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 Darkfire, devoir 4 [Neobasileus]

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Drystan
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Drystan


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MessageSujet: Darkfire, devoir 4 [Neobasileus]   Darkfire, devoir 4 [Neobasileus] Icon_minitimeSam 29 Mar - 5:57


Citation :
Sujet 4 : Fond totalement libre. Il devra y avoir deux personnages, et uniquement deux. Ils doivent communiquer directement entre eux, par quelque moyen que ce soit. Cette communication doit être un élément important du texte.

Vala donc le devoir. Juste une question. Tu pourra colorer ta correction sil te plait Tire la Langue ?






Ils étaient deux. Seulement deux. Deux survivants du crash d'un boeing 747 à destination des îles du sud de l'Amérique en partance de Sydney... Portés par un bout de tôle, ils s'étaient retrouvés sur ce bloc de pierre, perdu au milieu de l'océan, un affleurement du fond marin au milieu de nul part.
Nous ne nous attarderons pas sur la description de ce rocher pour la bonne et simple raison qu'il y a rien, si ce n'est que de la roche...Ils se regardèrent. Ils ne savaient absolument pas quoi faire... Mais que peu t'on faire perdu au milieu d'une étendue d'eau, sur un morceau de terre ? Tout ce que l'on a pu lire dans les histoires de Jules Verne, dans les guides de nautismes, dans les contes pour enfants, ne sert a rien en ce lieu ,car il faudra toujours couper un palmier pour se faire un bateau, car selon quelques lois physiques, la roche a une forte tendance à couler...
Or en ce lieu il n'y avait rien, tellement rien qu'on le redit... C'est alors que retentit un son ressemblant a un cor de brume étouffé par le brouillard. Ils se regardèrent a nouveau, avec un air de "On est sauvés", quand soudain, le son se répéta. Le premier des rescapés observa son compagnon de mésaventure avec un air interrogateur quand il entendit ce même son jaillir de son estomac... Le doute n'était pas possible. Leurs ventres criaient le faim car depuis quelques heures ils n'avaient que l'occasion de manger une incroyable quantité d'eau de mer...

-C'est vrai que c'est assez problématique cher ami. Nos estomacs ne sont en effet pas habitués à consommer de l'eau salée et ils nous faudrait quelque chose de plus consistant si nous voulons rassasier nos estomacs...
-Si tu le dis. Je peux te poser une question ? Comment tu fais pour rester aussi calme dans une situation ou nos chances de crever sont presque de cent pour cent ! On va tous mourir !
-Tous est un bien grand mot. Nous ne somme que deux je te le rappelle, dit le premier des naufragés, regardant autour de lui, cherchant un compagnon inexistant.
-A partir de deux on est plusieurs et ce n'est pas le moment de me reprocher mes verbes vu qu'on va tous crever ! On a pas d'eau normale, pas de bateau qui arrive à notre secours ,pas un appareil de communication ! On est foutus !


Le Naufragé sur-stressé, non contant d'exprimer sa peur par ses mots, se mit a gesticuler dans une danse très aléatoire, qui finit par provoquer sa chute dans la flotte...Car effectuer la danse du stress sans tomber sur un rocher de quatre mètres de large avec un compagnon dessus tient presque du miracle.
Dans un élan de générosité et quelques idées cachées, mais cela la suite nous le dira, le survivant resté sur le caillou rattrapé l'autre crétin et le hissa à terre...

-Désolé... J'ai paniqué et j'ai glissé... Excuse moi... Je voulais pas.
-Voyons... Voyons ne t'inquiète pas ce pas grave. Ça arrive à tout le monde de paniquer non ? Ne t'inquiète donc pas comme ça...
-Merci de me soutenir. Mais des problèmes plus graves se posent a présent. Qu'est ce qu'on Mange ?


L'hésitation dans le regard de leur partenaire fit immédiatement comprendre aux deux bonshommes que l'autre voulait le manger tout cru... Immédiatement chacun dégaina son arme qui traînait sur lui. Le premier, Médecin un scalpel, quand au second, venant du beau pays alpin, un couteau Suisse... Les lames se croisèrent et après quelques passes se bloquèrent, chacun des deux preux combattants tenant le poignet de son valeureux adversaire...

-Tu as essayé de me tuer ! Qu'est ce qui te prends ?
-Je pourrais te retourner la question mais je sais déjà la réponse... Tu avais faim je me trompe ?
-A tu essayé de me tuer dans un but plus noble ? Ou toi aussi c'était seulement dans le but de remplir ta grosse bedaine !
-Ma grosse bedaine ? Je ne te permets pas ! Un peu enrobé certes...


Cet égarement faillit être fatal au médecin. La lame aiguisé du couteau Suisse passa a quelques centimètres seulement de sa gorge. Il esquiva le coup mais ne plus reculer fasse au coup-de-pied qui percuta sa bedaine, soit dit en passant bien rebondi. Il fut expédié dans l'océan et ne fut sauvé que par un geste charitable de son partenaire...

-Pourquoi a tu fais ça ? dit en un souffle le médecin, à moitié mort.
-Pour t'égorger voyons... Non pour te prouver que je valais plus que toi... Pour te montrer que je ne te sauve pas par intérêt mais par la générosité qui est la mienne et que je ne te tuerai pas, bien que mon estomac me pousse à faire le contraire...
-N'importe quoi... Un Suisse ne peut pas être meilleur qu'un médecin...
-Comment ? Je suis pourtant meilleur que toi ! Il y a d'ailleurs des Suisses médecins...
-Les Suisses médecins sont des nuls...
-Je ne te permet pas ! Tu devrais d'ailleurs te la fermer si tu ne veux pas que je te coupe en deux !


Sur cette note assez violente s'instaura un silence assez tendu entre les deux aventuriers presque solitaires, chacun se débrouillant pour observer l'exact opposé de l'autre... Le Suisse se demandait pourquoi il ne taillerait pas en deux ce médecin impertinent et le médecin priait pour que le Suisse ne le tue pas... C'est à ce moment que l'un d'entre, regardant avec un peu plus de concentration l'horizon, plutôt que de lorgner avec des yeux affamés son voisin aperçut une masse sombre à l'horizon, qui s'avérait être un des grandes cités du sud de l'Amérique... En effet le Boeing s'était craché a moins de cinquante kilomètres de la ville et les secours circulaient, mais les deux hurluberlus, trop occupés s'enguirlander, n'avait rien vu de tout cela...
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Neobasileus

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MessageSujet: Re: Darkfire, devoir 4 [Neobasileus]   Darkfire, devoir 4 [Neobasileus] Icon_minitimeLun 31 Mar - 18:12

Citation :
Juste une question. Tu pourra colorer ta correction sil te plait Darkfire, devoir 4 [Neobasileus] Icon_razz ?

Je peux le faire. Je peux colorer ma correction. Le ferai-je ? Colors or no colors, that is the question. "May be" is the answer.

Citation :
Ils étaient deux.
Seulement deux. Deux survivants du crash d'un boeing 747 à destination
des îles du sud de l'A
mérique en partance de Sydney... Portés par un
bout de tôle, ils s'étaient retrouvés sur ce bloc de pierre, perdu au
milieu de l'océan, un affleurement du fond marin au milieu de nulle part.

Ils étaient deux. Certes. Seulement deux. Fort bien ! Deux survivants du crash d'un boeing 747 à destination des îles du sud de l'Amérique en partance de Sydney. Pfiou. To have poumons or to not have poumons, that is the question, and the answer is maybe to have branchies. Isn't it ?
Reprenons, donc. Un mauvais plaisantin avide de citations quotesques reprendrait ce bout seulement de la phrase : "l'Amérique en partance de Sydney". Diantre, la tectonique des plaques, ce n'est donc pas une plaisanterie ! Proposons un protocole de Sydney avant que le continent perdu ne percute cette admirable ville ! Plus sérieusement, cherchons d'où vient le problème ; le problème, c'est le crash. En effet, on ne parle jamais que des avions qui n'arrivent pas. La preuve ! Cela dit, c'est ici de l'avion lui même que nous parlons : il est "à destination des îles du sud de l'Amérique", ce qui n'est déjà pas si mal, mais il est également "en partance de Sydney", ce qui est une information de plus non négligeable. A moins que..? A moins que le fait qu'il vienne de Sydney, l'histoire s'en foute. Mais le lecteur, ou le conteur, peuvent apprécier les détails , ne sont-ils pas les fondements de l'écriture ?
Tentons donc de concilier ces deux informations qui entrent en contact comme deux continents égarés ; ne peut-on pas dire autant "en partance pour" que "en partance de" ? Dès lors, on obtient ce qui suit : "Deux survivants du crash d'un boeing 747 en partance de Sydney pour les îles du sud de l'Amérique..." Résultat plus que probant, on rejette en plus le principal (la destination) à la fin de cette phrase. Une destination importante, car elle se révèle cruciale à la fin du texte. Mettons-la donc en valeur, cette information, et animons ce texte qui n'a rien de docte (son ton est plutôt humoristique) en privilégiant une phrase classique à l'actif à une phrase nominale et donc plus posée. Ici, ce ne sera pas facile ; contentons-nous donc, pour conserver le schéma de la phrase, de glisser un verbe pour dynamiser (et non dynamiter) tout cela :
"Deux survivants du crash d'un boeing 747 qui s'était envolé de Sydney vers les îles du Sud de l'Amérique." Cependant, cette denrière modification n'est pas majeure. Plus important, permettons-donc à notre aimable lecteur de souffler un peu cette phrase, et profitons-en pour mettre toujours en valeur cette information sur laquelle nous ergotons !
"Deux survivants du crash d'un boeing 747 qui, de Sydney, s'était envolé vers les îles du sud de l'Amérique." Isn't it better ?


"
Portés par un bout de tôle, ils s'étaient retrouvés sur ce bloc de pierre, perdu au
milieu de l'océan, un affleurement du fond marin au milieu de nulle
part."
Hormis le fait, notable que l'adjectif "nul" s'accorde avec le nom qu'il qualifie, "part", et donc s'écrit "nulle" (c'est en effet la part dont on parle qui est nulle, et donc ne se trouve nulle part), peu de choses à redire ici. Une répétition maladroite "au milieu de", un remaniement de l'une des deux propositions s'impose donc certainement. POurquoi pas : "Portés par un bout de tôle, ils s'étaient retrouvés sur ce bloc de pierre perdu dans l'océan, un affleurement du fond marin au milieu de nulle part". Esprit observateur, le feu sombre de ton intelligence aura remarqué la disparition d'une virgule qui séparait bizarrement à mon modeste goût le rocher de sa perte.


Peut-être es-tu déjà effrayé, et ce serait à juste titre, par le fait que deux phrases sont ici commentées par plusieurs paraghraphes ; on le serait à moins et ce ne sera pas une règle. En effet, je fais selon l'humeur et l'envie. Je prend pour sujets particuliers des phrases du début de tes textes ou bien qu'il me semble important d'étudier. D'où d'improbables et indigestes blocs de grommellements antiques. Miam. Sur la suite, je dirai, ou plutôt j'écris tout de suite, que tu écris mieux à mon goût que dans tes précédents textes. Cependant, tu uses et abuses ici des conjonctions de coordination, surtout du car. Ceci va te valoir un prochain sujet particulièrement salé, puisque l'on parle d'eau de mer (ou d'océan). De même, tu adores la facilité des points de suspension (hum, tu ne vas pas avoir droit à grand'chose dans ton prochain devoir... ^^). Cela dit, tu gardes quand même une certaine fluidité. Le dialogue est agréable, léger bien que parfois un peu bancal. Attardons-nous donc maintenant sur certaines phrases qui ont perdu l'équilibre et sont tombées dans l'océan (et non dans la marmite de potion magique).


Citation :
"Nous ne nous attarderons pas sur la description de ce rocher pour la bonne et simple
raison qu'il y a rien, si ce n'est que de la roche..."

Aouch. "qu'il n'y avait rien" est bien plus juste ; tu narres au passé et la négation n'est pas en option. De même, "si ce n'était de la roche" (et le "que" est faux "il n'y a rien si ce n'est de la roche" signifie "il n'y a rien si ce n'est pas de la roche", juste une tournure classique en fait).

Citation :
Leurs ventres criaient de faim car depuis quelques heures ils n'avaient que l'occasion de manger une incroyable quantité d'eau de mer...
Cela manque un peu de ponctuation dans la phrase, les points de suspension sont superflus. Heureux. De plus, il paraît assez improbable de manger de l'eau de mer. Mettons "avaler".


Citation :
-C'est vrai que c'est assez problématique cher ami. Nos estomacs ne sont en effet pas habitués à consommer de l'eau salée et ils nous faudrait quelque chose de plus consistant si nous voulons rassasier nos estomacs...

Notre ami suscité a un ton posé, calme, docte. Excellent effet bien que classique mais qui mérite qu'on le réalise bien. Le personnage doit parler posément, donc ménageons lui des pauses, des respirations dans son discours. C'est précisément à cela que servent les virgules (que la langue française est bien faite !). Accentuons tant que l'on y est l'aspect soutenu de son registre (cela, c'est du bonus) :

"-Il est vrai que cela est assez problématique, cher ami. Nos estomacs ne sont en effet guère habitués à consommer de l'eau salée ; il nous faudrait quelque chose de plus consistant, si nous voulons emplir nos panses."



Sur ce, cher ami, je n'ai plus de temps aujourd'hui pour continuer cette correction. Je vais t'envoyer sous peu ton prochain sujet et espère que cette guirlande pathétique de couleurs t'auras dégoûté à tout jamais. Heureux
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MessageSujet: Re: Darkfire, devoir 4 [Neobasileus]   Darkfire, devoir 4 [Neobasileus] Icon_minitimeMar 1 Avr - 14:19

-Si tu le dis. Je peux te poser une question ? Comment tu fais pour rester aussi calme dans une situation où nos chances de crever sont presque de cent pour cent ! On va tous mourir !

La phrase "Je peux te poser une question ?" me paraît bien superflue ; en effet, il paraît improbable qu'un personnage stressé à ce point preine la peine et le temps d'introduire une telle question. Il me semble plus plausible qu'il enchaîne directement sans se soucier de l'aspect anarchique de son propos, puisque cette anarchie verbale est précisément symptomatique de la panique. Clin d\'Oeil

-Tous est un bien grand mot. Nous ne sommes que deux, je te le rappelle, dit le premier des naufragés, regardant autour de lui, cherchant un compagnon inexistant.

La première virgule (que j'ai rajoutée, en rouge) permet de rendre l'expression du personnage plus posée en la faisant plus littéraire (il prend le temps de bien séparer les différentes parties de ses phrases, ce que ne ferait aps l'autre). La seconde virgule (en cyan) sépare plutôt abusivement les actions de "regarder" et de "chercher", qui vont pour de pair (c'est en regardant que l'on cherche). la remplacer par un simple "en" ne me paraît aps idiot ; la longueur relativement réduite de la proposition le permet.

Le Naufragé sur-stressé, non content d'exprimer sa peur par ses mots, se mit à gesticuler dans une danse très aléatoire, qui finit par provoquer sa chute dans la flotte...Car effectuer la danse du stress sans tomber sur un rocher de quatre mètres de large avec un compagnon dessus tient presque du miracle.

Le "car" me paraît relativement superflu. Le "dans une dans très aléatoire me plaît peu", j'eusse eut-être préféré quelque chose de plus court, accentuant ainsi l'enchaînement des gestes : "[...] se mit à gesticuler de manière très aléatoire, ce qui finit par le faire tomber à la flotte", par exemple. Le terme "flotte", de plus, tranche étrangement avec le reste du texte, ce qui peut être une bonne ou une mauvaise chose (selon le lecteur ? peut-être).


L'hésitation dans le regard de leur partenaire fit immédiatement comprendre aux deux bonshommes que l'autre voulait le manger tout cru... Immédiatement chacun dégaina son arme qui traînait sur lui.

La répétition est ici évidente et ne présente à mon humble avis aucun intérêt. De plus, la tournure grammaticale de la première phrase me paraît plutôt fausse. Mettons plutôt "L'hésitation dans le regard de son partenaire fit immédiatement comprendre à chacun des deux bonshommes que l'autre voulait le manger tout cru. Aussitôt, chacun dégaina l'arme qui traînait sur lui."
Les points de suspension sont assez étrange dans une action saccadée, faite de réactions. Le possessif "son" paraît inutile et plutôt lourd puisqu'on dit où se trouve l'arme.


Enfin, dans la dernière partie, tu multiplie les erreurs d'étourderie. Je te laisse le soin de les trouver, elles sont flagrantes : fautes d'accord, oublis de mots.

En somme, ça vaut plus que ton premier texte ^^ L'idée est là, les détails sont encore... flous. ^^ Ah oui, on écrit "coup de pied". Heureux


P.S. : et j'emmerde le connard qui a conçu l'éditeur bidouillé. Ca marche pas. Impossible de foutre cette putain de couleur sans galérer vingt minutes à lui faire accepter une con de balise.

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MessageSujet: Re: Darkfire, devoir 4 [Neobasileus]   Darkfire, devoir 4 [Neobasileus] Icon_minitime

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