'est votre regard qui me calcine, ô jeune diaphane, portez donc à mes lèvres les profondes portes du paradis." Que le geai s'envole. Des cris et des larmes ? Tout ce perds : Je me perds. Et tout recommence, le même mouvement de l'attente maudite, immorale et naissante. "Coeurs cherchent à se rejoindre - STOP - Cessent - STOP - Partent - STOP. Et la lumière visquale immacule. Et la mort et le sang, et l'amour et l'amour : Nos vies errent sur les images polies...
MORT Bourdel, je suis vert que tu ailles te perdre avec ce Flocon mal fumeux...
Pour le respect du sujet, tu as basé sur la vacuité, la mort, la répétition et la vanité. Comme quoi tu l'as parfaitement compris sans t'y laisser engoncer. C'est excellent. 5/5.
L'originalité, qu'en dire ? C'est frais, c'est du jamais lu, ou rarement du moins. Hors de tout schéma tant dans la forme que dans le fond, en sachant parler de ce qui nous intéresse tous, à savoir Eros et Thanatos. Un funébuleux 5/5 donc.
Style ? Beaucoup. Tu nous emmènes dans l'invention, dans la redéfinition de l'arbitraire, dans ce à quoi servent les lettres. Rythme ? Gigantesque. Je me suis cru à Nouillorque en 62 en train d'écouter les premiers "I don't know... Where I'm going" dans un loft à seringues. Grammaire, tu l'as convenablement détruite. 5/5.
Le lexique. Celui que tu n'inventes pas, nous le faisant assimiler directement en surtension de rachis, il tombe juste. "Métronome", "STOP", pas mieux. Un seul bémol : tu utilises "mort" dans tes paragraphes, tu n'auras pas dû à mon sens. Il faut ménager ses effets. 4/5.
-2 points pour 20 fautes. 16/20. | |
| | | Innomable
Nombre de messages : 246 Age : 32 Localisation : Disparu là où il est dur de disparaitre... Date d'inscription : 07/01/2008
| Sujet: Re: Avençage et reculage. [Grand oral, sujet n°1] Dim 13 Avr - 1:20 | |
| Puisqu'il nous ait accorder le droit de revenir auprès de nos textes, j'en profite pour la seule question qui me vienne à la vue de ce commentaire. Si l'on calcule, 5+5+5+4 est plus ou moins égal à 19. Si l'on retranche deux, 17 est le nombre que l'on obtient. Alors pourquoi 16 ?
Il me parait improbable que ce soit Garg qui ait changé d'avis en cours de route et qui, atteint d'une flemme subite (d'ailleurs on remarque le peu de temps qu'il a mis entre moi et celui d'avant ^_^), aurait changé d'avis.
Il ne reste à mon avis que les trois jours d'harmonisation qui peuvent être à l'origine du rabaissement de ma note. Mais dans ce cas, dans quelle section ce point, ou ces deux demi-points, aurait-il été retiré ? Qu'en sais-je diable ? Pourquoi ? Nulle réponse ne peut venir des mots orangés écrit plus haut, alors... | |
| | | Goldmund
Nombre de messages : 2123 Age : 36 Localisation : Plus loin qu'ailleurs Date d'inscription : 23/12/2007
| Sujet: Re: Avençage et reculage. [Grand oral, sujet n°1] Dim 13 Avr - 10:53 | |
| Les correcteurs ont considéré qu'il n'était pas drôle de donner la moyenne à tout le monde, aussi, ils ont retranché un à deux points sur chaque copie. Plus fun. | |
| | | Tr0n
Nombre de messages : 3306 Age : 44 Date d'inscription : 13/03/2008
Personnages RP Pseudo: Sucedebout Pseudo : Grocube Pseudo : Tron
| | | | Innomable
Nombre de messages : 246 Age : 32 Localisation : Disparu là où il est dur de disparaitre... Date d'inscription : 07/01/2008
| Sujet: Re: Avençage et reculage. [Grand oral, sujet n°1] Lun 14 Avr - 21:59 | |
| Il est gentil le petit TrOn, il va dire pourquoi il a baissé la nonotte. Plus sérieusement, la note je m'en contre mouche, ce qui m'interresse est de connaitre l'avis des gens. Le point essentiel c'est quoi ?
Je te facilite la tache en te proposant ce que je pense :
1) Garg trouve le travail sur le sens absolument génial, pas toi. Mais là dommage, j'ai travaillé ce texte, ses références et ce qu'il veut dire.
2) Tu aurais mis moins 3 pour les fautes (et quand on les voit [quatre fois qui plus est !] on se pends)
3) Tu n'aimes pas les mots inventés.
J'ai bon j'ai bon j'ai bon ? | |
| | | Tr0n
Nombre de messages : 3306 Age : 44 Date d'inscription : 13/03/2008
Personnages RP Pseudo: Sucedebout Pseudo : Grocube Pseudo : Tron
| | | | Garg Kertome
Nombre de messages : 44 Age : 41 Date d'inscription : 19/03/2008
| Sujet: Re: Avençage et reculage. [Grand oral, sujet n°1] Mar 15 Avr - 12:06 | |
| D'abord une petite précision : les notes ont été harmonisées collégialement, c'est-à-dire à dix mains. Et Tr0n a fait son chieur de pure forme, je commence à pratiquer le bestiau.
Il est vrai aussi que j'apprécie la déstructuration comme tu la pratiques, mais, attention, pas comme une fin en soi. De tous les élèves, tu es celui qui es le plus engagé sur le chemin de son propre style, (chemin qui passe à mon sens mais pas à l'avis général par le déstructuralisme) et c'est ce que, je pense, l'aréopage des mentors a voulu manifester avec cette note.
Et la note du barème original a seulement été laissée là parce que c'est notre bon Flocon Malté qui a changé les pages d'endroit, et que mon corps entier récupérait d'arrosages abondants. | |
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| Sujet: Re: Avençage et reculage. [Grand oral, sujet n°1] | |
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| | | | Avençage et reculage. [Grand oral, sujet n°1] | |
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