Questions pour un Champi~gn~on [Plumo demandé]

(petite intervention pénible pour tous et donc indispensable)
Prière de ne pas trop "charger" vos questions et de rester somme toute, simples, sans réclamer vers, créas, textes à concevoir.
Sinon, cela va finir par ressembler aux associations.
Contentez-vous de réponses "simples" aux questions.

Citation :

1) Qu’attends-tu pour répondre dans l’enquête qui est bloquée à cause de ta défaillance littéraire ?

D'avoir une idée qui me passe par la tête et un peu de temps pour l'écrire.

Citation :

2) A quand la restructuration de l’académie de littérature ?

Les chartes d'élèves et de mentors sont sorties.

Il reste les devoirs communs à rajouter à l'Académie.

Aucune date prévue de sortie.

On fait en fonction des disponibilités de tout le monde.

Citation :

3) As-tu remarqué que personne ne propose de nom pour la terrasse que tu as créée ? Pourquoi n’en proposes-tu pas un toi-même ?

Oui j'ai remarqué. Tout simplement parce que je ne veux pas "tout" faire dans cette section. C'est un outil pour les Aélissiens qui a été mis en place et c'est à eux de choisir son nom ou même les améliorations à y apporter.

Citation :

4) Pourquoi es-tu toujours en train de manger ?

Parce que j'ai toujours faim.

Citation :

5) A qui voudrais-tu ressembler ?

A lui.

Citation :

6) Qu’apprécies-tu le plus chez Pennac ?

Sa métaphysique mondaine qui renvoie Emmanuel Schmitt au placard. Sa façon de tourner ses histoires en vaudeville, la façon dont il écrit les relations sexuelles entre Julie et Benjamin, la symbolique qu'il emploie. Mais surtout "le droit au bovarisme" - maladie textuellement transmissible, le droit à lire n'importe quoi, le droit de ne pas finir un livre... A s'accuser tous azimuts, on se met à l'abri de bien des exigences. L'école leur aura au moins appris cela: le confort de la fatalité. Certains Aélissiens feraient bien de comprendre le sens de cette dernière phrase. Oui j'accuse du bout du doigt. On dira juste que j'aime la légèreté d'une plume d'un intellectuel qui n'a pas fait 36 années d'étude avec triple normal sup', cagne et tutti quanti pour devenir un des meilleurs écrivains français.

Citation :

7) Si tu devais conseiller une seule personne sur TA, qui serait-ce et que lui dirais-tu ?

Question difficile.

Je vais faire des malheureux et des malheureuses si je réponds à cette question.

Putain... J'hésite.

Je conseillerais Alendil, tout simplement parce que j'aime provoquer et titiller vos caractères. Je lui dirais que c'est un gentil garçon, propre sur lui, accueillant, à la douce et suave plume. Digne d'être votre plus proche compagnon.

Tu t'attendais vraiment à une réponse ?



Franz.

Citation :

Pourquoi ne veux-tu pas participer à un seul concours ?

Je ne répondrais pas à cette question.

Citation :

9) Pourquoi ne veux-tu pas être présent dans l’alba-strophe ?

Je considère que mes textes sur Ter Aelis n'ont pas la qualité suffisante pour y apparaître.

L'argumentaire des "Autres" m'indiffère.

Citation :

10) Pourquoi lies-tu si souvent les mathématiques à la littérature ?

Ce qui revient à demander "A quoi sert-il d'écrire ?" ou "Qu'est-ce que l'art ?".

Parce que la langue est un formalisme mathématique tout simplement. Un modèle parmi tant d'autres avec ses règles de production, ses symboles terminaux et ses axiomes. La hiérarchie de Chomsky permettra de vous donner une petite idée de la modélisation des langues. Le principe de mes études était de continuer dans la voix de la génération automatique de textes. En résumé des modélisations complexes permettant par exemple à partir de textes d'un auteur de demander à un logiciel de générer une histoire, un texte selon le style ou selon des techniques détectées. Et ne parlons pas des sons, de la structure des poésies qui pour provoquer certaines émotions utilisent des harmoniques à la manière de la musique. Mais une harmonique c'est quoi ? Une courbe qui est le résultat de la résolution d'une équation à dérivées partielles ?

Si la littérature c'est 50% de créativité.
C'est aussi 50% de techniques.

En somme, déformation professionnelle.

Citation :

11) Pourquoi jettes-tu certains textes postés sur Ter Aelis ?

Je ne suis pas attaché au résultat mais à l'acte.

Citation :

12) Quel est ton texte le meilleur à ton avis ?

Une lettre offerte à la femme que j'ai aimé et qui l'a fait pleurer.

Citation :

13) Quel est ton rêve le plus cher ?

Me retrouver à l'âge de 10 ans.

Citation :

14) Tu invites Franz et Juliette à manger chez toi, qu’as-tu préparé pour le repas ?

Je prévois tout ça.

Thon + Boursin + Crème fraîche avec petit toast. C'est frais, léger et délicieux à l'apéro. Ca plaît en général aux filles.
Salade en entrée avec tomate, concombre, avocat - assaisonnement vinaigre balsamique et huile d'olive.

Demi magret de canard dégraissé
Cuit à part des pommes golden dans un filet de miel
Ajout de salade verte
Accompagnement : Millefeuille à base de pomme de terre / carotte / haricot vert.

Dessert frais : tarte aux fruits rouges et kiwi sur une pâte sablée avec une petite crème anglaise pour enlever l'acidité des fruits rouges / Quelques bouts de pêche et d'orange pour décorer autour.

Voilà. C'est plutôt simple, et sur un Pessac Leognan Château Grandmaison 2003. Je sais faire mieux mais bon, va savoir j'ai un rhume et une crève carabinée alors je dors à moitié là.

Et si elles sont pas contentes c'est au MacDo à 10 minutes de chez moi ça leur apprendra.

Citation :

15) Lis-tu les journaux et regardes-tu beaucoup la télévision ?

Je lis "Le monde" tous les jours. Petit je lisais "L'humanité". Je regarde peu la télévision, par contre je scotche très rapidement si je me met derrière. J'aime beaucoup me faire un film dans la semaine, et regarder le sport de temps à autres. Rien de bien intéressant.

1) Guiness, Beamish ou Murphy ?

2) Qu'est ce que tu penses de la théorie de Robert Faurisson ?

3) En découle une seconde question, qu'est ce que tu penses de Noam Chomsky ?

4) Comment expliques-tu la rupture des relations diplomatiques entre l'Iran et les Etats-Unis alors qu'ils étaient excellents potes sous Jimmy Carter ?

5) La burka. Pour ou Contre ?

6) Blonde ou brune ?

7) Coup d'un soir ou relation durable ?

"Blockbuster" ou "Art et essais" ?

9) Soirée télé avec maman ou Soirée bourrage avec potos ?

10) Londres ou Paris ?

11) Radiohead ou Charles Aznavour ?

12) Résistant ou Collaborateur ?

13) Ton insulte favorite (On ne cite pas Fanfan la tulipe corne cul de la mère molle !).

14) Ramrod ou Dounette (choix de l'un ou l'autre obligatoire avec argumentation sous peine de coupage de couilles).

15) Football ou Rugby ?

16) Fushia rose atomique ou Goldmember ?

17) Pinard ou pétard (incontournable !).

18) Pour reprendre un peu les grandes gueules sur RMC. Enterré ou incinéré ?

19) Devant ou Derrière avec la Madelon ?

20) Cécila ou Carla ?

Amen. Les questions ne sont pas dénuées d'une certaine psychologie éducative. On verra si le débutant s'en sort. Sur ces belles paroles, vu que je suis atteint d'une maladie incurable, je m'en vais me pieuter. Fushia je te retourne comme une crêpe avec tes idées à la noix. En fait je me disais bien que j'avais un truc à finir mais je ne trouvais plus le post. Fichtre.

EDIT : On notera l'ignomie d'avoir fait des raccourcis pourris pour les smilies. Qu'en dis tu mon Kinder ?

I] Mise en bouche

Introduction intime

0) Décris-toi en 3 lignes, puis en 15 mots, puis en 5 mots, puis en 3, puis en un seul.
(Chaque description se devra d'être inédite et exhaustive, évidemment...)


Finalement, je suis quelqu’un d’assez idiot. J’ai une forte tendance à suivre de trop près le précepte de Nietzsche « ne marche pas, danse ! », à prendre la vie comme un jeu, ce qui est banal dans notre époque. Mais même ça je ne suis pas capable de l’appliquer dans le réel, et je reste donc, à stagner peu à peu, si j’ose qualifier ainsi mon non mouvement.

Mécanisme, vilebrequin, bouilloire, décadent, travers, rayonnant, pervers, prune, vomir, topos, genos, indulgent, révolutionnaire, empathisseur, fichtre.

Pourpre, sanguin, machine, libérat…, mouillé.

Trop, rare, chiant.

Amphigourique.


Bats, tambour.

1) Quel est ton rapport à la musique ?
Lesquels cinq morceaux/auteurs te sont-ils biologiquement indispensables ?


Je ne suis qu’un disciple. J’admire l’art, pour ce qu’il exprime tellement mieux, si bien qu’il remet constamment notre légitimité en doute, à tel point que l’on en vient à remercier que si peu sachent, ou du moins se questionnent sur, ce qu’est l’art. Pour la musique, ça a toujours été une recherche du moi. Une recherche éperdue, et bien souvent vaine, pour se comprendre à travers un texte ou un accord. Et une bonne musique est essentiellement une musique qui nous interromps, qui stoppe la créature, pour réveiller un peu l’humain.

Voici les morceaux de musique, selon l’expression :

Je suis venu vous voir, Mano Solo.
Allegretto de la septième de Bite au Vent, dans ses versions les plus lancinantes.
La Rage de Kenny Arkana
In a landscape de John Cage, mais pourquoi pas Bacchanale
Ainsi que L'International, parce que c’est beau.

Toutes ces musiques, mises bout à bout, comme demandé, forment l’étoile rouge qui m’encercle, je suis quelque part entre ses rayons, mais si vous demandez poliment à un voisin, il vous indiquera.


Question pas-piège

2) Quelle qu'elle est, la question que tu ne voudrais pas que l'on te pose (et à laquelle tu n'auras pas plus loin à répondre, comme un rédacteur taquin de Champi~gn~ons aurait pu te le demander) ?

Je pense vraiment que ma vie ne se résoudra jamais, je pense néanmoins que les progrès de ma perdition se feront par mes remarques. Celle dont je n’ai pas envie d’entendre parler, me fut poser indirectement hier : « monstre ? » Donc, maintenant que la source, violente, mais nécessaire, est posée nettement, ce n’est plus la peine d’en rajouter. Il n’est pas question de ne pas y répondre, il est juste notable que le changement consume avant de créer, et qu’à trop se brûler, on se rétracte. Ce n’est pas mon but.

Raide bulle

3) Comment perçois-tu la bande dessinée ?
(pistes de réflexion : valeur artistique, légitimité culturelle, maturité des œuvres, main-mise industrieuse, santé des genres, ...)

Effectivement, je ne peux que la percevoir, je n’ai aucune connaissance en ce domaine. Ma seule lecteur fut celle de Monster, que je recommande au passage à tout le monde. Maintenant, je pense que l’alliage texte-image est une matière formidable. Elle est en effet source d’une attention supérieur, car le détail qui tue peut être n’importe où. Pour quelqu’un qui souhaite faire une œuvre immense, la bande dessinée n’est pas une voie à négligée, ne serait-ce qu’en collaboration si l’on a du mal à dessiner. Le bémol de tout ça, c’est que précisément, si je ne me suis jamais lancé dans la BD, j’ai toujours eu un petit sursaut de recul devant les prix proposés calmement à la quatrième page de couverture…


Quoi ? Reptincel évolue...

4) Pour synthétiser ce que j'en ai compris ailleurs, tu estimes avoir atteint une maturité critique. Où en es-tu de ton évolution en général ? Face à l'écriture, à la philosophie, la politique, les rapports interindividuels,...

Cette question ne m’est pas adressée, et dans mon cas, je pense avoir atteint une certaine maturité, dans un peu tous les domaines. Je dis cela, car je réussi en gros à cerner les choses, et à tisser entre elles des liens. En fait, tant que l’on me guide de loin, je suis capable de me tenir debout, d’assumer une vision propre de ce qu’est la politique (tout !) par exemple. En fait, j’en suis au stade où je découvre moi-même des choses en lien avec ce que d’autres m’ont montré auparavant, ce n’est pas encore l’indépendance totale, je reste un fidèle. Quant aux relations humaines, je continue de progresser, de progresser vers une simplification de ces rapports, qui les rend à mon goût plus beaux et plus forts.

J’ai commencé un travail sur la vidéo, et notamment, sur l’absence en vidéo. Ce qui est à rapprocher de mes textes qui sont sur ce forum. Je m’amuse, car le jeu est double. Je crée pour me cerner, mais je me cerne car je crée. La conclusion, c’est que mûrir définitivement ne pourra passer par autre chose que par une grande phase de travail.. Suis-je prêt à l’affronter ? Non.


Arte

5) Vous vous comptez sur les doigts de main d'un estropié, à vous être découverts (de façon parcellaire, néanmoins) sur ce forum, de façon accessible à tous. Etait-ce pour ta part un élément de justification parlant de ta façon d'être, une envie temporaire, un besoin assumé ? Penses-tu que cela puisse renforcer une légitimité, d'ainsi dévoiler ?


Contamination relou

6) A la manière de la question (1), révèle-nous quels sont les 5 films/réalisateurs ainsi que les 5 livres/œuvres/auteurs dont tu ne pourrais te passer.


Lynch : Inland Empire
Lynch : Lost Hightway
Bernardo Bertolucci : 1900
Kubrick : Full Metal Jacket
Kubrick : Orange Mecanique

J'adore Lynch. C'est quand même l'un des rares cinéastes à faire toujours le même film ! Mais c'est un monde incroyable, qui demande un vrai travail d'approche, mais qui offre sans cesse de nouvelles ouvertures. 1900, c'est pour le principe. J'avais hésité à mettre Salo ou 120 Jours de Sodome de Pasolini à la place, mais je préfère le plus politique des deux. Quant à Kubrick, tout le monde connait, tout le monde comprend, tout le monde sait.

L’Innommable, Beckett
La Lattre au Père, Kafka
La Confusion des sentiments, Zweig
L’Enfer, Belletto
Le Crépuscule des Idoles, Nietzsche

Et rien que pour en mettre six, la correspondance Marx Bakounine dans l’ouvrage Socialisme autoritaire ou libertaire ?

Je ne commente pas mon choix, mais il est sincère, et quiconque a un peu de jugeote, en sait plus sur moi après avoir lu ces six (six !) titres qu'en lisant le reste du champignon.


Au fond

7) Qu'est-il nécessaire que l'on sache de toi et que tu n'as osé nous dire ?


J’ai pleinement conscience de l’énormité de cette révélation, mais si, c’est bien vrai, je suis au courant qu’Innomable prend deux –m- pour être un mot français. Et vous savez quoi ? J'men fou...

A suivre...

huit) Où en es-tu de tes projets littéraires ? Un extrait ?


La terminale a ceci d’avantageux qu’elle offre aux littéraire huit heures par semaine, durant laquelle ils peuvent à loisir lire, composer, discuter, rattraper des heures de sommeils sacrifiées… Donc j’écris pas mal en ce moment, mais cela reste plus dans le domaine théorique. Ce sont des courriers privés, qui d’ailleurs ne sont jamais les initiateurs d’une réponse, ni d’un simple avis, clin d’œil. Donc, je farfouille…
… et trouve ce mail envoyé il y a peu.

Spoiler:

Sinon, je planche sur une pièce de théâtre, qui est pour l’instant presque achevée, dans sa forme la plus schématique. C’est à dire que c’est un texte évident, et que j’aimerai réussir à faire un texte artistique, à dissoudre l’évidence. Vous serez prévenus par des cris hystériques si un jour je réussi ^^


II] Plat de résistance

Exercice gratiné

9) Associe 10 Aeliséens à des spécialités fromagères.


J'ai bien pensé sucrer la question, mais j'étais trop sûr que tu le remarquerais, alors je passe en sifflotant, et la transmettrai à mon suiveur, qui ne manquera pas de réussir mieux que moi cette épreuve délicate.
Je ne peux toutefois m'empêcher de citer le premier qui me vient à l'esprit, il est facile à reconnaitre :

Satan l'habite, avec la fondue pleine de fils, c'est bien sûr... Mido -


Tu nous scannes un truc ?


Sans scanner, c’est pas gagné… Mais si j’en avais un, j’y aurai mis mes (magnifiques) cheveux bouclés (quoique bouclé puisse être un peu trop professionnel comme terme pour qualifier… ça), en vous demandant d’y trouver la trace de mon divin, car je ne l’ai pas encore rencontré. Je suis heureux de ne pas avoir de scanner, ce qui m'évite de rester la tête penchée contre une machine à bruit (trop peur de perdre le dernier de la race des neurones encore présent chez moi)


10) Hein ?

Tout le monde a toujours eu un léger recul à mon approche. Ce n'est pourtant pas que je sois grand ou impressionnant... Laissez-moi vous expliquer. Les rapports humains sont pour moi compliqués à envisager, donc j'ai tendance à calquer l'attitude qu'affectent les autres. Et là c'est compliqué, parce qu'ils se pardonnent bien plus qu'à moi, par le plus grand des mystères sans fin de Pékin.

"Tu t'en vas, la cruche..."

11) Tu serais bien malicieux de nous faire part d'un proverbe de ta composition.


Du sentiment disparaît le senti quand l’olfactif perd ses cheveux.
Explication : si vous comprenez qu'à la fin de l'année il y a ée, vous avez tout compris, et vous vous rendrez compte, que le proverbe n'est pas (non plus) l'art dans lequel j'excellerai plus tard.


III] Et le dessert, c'est moi !

Coq ovin

12) (Ceci est une reprise d'une question que j'ai posée à Garg - rhinocéponge hâbleur - sur le sujet original des Champi~gn~ons.)
Si tu étais un animal hybride fantastique de ton invention, lequel que ce serait ?
Même exercice pour moi. Même exercice pour 5 Aeliséens de ton choix.

Soit, j'y reviendrai, mais je me suis promis de finir avant minuit... Donc bon. I be back plus tard, et pas content !

Est-ce crime ?

13) Qu'as-tu pensé de notre dernier duel, pour le trophée Voltaire ?

C’est amusant, mais je peux répondre personnellement à cette question, ayant moi-même défié (et échoué) le brave garçon. C’était un duel intéressant. S’y opposait le style très maîtrisé et verbeux du radioactif, à celui, plus confus et plus violent, bah de moi. Alors je ne me souviens plus des commentaires qui avaient été fait sur mon texte que sur le tiens, mais en tout cas, je n’avais pas été surpris du résultat de l’opération. Je me souviens d’avoir été agacé par ceux qui m’expliquaient posément qu’en mettant des espaces et des retours à la ligne, le résultat aurait été plus net. Genre je sais pas me servir d’un clavier quoi.

Non sinon, c’était un véritable duel, chacun ayant ses arguments propres, et sans aucune copitation de l’un sur l’autre. J’étais sans doute bien plus impliqué dans mon texte que toi, au niveau du rapprochement entre l’auteur et le contenu, car, ton texte n’offrait aucune prise. Quoique drôle parfois, il ne laissait pas de prise, c’était froid.

Moi aussi sans doute.


Well do ya, do ya, do ya wanna ?

14) Est-on copains ?

J’ai toujours eu un lien particulièrement affectif avec ceux qui se prétendent maître, puis non, quoique, et qui finalement ne le ressortent que lorsque ça les arrangent ^^ Mais en l’occurrence non. J’ai contre moi ma jeunesse et mon idéalisme qui ne peuvent que m’éloigner du monsieur en haut, droit sur sa tour. Cela dit, il ne me semble jamais avoir décelé d’agressivité à mon encontre. En fait, la meilleur façon de le dire, c’est que nous ne nous connaissons pas, que nous ne nous parlons pas, et qu’en plus, ça risque pas de s’arranger. Faut voir le côté positif… j’écris ces champignons toxiques sans courir le moindre risque !

Proposition décente

15) Quand est-ce qu'on se fait une sortie parisienne ?

Tu risques d’être déçu, mais quand tu veux. On ira braquer Beaubourg une frite entre les dents, voler un bateau-mouche et pisser sur la préfecture de paris.
A moins que tu ne préfères te recueillir sur le Mur des Fédérés ?
Quand tu veux !