Les courants d'air (Tome II)

Fatigué. Méchamment fatigué.

J'arrive pas à retrouver le livre en question dans ma bibliothèque, mais il me semble que le titre exact est Dictionnaire des idées reçues, tout simplement. Le catalogues des idées chics étant une oeuvre présentée comme indépendante.

Goldmund a écrit:

J'arrive pas à retrouver le livre en question dans ma bibliothèque, mais il me semble que le titre exact est Dictionnaire des idées reçues, tout simplement. Le catalogues des idées chics étant une oeuvre présentée comme indépendante.

Exact!

(edit): En passant, pour les quelques qui passeraient leur bac de philo cette année, cette oeuvre est méchamment utilisable sur les préjugés et tout ce qui a un rapport avec la vérité. Elle a aussi le mérite d'être très rapide et très amusante à lire, surtout pour du Flaubert.

TrOn a écrit:

Trouver cinq antonymes de boire

....

Est-il seulement possible de résoudre celui-la?

J'avais prévenu déjà deux fois, les amis.
Je suis désolé, le sujet a une règle simple comme bonjour, et depuis quelques temps,
on la bafoue à intervalles réguliers : Ca n'est pas un espace de discussions.
Je verrouille pour 24h.

Les réclamations se feront par MP entre 18h02 et 18h23.

Franz ne va jamais s'en remettre ...

Ré-ouverture avec un produit de Tr0n, par MP :

Citation :

MON DIEU !

Mon poulet, j'ai une nouvelle collègue à 2 bureaux de moi disposant d'une fantastique bouche à magrite et d'une attirance d'ordre sexuel sur ma personne totalement exceptionnelle. Une jeune femme magnifique. Je fonds. J'y vais ?

"Je devins un opéra fabuleux : je vis que tous les êtres ont une fatalité de bonheur : l'action n'est pas la vie, mais une façon de gâcher quelque force, un énervement. La morale est la faiblesse de la cervelle. [...] Je dus voyager, distraire les enchantements assemblés sur mon cerveau. Sur la mer, que j'aimais comme si elle eût dû me laver d'une souillure, je voyais se lever la croix consolatrice. J'avais été damné par l'arc-en-ciel. Le Bonheur était ma fatalité, mon remords, mon ver : ma vie serait toujours trop immense pour être dévouée à la force et à la beauté."

Il y a une phaute.

Citation :

comme si elle eût dû

L'adverbe "si" est toujours suivi de l'indicatif, or "eût dû", c'est du conditionnel passé deuxième forme. Je suppose que l'auteur a voulu mettre du passé antérieur, ce qui est particulièrement moche mais a le mérite d'être morphologiquement correct: "comme si elle eut dû" (sans circonflexe).

Un petit mot d'esprit avant la fermeture, je suis d'humeur profonde et mélancolique - comme chaque fois que je bois plus d'un verre de jus de fruit dans la journée:

Les idées sont des passerelles équivoques, des bouteilles jetées à la mer. On les évoque avec beaucoup de tendresse sans qu’elles ne nous reviennent jamais.

BR1STOL

Une FRAISE ?

Terrible fatigue.....

La Dordogne et ses châteaux forts. Messire Goldmund vous dit à ce soir.

Monsieur a une nouvelle collègue de bureau, les courants d'air s'en ressentent...

On aime comme on a été aimé