[Commentaires] Triptyque d'une vie publique décomplexée

L'introduction de chaussette et de son saucisson au renard. Juste succulent. J'y reviendrais plus tard, mais qu'est ce que le degré de lisibilité est bon. Quand on associe l'ensemble au personnage, ca donne envie d'une mise en scène...
Autant politisé que le premier acte, mais au travers des yeux d'enfants, ca me donne envie de lire l'ensemble pour une critique complète et décadente.

Une très bonne entrée en matière. On retrouve tout ce qui a fait le succès du premier opus, avec cependant une vision plus fra?che ("féminine" ? "naïve" ?).

Le duo d'héroïnes tient déjà la route dès ses premiers pas et promet d'être à la hauteur de ce que le spectateur attend d'elles.

Woolfie a écrit:: Sympa, vivement la suite!

Sinon, juste une tite faute : "Chaussette
Oui, et ce n'est ni la première ni la dernière fois."

De nouveau merci d'avoir lu et pour la correction.

Chikoun a écrit:: Je te l'avais commenté par skype, mais je réitère mes compliments. J'aime.

Merci (:

Airet Syl a écrit:: L'introduction de chaussette et de son saucisson au renard. Juste succulent. J'y reviendrais plus tard, mais qu'est ce que le degré de lisibilité est bon. Quand on associe l'ensemble au personnage, ca donne envie d'une mise en scène...
Autant politisé que le premier acte, mais au travers des yeux d'enfants, ca me donne envie de lire l'ensemble pour une critique complète et décadente.

Merci pour la commentaire, j'ai hâte d'avoir ladite critique (:

dvb a écrit:: Une très bonne entrée en matière. On retrouve tout ce qui a fait le succès du premier opus, avec cependant une vision plus fra?che ("féminine" ? "naïve" ?).

Le duo d'héroïnes tient déjà la route dès ses premiers pas et promet d'être à la hauteur de ce que le spectateur attend d'elles.

Cimer pour le comm' grosse.

J'ai corrigé une dizaine de fautes dans La pièce du Palais. Il est probable qu'il en demeure (notamment en ce qui concerne les participes passés et les COD, et le classique duel : futur simple/conditionnel). Aussi, je serai ravi d'être averti de leur existence si quelqu'un relit la pièce

Merci. (:

Le premier acte de la pièce de l'Institut est terminé (:

cool ta vie

Je suis pas fan de la scène du free style. Je sais que c'est un élément intéressant et qui correspond assez à ton univers, mais je trouve que le fond du texte en lui-même aurait pu être mieux tourné vers l'intrigue (mise en abîme tout ça).

J'aime beaucoup le personnage de la vieille sourde : c'est un effet comique éculé mais très efficace. En plus elle se mêle terriblement bien aux autres personnages dans les scènes où elle intervient (en particulier avec la rappeuse).

Envin, la toute dernière scène présenté avec les deux nouvelles filles sur le toit, est assez frais, et permet de casser le rythme par un petit intermède sympathique.

Ca manque de vaches poilues par contre !

dvb a écrit:: Je suis pas fan de la scène du free style. Je sais que c'est un élément intéressant et qui correspond assez à ton univers, mais je trouve que le fond du texte en lui-même aurait pu être mieux tourné vers l'intrigue (mise en abîme tout ça).

C'est une mauvaise rappeuse, elle ne peut pas faire quelque chose d'aussi subtil. Et puis l'intrigue sera suffisamment développé comme cela par la suite. Pour le moment, je prévois que l'Acte II fasse dix scènes au total.

En fait, le rap de Khenta aura plus de lien avec ce qui se passe dans les scènes. Elle interviendra un peu comme le faisait la délégation sélenienne dans le premier tableau, quoi qu'ici, plus poétiquement (ou du moins de manière rimée).

Par ailleurs, j'ai mis la scène 9 dans la scène 8, je me suis aperçu que ce n'était pas la peine de les dissocier. De ce fait, l'Acte II fera neuf scènes et non pas dix.

C'est sous-estimer la poésie qu'il y a dans le phrasé de Yoda, Mike.
Je viens de finir de lire les Triptyques.
Un commentaire d'ensemble : C'est frais, c'est vivant, c'est entraînant, c'est plaisant à lire. Les personnages sont bien construits, ne se ressemblent pas, l'intrigue est complexe, les références constantes : J'ai particulièrement aimé celles de Star Wars - tellement prévisible mais tellement belle ! - et celle de Gladiator. Dans le premier, il y a des scènes véritablement mythiques, tout comme dans le second, d'ailleurs. Certains moments sont totalement et définitivement décalés - que ce soit le règlement de compte au Pierre-Feuille-Ciseau (Je ne me rappelle jamais comment on l'écrit en abrégé), les répliques du Garde Républicain ou la première apparition de Nathan.
Dans l'Institut que, étrangement, j'ai préféré au Palais, l'histoire est tout aussi plaisante à suivre. Le contraste entre les personnages est saisissant - j'affectionne particulièrement la scène ou Chaussette raconte sa plus grande honte qui est, à vrai dire, à 0 sur l'échelle de la HONTE. J'ai aussi pris un malin plaisir - j'ai beaucoup de mal avec le Rap - à lire le Rap de Khenta et à savourer sa non beauté intérieure. Ah, faire rimer Misanthrope et Salope... Toute une oeuvre.
Bien des parties des Triptyques sont, ainsi, excellentes.
Un bémol, toutefois. Dans la première partie, j'ai croisé quelque fois des énumérations interminables de mots - seul le Secrétaire du Palais me revient en tête pour l'instant, mais le souvenir d'autres - ayant pour seule vocation celle d'être énumérés. Si, sur le papier, cela ne ralentit pas trop le texte, je crois que l'effet sera beaucoup plus marquant à haute voix et pourrait lasser un auditoire.
Et un second... Elle est où la suite ? Hé ? Parce que là, j'étais dans le fil de l'action, là ! Et c'est pas normal que je sois bloqué en plein milieu de ce fil et que je reste comme ça a attendre ! Je dirais même que c'est inadmissible ! Non-mais-ho ^^.
Voilà, voilà.
En te félicitant à nouveau pour ton oeuvre et en attendant impatiemment la suite.
Drys'

Drystan a écrit:: Un bémol, toutefois. Dans la première partie, j'ai croisé quelque fois des énumérations interminables de mots - seul le Secrétaire du Palais me revient en tête pour l'instant, mais le souvenir d'autres - ayant pour seule vocation celle d'être énumérés. Si, sur le papier, cela ne ralentit pas trop le texte, je crois que l'effet sera beaucoup plus marquant à haute voix et pourrait lasser un auditoire.

En effet, je conçois que cela puisse déranger. Je trouvais que l'irritabilité serait une émotion intéressante à faire ressentir, au même titre que le rire ou la tristesse (si jamais quelqu'un arrive un jour à ressentir ne fut-ce qu'une once de tristesse devant le Triptyque).

Toutefois, ceci est la version écrite de la pièce, et si l'occasion se présente dans l'avenir qu'elle soit représentée je produirais alors une nouvelle version en conséquence en revisitant certains dialogues. Donc il est envisageable qu'une bonne moitié de ces répliques d'énumérations disparaissent, je ne sais pas trop encore.

Citation :: Et un second... Elle est où la suite ? Hé ? Parce que là, j'étais dans le fil de l'action, là ! Et c'est pas normal que je sois bloqué en plein milieu de ce fil et que je reste comme ça a attendre ! Je dirais même que c'est inadmissible ! Non-mais-ho ^^.
Voilà, voilà.
En te félicitant à nouveau pour ton oeuvre et en attendant impatiemment la suite.
Drys'

Voilà qui est réparé (:

Lumière

Je te remercie énormément pour ce commentaire et le temps donné (d'ailleurs combien de temps cela t'as pris à tout lire à peu près ?), en espérant que la suite te plaise de la même façon (:

Après une heure et demi intensive de lecture, en comptant les pauses cafés et clopes, je dois avouer que j'ai était surpris. Agréablement surpris. Des semaines que j'ai ton oeuvre dans mes favoris, attendant d'être dévoré par mes yeux gourmands. Dès le début, tu nous plonges dans un univers très drôle, avec des répliques que je trouve excellentes, presque géniales !
Le point fort de ton texte, c'est qu'il ce lit d'un coup, on a envie de pousser la lecture jusqu'au bout. En fumant ma cigarette je me disait "allez vite, que va t-il ce passer ?". Oui, j'était impatient de lire la suite, ce qui arrive rarement chez moi. Et j'ai hâte de savoir ce qu'il va ce passer.

Un point négatif : certaines répliques sont vraiment lourdes. Même si l'effet est volontaire, il est vraiment pesant à certains moment.

Un grand bravo à toi Mike pour cette pièce vraiment délicieuse !

Désolé pour le retard.
2-3 heures, approximativement, je pense. Peut-être plus.
Je ne vois pas vraiment le temps passer quand je lis.
Concernant la suite, pour le fond, pas de problèmes, j'adhère toujours. Par contre, j'ai pris l'habitude de voir Chaussette n'utiliser qu'un phrasé élégant et dépourvu de jurons - j'ai peut-être oublié les autres - et du coup, la voir utiliser "Conneries" m'a choqué. Si, si. Était-ce voulu ? - Quelque chose comme marquer son état de choc ou autre ?
J'attends de voir le dénouement de cette situation avant de donner un jugement plus définitif.
Drys'

L.I.S a écrit:: Après une heure et demi intensive de lecture, en comptant les pauses cafés et clopes, je dois avouer que j'ai était surpris. Agréablement surpris. Des semaines que j'ai ton oeuvre dans mes favoris, attendant d'être dévoré par mes yeux gourmands. Dès le début, tu nous plonges dans un univers très drôle, avec des répliques que je trouve excellentes, presque géniales !
Le point fort de ton texte, c'est qu'il ce lit d'un coup, on a envie de pousser la lecture jusqu'au bout. En fumant ma cigarette je me disait "allez vite, que va t-il ce passer ?". Oui, j'était impatient de lire la suite, ce qui arrive rarement chez moi. Et j'ai hâte de savoir ce qu'il va ce passer.

Un point négatif : certaines répliques sont vraiment lourdes. Même si l'effet est volontaire, il est vraiment pesant à certains moment.

Un grand bravo à toi Mike pour cette pièce vraiment délicieuse !

Merci pour cet enthousiasme, la lecture avide et le commentaire (:
Je note ce point négatif et j'en tiendrai compte lors de la prochaine relecture correctrice. Il est possible que je réécrive légèrement certains dialogues (je l'ai déjà fait par le passé). De toute façon, même quand j'aurai fini le troisième tableau rien ne sera fixé définitivement, il me restera encore des semaines de travail (une post-production en quelque sorte).

Par ailleurs et c'est légèrement hors sujet, j'ai eu l'idée de faire des brèves théâtrales en annexe : des personnages du premier tableau qui réagissent à des événements du deuxième (et inversement) dans le même cadre temporel (je ne sais pas si c'est clair) ; ce qui allongera le Triptyque et la durée de l'écriture.

Drystan a écrit:: Désolé pour le retard.
2-3 heures, approximativement, je pense. Peut-être plus.
Je ne vois pas vraiment le temps passer quand je lis.
Concernant la suite, pour le fond, pas de problèmes, j'adhère toujours. Par contre, j'ai pris l'habitude de voir Chaussette n'utiliser qu'un phrasé élégant et dépourvu de jurons - j'ai peut-être oublié les autres - et du coup, la voir utiliser "Conneries" m'a choqué. Si, si. Était-ce voulu ? - Quelque chose comme marquer son état de choc ou autre ?
J'attends de voir le dénouement de cette situation avant de donner un jugement plus définitif.
Drys'

Merci pour la réponse à la question (:

Sinon, comme tu l'indiques c'est effectivement pour marquer l'état d'esprit dans lequel elle est à ce moment. Ainsi que pour tenter de montrer que le niveau de la langue qu'on utilise n'est jamais qu'une couverture dans laquelle on s'emmitoufle et que face à quelque chose d’inattendu on récupère bien vite un langage familier - notamment à l'oral.

En outre, cette différence de niveau de langue subite est censée être contrastée par le retour d'une humeur plus légère et de réconciliation presque absurde venant des deux protagonistes.

Juste un petit post rapide pour dire que je lis, et que j'adore, ça me fait énormément rire ! Merci Mike Coeur

(je prendrais pi être le temps de faire un commentaire plus long quand j'aurai fini de lire et que j'aurai le temps de relire Succès total

)

Heureux que cela te plaise (: et merci de me lire et d'avoir laissé un mot ici Gardien

Hop. J'ai déplacé « La pièce de l'Institut » dans la section de travail car elle n'est pas terminée. Comme l'indique le tag dans le titre du topic : pour commenter c'est ici.
J'arrive sur la fin, il me reste deux scènes à écrire – normalement.

Des fautes demeurent, j'en ai repéré quelques unes. Je m'occuperai de cela lorsque la rédaction sera achevée.

Nombre de messages : 667 Age : 31 Date d'inscription : 30/04/2013

Bon, bon, bon. Je viens juste de finir La Pièce de l'Institut. Après faudrait que je lise La Pièce du Palais mais c'est une autre affaire.

Comme ce que j'ai pu lire de toi auparavant on retrouve ce mélange de sérieux avec un vocabulaire de prof de lettres et cet espèce de langage de rue décalé. Ce texte n'est pas rafraîchissant et je pense qu'il n'a pas la vocation de l'être, au contraire : on est empêtré jusqu'aux cheveux dans des situations sans queue ni tête et tout cela pèse sur nous... Un peu comme si on mangeait trop de pommes cuites. Oui, exactement comme ça. Et c'est plutôt bon.

L'histoire de ce putsch absurde d'une bonne brochette de winneuses (au demeurant très attachantes) donne des scènes vraiment comiques. Je retiens particulièrement le passage où les complots commencent à porter leurs fruits et que naît cette relation mère-fille entre Chaussette et Liquette totalement à côté de la plaque.

C'est aussi drôle puisque finalement, aucun groupe n'est plus intègre que l'autre dans sa démarche. Les complots de fille, c'est tellement sale.

Vincentine me fait penser à une conductrice de camions. Chaussette me fait penser à Daenerys Targaryen dans un monde de barges. La Cheffe à Kathy Bates au sommet de sa forme.
Khenta et Adalsinde sont aussi parmi mes favorites.

Il serait appréciable d'avoir une liste des personnages au début Bleu

Mickey a écrit:: Acte I, Scène 5

Chaussette
Oh. Elle est taquin(e) aujourd'hui.

Pirouetta
Oui, penser aux éléphants et aux moustiques m'a soulagé(e ?).

Acte I, scène 6 :

Vincentine
Comme par hasard. C'est commode.

Marie-Victoire
Je ne vois pas comment un empereur romain décédé depuis un peu moins de deux mille ans aurait pu subtiliser un panneau. MON panneau qui plus est. Et même s'il était revenu en l'état de zombie, ça fait une sacrée trotte de l'Italie à ici. Ensuite, passé le postulat selon lequel son corps est en une condition suffisante pour supporter la route, ce dont je doute, il aurait commis une effraction avant d'embarquer un panneau jaune de trente centimètres de haut ? Mon œil. (je ne suis pas sûre que la relation soit évidente pour tout le monde. Je me souvenais vaguement d'un cours d'histoire ou de latin et j'ai pu chercher, mais ça ne me parait pas évident.)

[...]

Cependant, la Cheffe et sa clique veulent la virer, ce que seul un vide juridique les en empêche. (pas claire comme phrase)

Acte I, scène 9

Vincentine (à Chaussette)
C'est la minute historique ? Comment que c'est trop chiant quoi. On se croirait revenue(s) à l'école ou dans les toilettes en ta compagnie.

Acte II, Scène 1

(même salle qu'à l'Acte I, Scène 2 ; Chaussette, Vincentine et Claude sont présentes)
Est-ce que c'est fait exprès de ne pas le redire simplement ? J'ai dû retourner à la scène 2 pour savoir.

Chaussette
Je me répète : j'ai besoin de vous. Jamais je n'y parviendrai seule. Avec vous je sens que je peux le faire, si je suis l'unique personne à affronter la Cheffe et sa clique aucun changement ne sera accomplit. (accompli, non ?)

Chaussette
[...] Nous n'avons rien à perdre car nous n'avons rien. Pas de pouvoirs, pas de postes prestigieux, pas de titres éblouissant(s) : [...] Elle est le bon dieu de l'Institut et elle tient aux angélus et aux supplication(s)

Acte II, scène 2

Cindy
Tu es faite du bois des commandeurs. Cependant, tu dois laisser la Cheffe de dégrossir (il doit y avoir une erreur là), te révéler. Alors tu pourras être la nouvelle cheffe, pas avant. De la patience, Chaussette, il te faut de la patience, et un mentor. Je t'imagines (imagine) dans quelques années et tu seras épous...

Adalsinde
Quel magnifique prénom que voilà. J'en ai connu une de mon temps. Une sacrée roublarde, alala.

(elle se perd dans ses souvenirs quelque(s) instants)

Cindy
Je vois... J'en ferai par (part) aux autorités compétentes.

Acte II, scène 4

Vincentine
C'est nul. C'est ça ta situation la plus honteuse ? C'trop pourris (pourri). J'en fais trois par jour moi.

Acte II, scène 6

Khentetenka
J'm'en fous, y'en a qui apprécie (apprécient ?) !

Chaussette
Et toi, Pirouetta, quels seraient tes souhaites (souhaits) ?

Acte II, Scène 7

Liquette
Tu renies ton passé. Tu m'as chier (chié) dessus, Chaussette ! Tu es une belle connasse ! Sans morale, sans pitié.

Acte II, scène 8

Cindy
Je t'avais prévenue, Chaussette. Mais tu as préféré ne pas m'écouter. Tant pis pour toi. Finalement, j'aurai (j'aurais ?) été l'unique personne à me soucier de toi.

Acte III, Scène 2

Liquette
Non, à une soirée déguisée chez Marie Dumont il y a trois ou quatre ans. J'étais en Angela Merkel et elle en Valéry Giscard d'Estaing ; le courant est tout de suite passé. Depuis on traîne ensemble. On va souvent assister à des représentations d'art contemporain. On adore tout ce qui est contemporain, c'est tellement frais, osé et anticonformiste. La dernière fois on était allée (allées) à une expo de jeunes artistes engagés ; de vrais génies ! Ils ont mis un sujet de type sans abri dans un squat et l'ont filmé 24h/24. Il fallait y penser ! C'est tellement novateur comme message ; c'est de l'überréalisme, une critique de la surconsommation et de la politique du logement. Je t'y emmènerai si tu veux.

Acte III, Scène 3

La Cheffe
L'Institut, uni une bonne fois pour toute, va passer à la nouvelle étape de notre (son) plan :

Cindy (se tourne vers la Jeffe et se penche vers elle en souriant)
Vous l'avez fait. Nous allons être rapidement victorieuse(s).

Acte III, Scène 5

Pagode
On est tellement connectées. Si on était née(s) d'années différentes j'aurais pu croire que l'on était sœur(s).

Acte III, Scène 6

La Jeffe
En effet. Marie-Victoire va devoir répondre à certaines questions. Nous allons nous confronter à notre passé, et nous en ressortirons plus forte(s). Agaillardie(s).

Acte III, Scène 8

Vincentine (brandit son ordiphone)
Qu'est-ce qui est si vitale (vital) pour me faire déplacer, traîtresse ?

Mickey a écrit:: Et quatre passages où j'ai vraiment rigolé :

Acte I, Scène 5

Pirouetta
La trompe, pardi ! L'éléphant a une trompe pour boire, attraper des feuillages et balancer du caca. Le moustique a une trompe pour pomper du sang dans le but de se nourrir. Le moustique, c'est un peu l'éléphant des mouches sauf que lui il a de petites oreilles et ne peut pas balancer de caca.

Chaussette (sérieuse)
Maintenant que tu me l'as dit cela paraît tellement évident.

Acte I, scène 8

Chaussette
Car oui, ils fascinent et dérangent tout à la fois. Les dadaïstes les ont utilisés pour se démarquer et faire fi d'une façon de pensée prédéterminée, Tarantino en use comme lieu absurde de la mort du personnage de Vincent Vega dans Pulp Fiction et Erwan McGregor y passe un moment mitigé dans Trainspotting. Cependant, si des réalisateurs imaginatifs s'y attardent, la plupart délaissent cet endroit, pourtant incontournable, lorsque l'on suit les aventures d'un héros. Qui a vu les sanitaires de Bilbo Sacquet dans le Hobbit ? Qui a assisté à l'évacuation naturelle de Blanche Neige et des Sept Nains ? Personne, car il ne sied pas à tous de le constater. Seule une élite à l'esprit ouvert et décontractée peut faire face à ce monstre, au demeurant confortable, que sont ces toilettes en céramique dans notre société occidentale.

Acte III, Scène 4

La Jeffe (se gratte le front)
Tu confonds Will Smith avec Eddy Murphy et Danny Glover. C'est un tantinet insultant et limite intolérable.

Acte III, Scène 6

La Jeffe
C'est très simple en réalité : tout d'abord nous allons dialoguer de l'affaire en prenant la parole à tour de rôle, chaque phrase répondant à la précédente et apportant un élément supplémentaire. Nous allons alors dresser une liste de suspects – qu'on accusera successivement sans effet puisqu'ils auront un alibi. Ensuite, l'investigation sera au point mort, nous pataugerons dans la semoule, jusqu'à ce qu'un personnage secondaire dise quelque chose d'absolument banal qui nous mènera à l'indice ou au mobile clef. Le coupable se présentera sous un nouveau jour, tout sera limpide. Dès lors nous le cuisinerons et il avouera. Ses confessions seront exhaustives, l'incriminant complètement étant donné qu'il n'aura pas eu la présence d'esprit de faire appel à un avocat. Pour plus de suspense et se la jouer, on pourrait aussi commencer de la sorte : scène d'ouverture, les héros seront en danger de mort. Et là, fondu au noir et un flashback indiqué par une phrase inscrite à l'écran : « huit heures plus tôt ».

Bonne chance pour écrire la fin, à bientôt Bleu

Trop de fautes d'inattention, merci de les avoir relevées. Et merci d'avoir lu et pris le temps de commenter (:

Par ailleurs, je note que la moitié de tes passages préférés traitent du caca. Comme quoi, j'ai habilement orienté mes talents de dramaturge dans cette direction. Cela me réconforte dans mes choix et ça me pousse d'autant plus à continuer. Je vais en mettre partout !

Nombre de messages : 667 Age : 31 Date d'inscription : 30/04/2013

C'est ce que tu as retenu, bah bravo !

C'est pas tant le caca qui compte Mike, c'est la manière dont tu en parles... Pwik

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