[Divagation] Les courants d'air

Commencer l'année avec 60kg d'argile rouge en poche, n'est-ce pas de bon augure ?

Marche, marche et trace. Il n'y a dans l'univers pas de mots pour exprimer ce que l'on pense, parce qu'il n'y a plus de rêves que ce que l'on a perdu. J'aurais aimé chanter et danser, croire que l'on me donnera, mais dans les aspérités que je caresse, je ne ressens qu'une grossière volonté de ne plus être. Quand je chante c'est de désespoir, quand je danse, c'est la pluie que j'attends. Un déluge qui laverait tout, ressourcerait ce monde sans fin, sans but, sans cible. Alors quand on a plus rien que ce que l'on a, c'est vers les autres que l'on se tourne avec dans le regard cette question éternelle et effrayante à laquelle personne ne sait répondre. Je traverse les années en me disant perdu en réclamant une volonté, mais je ne fais jamais rien pour changer les choses, tout va de l'avant et m'échappe sans que je ne puisse mettre le doigt dessus. Un homme désespéré est prêt à tout, ou à rien, pris dans la torpeur d'une fatigue qui l'attaque de part en part. Je ne vois pas dans l'âme humaine comme je vois dans mon verre d'eau, j'aimerais et je voudrais soigner ce qui le peut mais il y a du calcaire sur les parois. Route de sel dans le ciel de nos larmes, force de fiel au regard de nos armes.

J'ai envie de me battre, mais contre quoi et face à qui, quel est l'être qui est l'homme à abattre ? Comment croire que l'on peut gagner lorsqu'on voit ce qui se passe, passe et qui trépasse ?
Je change constamment de sujet et c'est parce que j'en suis le sujet, le valet dévoué que l'on a oublié dans le vestibule entre le parapluie et une vieille paire de santiag. Je veux goûter à ce que j'aurais pu être, si j'avais réussi à me prendre par la main, à ne pas me croire perdu. Mais ce labyrinthe que j'ai construit est tout simplement titanesque, pas d'issue, pas trop déçu non plus.

Le jour se lève. Il faut que tout soit là.
Commencer l'année avec UFO, Paul, Aligby, Xupinette et Goldmund, ça n'a pas de prix.
Bonne année sans résolution.

Non, je cours vers demain.

Je m'aventure dans des chemins tortueux mais plaisants, déterminants et futiles.

Tergiversation finie. Je dois avancer.

On trouve parfois des perles dans les courants d'air, le texte d'Aillas en est une. Là, tout de suite, des mots ne sauraient mieux me parler.
! interdit de répondre en ces lieux, je sais *grosse baffe* !

Contrecoup des fêtes, envie de rien, la tête dans le vide et mal au bide. Temps de retourner faire des maths dans une chambre de 9m2, un pauvre piano en plastique à la main.
En musique, ça donne à peu près ça :

En attendant que tu dégages, mélancolie.

Pour cette nouvelle année, je prends un autre chemin.

De bonnes résolutions en cours.

Décidément, même moi je m'étonne.

Courir, toujours plus vite, la course a pied et la meilleur des armes contre l'ennui, toujours plus vite, grâce à la musique dans mes oreilles, jusqu’à ce que le temps et le monde qui m'entoure disparaisse, échapper à toutes réalité.
pour apaiser ma colère ou juste me détendre, me sentir légère comme une plume et fragile comme un verre en cristal, pour me sentir bien, me sentir belle, en restant moi.

Content

[Divagation] Les courants d'air - Page 37 Chat_noir_05

L'incarnation du dédain sur Ter Aelis, c'est Mido.
On appelle ça : "la faculté de Mido à retranscrire une centaine d'expressions liées au dédain".
Et on aime ça.

Il n'est peu de chose de plus rageante qu'un esprit intellligent soit managé par un esprit décérébré.

Ah ben zut, c'est dans la vie de tous les jours ça.

Voilà, c'est difficile, mais je t'aime.

mardi noir... le vrai !

[Divagation] Les courants d'air - Page 37 Panierdecrabes

Impossible de dormir. Maudite angoisse! Maudite imagination! Qu'il revienne que cessent ces cauchemars! Qu'il revienne que je cesse de me bruler les entrailles! Qu'on me rende mon bébé!

Headache, argh.

[Divagation] Les courants d'air - Page 37 Suicide

Y a pas tellement d'activité.

Oubliez le chien, attention au maître.

Isotopie, Trochée, Spondée, Ïambe, réification, Focalisation, Tétramètre, diégèse, Anapeste, homodiégétique, pentamètre, Ode, Sonnet, Balade, Pastoral, etc.

La Poésie, reine mère : vive la Poésie !
Vingt minutes de commentaire poétique à l'oral dés 8h30.
C'est de la joie artificielle.

"Un enterrement est un temps pour pleurer la perte d'un être cher, mais aussi le temps de cimenter la vie de ceux qui se soucient assez pour pleurer avec nous."

Vous pensiez que Rammus était un genre de bonze-tortue façon maître splinter ? Tout gentil tout mignon ? Pas un mot plus haut que l'autre ? Et bien non, parfois, Rammus,il clash. Et il clash bien. Tout le monde y passe.

A tout les geeks présents sur LoL, je vous dédie cette vidéo bien sympathique, pour peu que vous parliez anglais.

Spoiler:

S'il n'y en avait plus pour demain, mais encore moins pour hier, qu'aurais-je à y gagner ? Qu'aurais-je à y perdre ? Je mélange mes mots dans mes doigts, j'hésite un peu, un peu plus bas, mais le temps a beau passer toujours te revoilà. Je ne suis pas forte, je n'ai pas mal aux mains pourtant. S'il n'y en avait plus pour demain, plus pour aujourd'hui et rien pour tout à l'heure, je serais bien triste, bien seule. Je danse mes mots sur tes bras, couds sur ta peau leur linceul et je n'y comprends rien.

Les génies psychorigides me fascinent.

"Moi - Au fait, merci d'avoir envoyé la méthode de stylistique. J'ai trouvé ça très sympa !
Jérémy - De rien, c'est normal.
Moi - Bien réussi ton oral ce matin ?
Jérémy - Je ne sais pas trop. En revanche, j'ai révisé la Linguistique ce midi pour me rassurer.
Moi - Attends, t'as eu 20/20 au premier partiel de Linguistique. La difficulté ne te fait pas peur. Quel est le secret ?
Jérémy - Je bosse tout le temps.
Moi - Tu manges au moins ?
Jérémy - Non, je ne mange pas à midi ni le matin pour travailler. Je mange le soir.
Moi - Hahaha !
Jérémy - Non, c'est vrai, je plaisante pas.
Moi - @_@."

Nombre de messages : 99 Age : 49 Date d'inscription : 13/04/2008

Le Crieur est quelqu'un de plutôt calme malgré son métier. Mais parfois, il pète une durite. Et ça peut donner ça.

Qu'on m'apporte ces Maudits Compères ! Qu'on les fouette sur la place publique ! Qu'une bonne fois pour tout ils se mettent d'accord et nous donnent le dernier défi du Peplum ! On ne demande d'être actif, de faire bouger notre beau pays, de participer, et voilà le résultat ! Alors que certains ont sué sang et eau pour jouer le jeu, nous attendons encore de voir leurs productions ! Ho je les vois déjà venir me dire "mais de toute façon, personne ne va voter.", mais à cela je leur répondrais : je suis là pour aller botter les fesses de ces petits hommes verts qui réclament à corps et à cris du rp, des Confréries, et ne sont même pas capables de faire vivre l'un ou l'autre (alors ne parlons même pas des deux) mais aussi et surtout, les auteurs, eux, veulent voir leurs efforts exposés à la vue de tous ! Alors qu'on m'amène ces Maudits Compères et je les fouetterais jusqu'à ce qu'ils accomplissent leur devoir !

Ces temps-ci, en cette période de partiels, de stress intense, mon calmant s'appelle IAM.
C'est bien écrit, poétique et le son est toujours efficace. C'est par exemple un groupe que certains profs de Littérature conseillent autant pour l'écriture que pour l'harmonie.
Puis le faible zozotement d'Akhenaton est presque mignon. Sans voix

"Je suis le fils de Jaffar, le sale rejeton de Dark Vador
Le grand Cador, du maniement de mic, j'adore"

Bonne journée !

Dès fois on vit.
Dès fois on meurt.
Puis, parfois, on est perdu. Dix vagues entre les deux. Entre l'absolu et le néant.

Quand on vit on sait qu'on va mourir et lorsqu'on meurt c'est à ce moment que l'on sait le plus que l'on est vivant.
Alors, on est perdu. Dix vagues entre les deux arpentent et serpentent. Arpente et serpente. Erre entre les deux. Air. Ou aère. Plutôt air et aère. Entre l'absolu et le néant.

Toi, va à l'essentiel.
Simple évidente sommation.
Tu fais.
Point.

La France vue par...

http://www.ensmp.net/2011/05/28/

Dans le fond d'un fait-tout ou d'une calebasse. (Siphonnée de préférence !)

Déposez une tranche d'ouate. (de phoque de préférence)

Prenez une pincée de folie, étalez bien. (Une pincée, pas un bac à sable sinon le mélange sera incompréhensible.)

Passez au mixer.

Mélangez le résultat. (Au shaker, pas à la cuillère)

Ajoutez une pincée de douceur, car il en faut.

Mesurez une grand cuillerée de bêtise. N'aillez pas peur d'y aller franchement.

Jetez un zeste d'humour. (De mauvaise qualité de préférence !)

N'oubliez pas quelques bons mots dont quelques uns acides.

Enlevez la tête de la bête (elle est inutile) et fourrez-le restant de guimauve.

Agitez !

Vous aurez un bel ours en peluche tout neuf !

Nombre de messages : 2050 Age : 27 Date d'inscription : 07/02/2008

Je les méprise tous. Avec leurs faux-semblants.

Fin d'une semaine plutôt reposante avant une futur mouvementé avec beaucoup de taff en perspective ...

Arf, un jour la FAC sera organisé.

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