Les courants d'air (Tome III)

Cervelle de Singe (extrait)

"Mon père est un autobus impérial
Ma mère est une bouteille d'eau minérale
Mon frère est une pharmacie de nuit
Ma sœur est une symphonie.

Moi je suis une rue à sens unique
Aux maisons construites à l'identique
Habitées par des femmes à moitié nues
Qui ne veulent pas être vues

Mais toi qui es tu pour me décapiter ?
Mais toi qui es tu pour m'écarteler
Avec les chevaux du ciel aux poignets ?"

- Katerine (oui c'est celui qui braille : "j'adoooooore !!")

J'ai un canon qui squatte ma signature.

Ah si !

Je m'en souviens maintenant !

(j'ai un canon en avatar :p )

Nombre de messages : 5651 Date d'inscription : 22/11/2007

Ca y est, Df est revenu.
Vous le voyez, là-bas sur l'horizon ? Si, derrière le nuage de poussière, on le discerne encore au loin.
- Faut qu'on avance un peu, nous, non ?

Tiens, Aspha arrive.
Surtout ne bouge plus, sinon ... et voilà !
Les sujets sont mis à jour, le sol nettoyé, les vitres faites, la vaisselle sèche et je crois qu'il a tombé trois commandes en siflottant, pendant qu'il floodait.
- Je réfléchis encore à savoir ce que je vais faire ...

Je cherche une muse à temps plein, j'aime le pain, le rouge orangé et dormir. Mon principal sujet de discussion est subversif et j'ai une passion pour les jeux de mots, j'aime la pudeur et abhorre les strings.

Si intéressée, me contacter via mail, MP ou portable.
Merci d'avance.

ACB.

La voiture à laver.... La barbe ><

Mon 3 800 eme post. Les 4 000 approchent =°

"Et partout dans la rue, j'veux qu'on parle de moi, que les filles soient nues, qu'elles se jettent sur moi ! Qu'elles m'admirent, qu'elles me tuent, qu'elles s'arrachent ma vertu ! Puis quand j'en aurai assez de rester leur idole, je remonterai sur scène comme dans les années folles, je f'rai pleurer mes yeux, je ferai mes adieux. Et puis l'année d'après, je recommencerai, je me prostituerai pour la postérité. Les nouvelles de l'école diront que je suis pédé, que mes yeux puent l'alcool, que j'fais bien d'arrêter, brûleront mon auréole, saliront mon passé... Alors je serai vieux et je pourrai crever, je me chercherai un Dieu pour tout me pardonner ! Je veux mourir malheureux pour ne rien regretter, j'veux mourir malheureux..."

- ~~Aillas~~ Balavoine. Coeur

Voilà, ça c'ets le périmètre d'évacuation de ce week end... et devinez qui habite en plein dedans ?

Les courants d'air (Tome III) - Page 34 P1061042D1034501G_px_501__w_ouestfrance_

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Citation :: Enfoirés de Nazis !!

60 ans après je dois encore subir les évacuations.

La prochaine fois que je vois un touriste allemand je lui donne une pelle et un saut et je lui dit : "Hey Franz (non pas toi !) va me dégoupiller tes putains d'obus moisis !"

Tain Et la Marine Nationale c'ets vraiment qu'une bande de tâchons ! Tu vas pas me dire qu'en 60 ans ils ont pas eu le temps de faire le ménage...

dvb, victime de guerre

Je n'ai pas été aussi déçu depuis longtemps...
Il y a des endroits qui vous apportent de grandes joies.
Mais aussi, de terribles déceptions.
Amen.
À présent, retournons nous faire critiquer.

Il m'a dit qu'il m'aimait

puis je me suis réveillée

et le gros lapin bleu avait disparu.

Il existe des endroits surprenants,
Je voudrais y rester plus longtemps,
Montrer à mon meilleur ami qu'il a raison de me faire confiance.

Il est quelqu'un sur terre, va mon rouet
Il est quelqu'un sur terre, va mon rouet,
Docile, tourne, va ton train
Et dis tout bas, ton doux refrain :
Il est quelqu'un sur terre vers qui mes rêves vont.

There's someone in my fancy, turn little wheel
There's someone in my fancy, turn little wheel
So sweetly turning spin along
And hum to me that busy song :
There's someone in my fancy to him my dreams doth stray.

Je suis tombée sur une composition libre d'anglais du début de l'année. Comme quoi, tout est possible enfin de compte :

Les courants d'air (Tome III) - Page 34 Spma0296

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Le petit autocollant en forme d'ourson, c'est juste parce que ma prof s'emportait facilement avec les bonnes copies.
La minute vantarde Lapin

"Oh il est pas très grand, 1m90 je crois" Discussion de basket ^^

8 sur un jet de critique.

Je vais prendre cheeeer.... T_T

quand on est deux on se sent moins seul ^^

Comme si ca suffisait pas j'en refait un, mais avec 10 en lancé critique... Je vais mourir X)

Bon la pelouse maintenant.

Citation :: Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s'amuse à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec le zip
De ses Levi's
Je lis le vice
Et je pense à Caroll Lewis.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s'évertue à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses Levi's
Dans son regard absent et son iris
Absinthe dis-je je lis le vice
De baby doll
Et je pense à Lewis
Caroll.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Quand crachent les enceintes
De la sono lançant
Accord de quartes et de quintes
Tandis que Marilou s'esquinte
La santé s'éreinte
A s'envoyer en l'air...

Lorsqu'en un songe absurde
Marilou se résorbe
Que son coma l'absorbe
En pratiques obscures
Sa pupille est absente
Mais son iris absinthe
Sous ses gestes se teinte
D'extases sous-jacentes
A son regard le vice
Donne un côté salace
Un peu du bleu lavasse
De sa paire de Levi's
Et tandis qu'elle exhale
Un soupir au menthol
Ma débile mentale
Perdue en son exil
Physique et cérébral
Joue avec le métal
De son zip et l'atoll
De corail apparaît
Elle s'y coca-colle
Un doigt qui en arrêt
Au bord de la corolle
Est pris près du calice
Du vertige d'Alice
De Lewis Caroll.

Lorsqu'en songes obscurs
Marilou se résorbe
Que son coma l'absorbe
En des rêves absurdes
Sa pupille s'absente
Et son iris absinthe
Subrepticement se teinte
De plaisirs en attente
Perdue dans son exil
Physique et cérébral
Un à un elle exhale
Des soupirs fébriles
Parfumés au menthol
Ma débile mentale
Fais tinter le métal
De son zip et Narcisse
Elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse
De sa paire de Levi's
Arrivée au pubis
De son sexe corail
Ecartant la corolle
Prise au bord du calice
De vertigo Alice
S'enfonce jusqu'à l'os
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Pupille absente iris
Absinthe baby doll
Ecoute ses idoles
Jimi Hendrix Elvis
Presley T-Rex Alice
Cooper Lou Reed les Roll
Ing Stones elle en est folle
Là-dessus cette Narcisse
Se plonge avec délice
Dans la nuit bleu pétrole
De sa paire de Levi's
Elle arrive au pubis
Et très cool au menthol
Elle se self contrôle
Son petit orifice
Enfin poussant le vice
Jusqu'au bord du calice
D'un doigt sex-symbole
S'écartant la corolle
Sur fond de rock-and-roll
S'égare mon Alice
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Gainsbourg.

Avec le temps, un mystère sans espoir de révélation devient une frustration

Sous le joug de la tendresse, il ne cesse d'assembler ses chaînes. Le désir carcéral : s'enfermer dans une cage dominée par sa propre solitude; la cage du vouloir sans pouvoir. Le fer rouge qui pénètre la chair pour unir douloureusement la marque à l'âme. L'accouplement fusionnel de sa vie sur son cœur torturé. Abusons ? Ouvrons les yeux. Il brûle sur ses ailes d'ange, affligeant égoïsme presque surréaliste d'une jalousie étrange. Alors il se torture. C'est navrant, c'est amer. Pourtant tout est être sucré et onctueux. Mielleux sournois quand il aime, quand il adore. Édulcorée et sirupeuse, elle joue de ses lèvres, les mordille comme une vamp, jouant de ses atouts face à lui. Il se soumet tel un esclave car il aime le jeu mais le passé parfois le rattrape : les peurs, la terreur, la douleur d'aimer.

Alors il essaie parfois de fuir.
Alors le flot des sentiments parfois le domine.
Alors il ne sait pas, bêtement,

Ce qu'il doit faire.

Chromatique Nombre de messages : 2373 Age : 32 Date d'inscription : 22/11/2007

Aeris Inalia a écrit:: Mido, je l'aime.

Juliette, je t'aime.

Sans son style sincère, c'est susceptible de souffrir d'une simagrée de suspicion. Insidieusement, Saint Simon su saluer la scission et simuler un semblant de système, signifiant aux cerfs que la suture du suaire scintillerait sous le ciel séculaire.

Hélas, cessant sa symphonie silencieuse, le Seigneur essoufflé s'affaissa, suant sa souffrance de savoir ses subordonnés spolier ses sacrements et souiller sa sainteté par une séparation spontanée.

Si le siège sacré s'esquintait à insuffler la sapience à celui qui s'assoirait dessus, il aspirait à supporter le séant sacristain d'un saint qui ne soit ni suspicieux ni suintant. C'est ainsi que le siège décida de sortir du cercle et se sauver sans laisser à ses supérieurs de signes sur son sillage.

Voici le récit de Synscilla le canin étronnant.

Disappointment... Disappointment... Disappointment.
Les tambours de la colère résonnent, et mon cœur gronde. Cela faisait longtemps.

"You could be my unintended choice to live my life extended."

Pauseland !

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» [Divagation] Les courants d'air
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