[Suivi] Haldim

On récapitule ce qu'on avait dit pour commencer.

Deux axes de travail :

J'espère que cette collaboration sera fructueuse !

Alors, pour le premier :

Citation :: Je marchais sur ce sentier. Depuis des jours, des années, des décennies. Mes jambes avançaient seules, sans que je ne puisse les contrôler. Elles me menaient au loin. Un lointain que je ne pouvais imaginer. Mon esprit devait suivre, sans avoir le choix. Il parcourait la route, regardant autour, observant les moindres détails. Quand il était interloqué par quelque chose il ne pouvait la contempler, mes jambes erraient continuellement, sans s'arrêter une seule seconde. Mon regard se stoppa au loin. Mes jambes frêles se mirent à trembler. A remuer aussi fort que le cri que je pu pousser. Mes poumons avaient fini de se vider. Mes genoux tombèrent au sol
Ma tête était droite, regardant l'horizon, je sentais mon cœur valser et puis, plus rien: Le néant. Je voyais cette ombre là haut où le chemin s'arrêtait. Elle s'était retournée, une dernière fois. Et j'ai senti. J'ai senti cette larme salée qui coula sur ma joue, ruisselant sur les graviers déjà rouge, m'entrainant avec.

Après réflexion : je vais essayer de retravailler le second texte tout seul : comme ça, ça m'apportera et moins de travail pour toi $Clin d\'Oeil$

Voilà comme demandé ! Heureux

J'espère aussi que ce sera fructueux !

Voici pour commencer les problèmes de forme que j'ai relevés, dans la syntaxe et la conjugaison (concordance des temps).

Haldim a écrit:: Je marchais sur ce sentier. Depuis des jours, des années, des décennies. Mes jambes avançaient seules, sans que je ne puisse les contrôler. Elles me menaient au loin. Un lointain que je ne pouvais imaginer. Mon esprit devait suivre, sans avoir le choix. Il parcourait la route, regardant autour, observant les moindres détails. Quand il était interloqué par quelque chose il ne pouvait la contempler, mes jambes erraient continuellement, sans s'arrêter une seule seconde. Mon regard se stoppa au loin. Mes jambes frêles se mirent à trembler. A remuer aussi fort que le cri que je pu pousser. Mes poumons avaient fini de se vider. Mes genoux tombèrent au sol il manque un point ici !
Ma tête était droite, regardant l'horizon, je sentais mon cœur valser et puis, plus rien: Le néant il manque un espace avant les deux points et on ne met pas de majuscule après. Je voyais cette ombre là haut où le chemin s'arrêtait. Elle s'était retournée, une dernière fois. Et j'ai senti. J'ai senti cette larme salée qui coula sur ma joue, ruisselant sur les graviers déjà rougeS, m'entrainant avec.

Pour le fond ensuite : je ne ferai pas de commentaire pour l'instant. Saches juste que ton texte est bien parti, mais qu'il n'est pas encore abouti. J'aimerais, pour réussir à amener ce texte à quelque chose de beau et de grand (rien que ça !), que tu répondes le plus précisément à ces questions :

Oui, je sais, mes questions sont chiantes. Mais fais de ton mieux pour y répondre. Et si tu ne sais pas... réfléchis encore... et éventuellement écris "je ne sais pas"... après avoir bien réfléchi une troisième fois $Clin d\'Oeil$ .

Et un exercice de plus pour quand tu trouveras le temps :

Va donc commenter un texte des bibliothèques, en te posant grosso modo les mêmes questions, mais du point de vue du lecteur !

Citation :: Je marchais sur ce sentier. Depuis des jours, des années, des décennies. Mes jambes avançaient seules, sans que je ne puisse les contrôler. Elles me menaient au loin. Un horizon que je ne pouvais imaginer. Mon esprit devait suivre, sans avoir le choix. Il parcourait la route, regardant autour, observant les moindres détails. Mes jambes ne laissaient pas un seul instant de contemplation à mon esprit, elles erraient continuellement, sans s'arrêter une seule seconde. Mon regard se stoppa au loin. Mes jambes frêles se mirent à trembler. A remuer aussi fort que le cri que je pus pousser. Mes poumons avaient finis de se vider. Mes genoux tombèrent au sol.
Ma tête était droite, regardant l'horizon, je sentais mon cœur valser et puis, plus rien : le néant. Je voyais cette ombre là haut où le chemin s'arrêtait. Elle se retourna, une dernière fois. Et j'ai senti. J'ai senti cette larme salée qui coulait sur ma joue, ruisselant sur les graviers déjà rouges, m'entrainant avec.

Voilà. Seulement pour le "au loin. Un horizon"... Ca me fait bizarre !

Passons donc aux questions :

* De quoi parle ton texte ?
-D'un abandon. D'une personne qui se sent abandonnée. Une personne qui compte sur une autre. une autre qui ne reviendra pas, malgré le malheur de la première personne.

* Quelles sont les différentes parties de ton texte, les différents moments ?
Mon texte n'est pas vraiment structuré, voire pas du tout. j'ai écrit de but en blanc. Après, si on cherche bien, peut être qu'inconsciemment elles se sont dessinées. Par exemple: la première partie, la personne qui essaye de rattraper l'autre, en vain. Puis la partie d'après, la fatigue. Et enfin, l'ombre qui disparait, sans rien dire, sans rien faire.

* Quelle est l'utilité de chacune de ces parties ?
L'utilité ? Hum... Certainement de faire quelque chose de construit, qui se suit sans trop se répéter. Un peu comme les contes pour enfant: la situation initiale, l'élément perturbateur... Etc. Les parties se suivent.

* Que veux-tu faire ressentir au lecteur ?
De la tristesse, de la compassion.

* Que veux-tu faire penser au lecteur ?
je ne veux pas forcément le faire penser, mais le faire réfléchir vis à vis d'une situation.
"Une personne vous cours après, elle est prête à mourir pour rattraper l'autre, et vous ne la regardez à peine ?"
C'est un peu cette idée là, que je voudrais faire passer.

* Pourquoi as-tu écrit ce texte ?
(Un peu personnelle, comme question ^^ ) J'ai écrit pour me relancer dans l'écriture. Pour poser mes idées avec des mots. Pour évacuer mes sentiments, mon ressenti.

Voilà ! J'ai essayé de répondre du mieux que je pouvais et le plus sincèrement, à ces questions.

Quant au texte des biblio', dès que j'ai le temps. (mais je pense l'avoir, finalement ! )

Bon. Je passe rapidement, je n'ai pas trop le temps de faire un commentaire détaillé de tes réponses. Je vais donc me concentrer sur l'essentiel :

On ne comprend pas qu'il y a une deuxième personne en jeu !! Jamais tu ne parles d'elle ! Pour ma part, j'ai interprété ton texte comme la vie de quelqu'un, jusqu'à sa mort.

Pour la suite, donc, voilà ce que je te demande :

Diable, mais fais en sorte que l'on aperçoive au moins un peu ce deuxième personnage !

Heureux Mauve

Citation :: Je marchais sur ce sentier. Depuis des jours, des années, des décennies. Mes jambes avançaient seules, sans que je ne puisse les contrôler. Elles me menaient au loin. Un horizon que je ne pouvais imaginer. Mon esprit devait suivre, sans avoir le choix. Il parcourait la route, regardant autour, observant les moindres détails. Mes jambes ne lui laissaient pas un seul instant de contemplation, elles erraient continuellement, sans s'arrêter une seule seconde. Mon regard se stoppa au loin. Mes jambes frêles se mirent à trembler. A remuer aussi fort que le cri que je pus pousser. Oui, elle était au-delà du chemin, comme si elle attendait quelque chose. Mes poumons finirent de se vider. Mes genoux tombèrent au sol.
Ma tête était droite, la regardant, je sentais mon cœur valser et puis, plus rien : le néant. Je voyais cette ombre. Celle qui ne se retourna qu'à peine pour me regarder, juste une dernière fois. Celle qui m'avait soutenu des années auparavant et qui soudain ne donna plus de nouvelles. Oui, c'était bien elle. J'utilisai ma dernière bouffée d'air pour essayer de parler, de dire quelques mots : "Ne m'abandonne pas".
Puis j'ai senti. J'ai senti cette larme salée qui coulait sur ma joue, ruisselant sur les graviers déjà rouges, m’entraînant avec.

Hop là !

"Elle" est plus présente. Mais si j'en parle de trop, j'ai peur de gâcher le côté "mystérieux" de cette personne.

J'ai aussi changé un petit passage que je trouvais... Mal dit. : )

Cordelia n'étant plus là pour le moment, est-ce qu'un autre mentor, qui passerait par hasard par ici, pourrait me donner son avis sur mon texte ? Heureux

Je me permets de répondre (au risque de me faire taper sur les doigts, mais j'aime ça alors...).

Je vois que le travail des premiers jets a été bénéfique, toutefois il reste à mon sens quelques points à revoir. En effet, tu commences trois de tes phrases par "Mes jambes", ça fait une répétition un peu trop lourde. De plus, ces deux mots ne sont pas particulièrement "élégant" pour se permettre d'en faire une (de répétition).

"Elle" est certes plus présente, mais pas assez je pense. Je me suis demandé ce qu'elle venait faire là. Peut être faire une allusion au début du texte ou lui donner plus d'importance encore, quitte à poursuivre sur quelques lignes.

Hum... Je vais voir pour cette répétition.

Et à part te demander ce qu'elle venait faire là, tu ne t'es pas posé d'autres questions ? Heureux

Si, une question qui me vient : pourquoi marche-t-il sur la route ?

Tu veux poursuivre le travail sur ce texte ou passer à quelque chose ? Si tu as envie de faire quelque chose précisément dis le moi.

Dans ce cas, il faut que je le retravaille sérieusement...

Je préférerai passer à autre chose si cela ne te dérange pas.

A vrai dire, j'ai envie de trouver mon style d'écriture que je recherche depuis des lustres...
Je voudrais m'attaquer aux textes dénonciateurs de fait de société. Des textes qui attaquent, lynchent (pourquoi pas) quelque chose. Quelque chose d'un peu violent, si tu vois ce que je veux dire.

Je vois en effet, comme du genre du dernier texte que tu as posté. On peut se mettre dessus éventuellement.

J'en avais parlé avec Erli' il y a déjà quelques temps (avant de le poster), et après relecture, encore et encore, ce n'est pas tellement l'effet que je voulais donner. Enfin, ce texte là est plus quelque chose d'un peu "loufoque", j'voulais faire un contraste entre l'ado qui se fait presque lyncher (j'aurais du être plus violent je pense) par un sanglier, et le fait de prendre la défense du sanglier, alors que l'ado, s'est limite si on s'en fout.

Mais oui, pourquoi pas.

Ben c'est à toi de voir, si tu penses que ce texte doit ou peut être rétravaillé. Si oui, postes le, si non proposes un autre.

Je ne sais pas si nous nous sommes très bien compris. le texte qu'Erli' a vu, c'était le début de mon texte en biblio' $Clin d\'Oeil$
Cela dit, je vais le rebosser de mon côté.

Malheureusement, je n'ai pas d'autres textes sous le coude... Mais aurais-tu, un sujet, vague ou non, sur quelque chose de ce style ? (Provocateur, dénonciateur etc...)

Allant de paire avec l'actualité, ce sujet peut être opportun : constatant (par la télévision ou la radio ou internet ou le journal) que DSK a été inculpé par la justice étatsunienne, tu t'indignes devant ce qui te semble presque être une vindicte médiatique, et populaire a en devenir.

Comme on se l'ai dit (surtout comme je te l'ai dit ^^ ) mettons de côté notre devoir :
Voilà le début du texte dont je t'ai parlé.

Citation :: On a tous voulu un jour ou un autre, ressembler à quelqu'un. Des personnes voulaient être des héros comme Superman, d'autres de très bons musiciens tels que Jimmy Hendrix et tant d'autres, ou encore à de grands hommes : Gandhi, Martin Luther King.
Moi, c'est une toute autre personne qui m'inspire. Un personnage fictif. Mais ne dévoilons pas son nom tout de suite, laissons le peu de suspense que j'instaure.
Ceci sera un texte plutôt autobiographique puisqu'aujourd'hui, je n'écris pas sous le pseudonyme de Haldim ou encore de Avery, non. J'écris de ma propre personne. Je lève le voile sur qui je suis. Je le lève pour les autres et pour moi. Pour admettre qui je suis et peux être réellement. Sûrement avez-vous vu le film « Into the Wild » ou « American History X » (et bien d'autres) avec pour fin une morale plus ou moins utile mais qui vous fait grandement réfléchir. Je ne sais pas s'il y en aura une à la fin de ce texte mais tout de même une certaine réflexion :
« Doit-on savoir et dévoiler qui nous sommes vraiment ? »
Finis de blablater tant de choses. Met-on nous à nu.

Pour ceux qui ne le savent pas, mon prénom est Samuel, cela dit, je préfère Sam. Voilà dix-sept ans que je suis ici, parmi vous.
Je ne suis le jeune simplet sympathique et souriant que vous croyez que je sois. Comme tout le monde, je peu avoir des sautes d'humeur, être colérique, avoir un chagrin...Mais, ce qui me « plait » inconsciemment est...

Est-ce que le début est bien amené ? pas trop "abrupte" ?
Fluide ?

Citation :: On a tous voulu un jour ou un autre, ressembler à quelqu'un. Des personnes voulaient être des héros comme Superman, d'autres de très bons musiciens tels que Jimmy Hendrix et tant d'autres, ou encore à de grands hommes : Gandhi, Martin Luther King.
Moi, c'est une toute autre personne qui m'inspire. Un personnage fictif.

Tu noteras ici qu'il y a dès le début trop de répétitions.

Citation :: Mais ne dévoilons pas son nom tout de suite, laissons le peu de suspense que j'instaure.

Le suspense est du droit canonique (définition : "Mesure par laquelle l'autorité ecclésiastique suspend un prêtre de ses fonctions (ou le prive de l'usage de son bénéfice) pendant un temps plus ou moins long), tu veux dire "suspens" plutôt.
Ensuite, je trouve plus utile que tu dises à la fin sans prévenir au préalable qui t'inspires, en reprenant pourquoi pas les premières phrases du texte.

Edit 15 juin 2013 : j'ai raconté de la merde pour le "suspense", Haldim avait bon.

Citation :: Je lève le voile sur qui je suis. Je le lève pour les autres et pour moi. Pour admettre qui je suis et peux être réellement.

Une virgule entre la première et la seconde phrase serait plus opportun. Et comme je l'ai signalé, nouvelle répétition.

Lumière

Enfin, pour terminer quelques points généraux. Mes professeurs que ce soit au lycée ou désormais à la fac, m'ont souvent répété d'éviter et même de proscrire les "on" et "nous" (en sus des "je" mais ici tu es bien obligé de parler à la première personne ^^,) des dissertations et autres travaux s'y approchant. De sorte que présentement, ton texte me pique les yeux. Néanmoins, indépendamment de cet avis, je pense que tu devrais effectivement éviter cela car tu parles de toi et tu le fais de façon solitaire, ce n'est pas nécessaire d'introduire le lecteur à cette narration.

Les points positifs maintenant : je n'ai pas remarqué de fautes et le sujet m'intéresse. Quant à la fluidité, je te dirais cela avec plus de matières.

J'ai bien pris en considération tous tes conseils et critiques, et je le continuerai dès que l'inspiration me reviendra. Heureux

En attendant, un texte court, mais fini. Cela dit, je suis assez sceptique. Donc ton avis m'aiderait sûrement.

Citation :: On vous dit souvent qu'il faut vous faire des ami(e)s, alors vous vous en faites. Vous sortez de votre bulle et allez vers les autres. Tant bien que mal. Vous vous empêchez de faire votre asocial. Parler, rire, sourire. Rire, sourire, parler, devient votre quotidien pendant des mois et un beau jour, quelque chose se passe, vous ne savez pas quoi, mais à cause de cette chose, tout s'écroule.
Parler, sourire, rire. Rire, parler, sourire, devient tristesse.
Ca s'en va comme c'est venu. Encore plus rapidement.

« Et tu t'en vas sans te rattraper à la main que je t'ai tendu. Tu pars. Tu pars sans te retourner. »

Comme je te l'ai déjà signalé, cela est beaucoup trop court pour vraiment y travailler, à moins que tu le poursuives. Toutefois, si je peux faire quelques remarques concernant ce texte ce serait que c'est trop vague, trop "banal". Il n'y a pas suffisamment d'éléments de fond amenant ces lignes à se démarquer. La forme, elle, c'est à dire la syntaxe et l'orthographe sont correctes, et je sens des progrès.

Tiens, presque un an sans rien.

Citation :: Cela fait toujours peur, de commencer à écrire une page blanche, une page vide. On se pose des questions. Je m’en pose. Cette peur apparaît généralement quand un début d’idée murit en tête. On ne sait pas comment commencer. Une page blanche, c’est comme le début de tout. Le début de soi, le début d’une vie, le début de sa vie. Ca donne l’impression de partir de zéro. De rien et de tout à la fois. Une musique retentit, et vos doigts glissent. Glissent sur le clavier pour former des mots qui se suivent. Ca peut ainsi représenter l’enfant qui grandit. L’enfant qui se met debout pour la première fois, qui grandit. Qui se met à prononcer des mots. Et plus la page se remplit, plus la page se noircit, plus l’enfant devient adolescent voire adulte. Mais, le plus dur, c’est de voir une page s’achever. Avoir vu cet enfant grandir, murir, devenir adulte, devenir vieux ! Mais sa vie s’achève… Aussi dur que le point final d’un texte.
Le souvenir restera, pourtant. Le souvenir de cet enfant, le souvenir de ce texte. Parce qu’il est encré dans la page. Dans cette page. Chaque lecteur pourra lire sa vie, lire ce qu’il a été. Cet enfant demeura grâce à chaque lecteur. Chacun d’entre eux.

Je te préviens, c'est court. Très court. Trop court. Mais c'est le premier truc que je sors depuis trop longtemps. Je dois dire que je sais même pas où j'ai voulu en venir. Je voulais un contraste entre deux choses. une comparaison presque identique... Enfin voilà.

Il va falloir que tu abandonnes cette mauvaise habitude que tu as pris d'user à tour de bras les "on". :b
Soit tu parles de toi, soit d'un personnage que tu inventes. Le "on" est beaucoup trop impersonnel, c'est comme si tu ne te mouillais pas et prenait de la distance avec ce que tu dis.

Ton texte, par ailleurs, manque d'aération et quelques passages à revoir subsistent :

Citation :: Cela fait toujours peur, de commencer à écrire une page blanche, une page vide. On se pose des questions. Je m’en pose. Cette peur apparaît généralement quand un début d’idée murit en tête. On ne sait pas comment commencer. Une page blanche, c’est comme le début de tout. Le début de soi, le début d’une vie, le début de sa vie. Ca donne l’impression de partir de zéro. De rien et de tout à la fois. Une musique retentit, et vos doigts glissent. Glissent sur le clavier pour former des mots qui se suivent. Ca peut ainsi représenter l’enfant qui grandit. L’enfant qui se met debout pour la première fois, qui grandit. Qui se met à prononcer des mots. Et plus la page se remplit, plus la page se noircit, plus l’enfant devient adolescent voire adulte. Mais, le plus dur, c’est de voir une page s’achever. Avoir vu cet enfant grandir, murir, devenir adulte, devenir vieux ! Mais sa vie s’achève… Aussi dur que le point final d’un texte.
Le souvenir restera, pourtant. Le souvenir de cet enfant, le souvenir de ce texte. Parce qu’il est encré dans la page. Dans cette page. Chaque lecteur pourra lire sa vie, lire ce qu’il a été. Cet enfant demeura grâce à chaque lecteur. Chacun d’entre eux.

En tout cas, le texte se laisse lire et est intéressant. Mais tu restes dans ce que tu connais sans chercher à innover.

Que dis-tu d'un exercice pour une fois, histoire te sortir des sentiers battus ?

J'ai hésité au niveau du sujet. Mais je ovulais globaliser la chose au début et la refermer de plus en plus... Pour les répétitions, oui, mon défaut. (Mais je vais mieux me mouiller ! Que j'assume qui je suis ! Ah ah ! )

Vas-y, balance un exo !

(Et sinon, on peut en discuter sur skype, mais j'ai essayé un début de texte sous forme de dialogue, un personnage qu'on connait et l'autre non. On pense que c'est quelqu'un, mais pas du tout. enfin, c'est assez dur à faire puisqu'il faut faire gaffe à tous les termes comme "tes" "ton" qui doivent disparaitre... )

Le nouveau sujet donc :

Dans un premier temps, description d'un individu (homme ou femme au choix) qui étudie/fait des recherches dans une médiathèque. Puis description de ce que ledit individu a vu et voit du lieu (couleurs, ambiance, bruit...).

Au cours du feuilletage d'un livre, il tombe sur un poème calligraphié (en vers libre ou non au choix également) qu'il lit et donc que tu devras écrire. Le thème est : "moi".

Enfin, tu n'as pas le droit d'utiliser dans la partie descriptive de pronoms personnels, exceptés le "il", "elle", "ils" et "elles".

Ce sujet peut-il être archivé, ou avez-vous d'autres éléments à y apporter ?

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