La Taverne L* P*lace ... [zone publique]

Lorsque le félin lui tendit une cigarette, le regard d'Aillas s'éclaira et un sourire illumina son visage une fois que la fumée s'inua en une grande inspiration dans ses poumons. Quelle douceur, pourtant pleine de caractère et de force.

Voudriez-vous une démonstration de ce que je peux lui apprendre? fit-elle d'une voix charmeuse en se levant et en passant derrière l'écrivain. Elle posa ses mains douces sur ses épaules et commença un massage léger.

Aillas rougit soudain jusqu'aux oreilles et eut un léger coup d'oeil vers Schaft qui fit semblant de ne pas voir. Que de bonheur, lui qui était justement perclu de courbature, voilà que des mains secoureuses et talentueuses diminuaient ses peines. Il se retourna à demi, but un peu dans sa coupe et eut un sourire pour Grendelor. Il murmura d'une voix chaude.

-Vous prendrez bien une peu de rosé chère dame? J'ai déjà but dans cette coupe mais, cela ne vous dérangera pas n'est ce pas? Et clin d'oeil pour clin d'oeil, Aillas eut un éclair de malice dans le regard.

Schaft avait appercut du coin de l'oeil qu'Aillas recevait un massage de la part de Grendelor. Et curieusement, elle n'etait pas trop fachée. Pas trop. Certes elle etait jalouse, bléssée en son fort interieur, mais cela ne rendait a ses yeux que plus attirant encore l'inaxessible seigneur Aillas dont elle revait de partager la couche et plus si affinité. Mais c'etait sa Grendi, son ancien grand amour si seulement elles n'etaient pas l'une et l'autre autant tournées vers la gente (et l'entre jambe si je puis me permettre) masculine, et a sa Grendinouchette, elle passait tout. A la limite elle aurait bien ete faire un calin a la dame turquoise pendant qu'elle masait Aillas.

Mais elle avait vu l'arrivée (enfin !) de son Smirtny. Ce qu'elle s'empressa de lui faire remarqué.

-SMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRTNYYYYYYYYYYYYYYYY !

D'un regard noir comme les fins fonds le l'Enfer, la dame feline congedia la serveuse a l'enorme (d'apres Schaft) popotin.

-Henri ! Sert donc un verre de vodka special pour l'ami vampire dont je t'ai parler !

Schaft s'approcha langoureusement, en jetant un regard furtif et extremement discret a Aillas, de Smirtnoff.

-A moins que tu prefere un sang plus pur, plus noble.

Prenant la main du vampire en lui deposant un baiser sur la joue, elle l'entraina jusqu'a grendelor.
La elle lui lacha enfin la main pour poser la sienne sur la nuque de son amie qui lui souriait.
Tendis qu'elle caressait aussi surement qu'un amant la nuque de Grendelor, Schaft echangeait avec elle un regard complice.

-Et je puis t'assurer sur parole mon cher Smirtnoff, qu'elle est aussi pure que moi ...

Elle ponctua sa phrase par un clin d'oeil a Grendelor.

-SMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRTNYYYYYYYYYYYYYYYY !

Il s'était brusquement éloigné de l'épaule de Home, pour ce coup. Que d'agression à ses oreilles habituées au silence. Il s'était gardé de montrer les dents méchament, et puis juste après la petite bouche sensuelle du chat blanc se pose sur sa joue et l'emporte par une main. Le contact a dû être assez froid.
Il se laisse amener sans un mot jusqu'à la femme qui l'observait à l'instant, penchée sur la nuque d'Aillas.
Ce beau parleur, dirait-on.

-Et je puis t'assurer sur parole mon cher Smirtnoff, qu'elle est aussi pure que moi ...

Un petit effort. Soyons aimable. Ou du moins un tout petit peu. Il ne sourit pas et son dos reste raide, face à la femme qu'on lui présente:

-Je n'en doute pas.

Encore un petit effort, aller. On fait mieux que ça, monsieur.
Son bras s'enroule autour de la taille de Schaft, d'un mouvement fluide et déjà plus contrôlé. Il esquisse quand même, un sourire en coin, et fait la réverence à la dame.

Nichiren arriva sur un pas d'une empathie négative.

Il avait observé les lieux et voyait des êtres mal typés et mals famés, des êtres dont les abhérations chaotiques devaient retrouver leurs géniteurs démoniaques.

Il voyait Aillas se faire masser par sa douce Reine, il est vrai un massage n'engage à rien après tout, tant qu'il ne cherchait pas à vouloir des choses plus grandes.

Voyant Schaft approcher un de ces suceurs de sang vers le cou en Grendelor, en vantant sa pureté à boire sans hésiter, rendait le chevalier dans un humeur qui allait être incendiaire.

Arrivant a une vitesse folle à quelques mètres derrière le vampire il tient ses mots après avoir activé son aura d'ondes.

"N'ose pas déposer la moindre salive sur sa peau délicate sur ma fiancée, n'ose pas la marquer à vue de ta souillure sinon tu brûleras en quelques secondes."

Le chevalier avait préparé son énergie pyrokynésique, un mouvement brusque et l'adversaire serait alors consummé

Il veut du bruit ? Il va en avoir le pauvre homme !!
Un jeune homme, connu au bataillon des NUDISTES, était en train de... Quoi ?! Oui, des NUDISTES ! Ben oui. Les Nordistes Ulcérés Décapsuleurs d'Ictères et Sauvagons Tout Emoustillés et Sensuels ! Quel manque de culture !!
Bref. Un jeune homme connu de toute la gente féminine poilue du pays passait devant la taverne. Pourquoi poilue ? Ben, soit ce sont des portugaises soit y'a une coui HORS-SUJET !
Donc, lorsque ce jeune homme, mal rasé et décoiffé comme à son habitude*, passa devant la taverne, il pensa un truc du genre: *Namého kesecka q'cette macaréna atchacha nouvelle ploum-ploum taverne ?*
-Nouvelle... taverne ?
Et là, Smirtnoff, qui se plaignait du bruit, du finalement se boucher les oreilles car, l'on entendit monter en crescendo un cri puissant et joyeux:
-A BOIRE TAVERNIER !!!!!
Et ce fut ainsi que le Fondateur entra dans la taverne de LPLACE !
...
Hein ?

*Et le pire c'est que c'est vrai ^^.

"N'ose pas déposer la moindre salive sur sa peau délicate sur ma fiancée, n'ose pas la marquer à vue de ta souillure sinon tu brûleras en quelques secondes."

Le vampire se retourne vers ce qui semble être un brasier à forme humaine, qu'il n'avait encore jamais vu jusqu'alors.
-Ma souillure?

-A BOIRE TAVERNIER !!!!!

-GnnK
Quelle bande de fanfarons, quel boucan, insoutenable. Ses pupilles rétrecissent un peu plus, sous l'agaçement, il aurait bien tiré l'épée pour la planter dans ce machin fumant. (Une épée, c'est un grand mot, ce sont de petites épées, ou bien de grands couteaux)

Niiichiinoouuuuu!!!!
Badaboum. La femme en question lui a filé sous le nez pour écraser le chevalier d'un violent amour. Voilà qui met fin à l'altercation. Le vampire lache la gaine de cuir et se détourne de l'affaire, et son regard a fait le tour de la salle pour retomber sur Schaft, toujours là très proche de lui.
Il refait la réverence à la dame, pour s'excuser.

-Pardonnez un démon, vilaine princesse, qui n'a pas l'humeur à baigner dans la foule et ses hardeurs.

Grendelor etait parfois exesive. Surtout quand c'etait son coeur qui parlait pour elle. Et malheureusement pour Aillas, c'etait aujourdh'ui le cas.

En se levant et en delaissant son client pour un defroissement des muscles dorsaux, elle du surement lui faire un noeud ou lui mettre un coup malencontreux car Schaft decela une grimace sur son visage.

Elle le considera avec un sourire narquois a la maniere d'un predateur qui se demande a quelle sauce il va cuisiner sa proie.

Pendant qu'elle reflechissait, elle pu repondre au chef des mechants, alias son souffre douleur consentant preferé.

-Pas grave mon buveur de sang adoré. Allez donc chercher aupres d'Henri un verre de votre vodka hemoglobine, je lui ai dit d'en preparer expres pour vos venues que j'espere nombreuses par la suite. C'est moi qui offre.

Puis, remarquant l'entrée de son "francoiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis" elle fit un signe de tete discret a Henri en le lui designant. Le barman, habitué de la dame, comprit tout de suite le message : VIP dans la place. Rajustant son noeud, il hela le nouveau venu.

Voyant que tout se deroulait a merveille, Schaft finit de tergiverser si elle allait etrangler Aillas ou faire preuve de douceur et de courtoisie en s'asseyant derriere lui a la place laissée vaccante par sa douce amie.

Posant doucement, a la maniere d'un papillon sur une fleur, ses mains sur les epaules du maitre du hazard, elle opta pour continuer le massage.

Experte en la matiere, elle faisait courir ses mains qui agissaient plus surement que n'importe quelle magie si bien qu'elle sentie sous ses doigts le taquin seigneur se detendre.

Continuant ses mouvements avec toute la douceur sensuelle qu'elle possedait mais en restant suffisement distante, Schaft engagea la conversation d'un air las et sans passion, mais en murmurant cependant doucement a l'orreille d'Aillas.

-Eh bien mon pauvre ami, voyez la facon dont vous vous trouvez delaissé ! L'amour fait faire de drole de chose.

Un charmant sourire tendre se peignit sur son visage a la beauté pure et naturelle.

-Je suis si heureuse pour eux deux. Separement ce sont des amours. Ensemble, ils sont l'Amour, vous ne trouvez pas ?

Grendelor arrivant sur son chevalier, celui çi abaissa instantanément sa barrière d'onde ainsi que toute volonté d'incinérer. Son caractère se radouci alors et calina tendrement sa douce reine.

Comme si rien ne s'était passé alors, il embrassa Grendelor qui lui avouait combien il lui avait manqué. Le chevalier était géné, lui qui comptait passer quelques jours plus tard, un sentiment lui fit un détour, mais au fond ce n'était pas plus mal après tout de retrouver plus tôt ses bras.

"Mes compagnons d'aventure se débrouilleront sans moi, ils rendront les comptes, là je suis là pour toi ma douce reine."

Un sourire apparaissant, innocent, il resta auprès de sa reine, heureux de la retrouver plus tôt.

Puisque délaissé de ces deux femmes, Smirtnoff s'en va rejoindre le bar, où il réceptionne sa boisson. Le voilà qui reprend quelques couleurs. Il se détend, s'ébroue encore une fois, puis rejoind la table où Home lui avait tiré une chaise, en rival magnanime qu'il est.

La boisson n'avait pas fait long feu.

Schaft vit que Home la regardais. Ou plutot la devisageait, comme si son regard pouvait percé la facade de joie debordante de la dame de pique. Genée, elle rougit en detournant le regard. Elle tenait a ce que son colocataire ne la deteste pas. Elle tenait d'ailleurs a ce que personne ne la deteste. Personne ne devais savoir ce que son coeur cache. Personne.

Elle soupira un grand coup pour se donner une contenance. Ce faisant, elle envoya un souffle fin et chaud dans la nuque d'Aillas qu'elle massait toujours machinalement, le faisant frissonner.

Cette image suffit a redonner un sourire amusé a dame Koneko qui s'empressa de recommencer, avec plus de sensualité et de calculs cette fois.

-C'est pour desangourdir vos muscles mon cher, lui murmura t'elle d'une voix suave. Nous ne voudrions pas que mister Ter Aelis soit paralysé durant ses fonctions parce que quelque noble dame se serait mal occupée de lui, n'est ce pas ?

Elle avait definitivement retrouver son sourire taquin de femme futile, ceuillant chaque jour le fruit du bonheur de facon insouciante. Elle esperait que personne n'avait capté l'ombre passagere de son visage.

-... Des femmes, de la bière nom de Dieu !
Suivant plus ou moins un refrain archi-connu ou pas, le Fondateur piccolait tranquillement sa bière. Assis au bar, il put observer la petite compagnie à la table. Trois groupes se formèrent: les amoureux tripoteurs, les buveurs qui se foutent de tout et les enquêteurs. Il décida de se lier au groupe le plus intéressent: les alcooliques.
Cette nouvelle taverne, ancien repaire de brigands élégants aujourd'hui envahie de soudards alcooliques, promettait de belles aventures en perspective ! Mais pas autant qu'au temps où lui, Schaft, Caramel Mou, Moustik qu'il n'avait pas connu longtemps et son cher Plumo faisait les fous, se soulaient, se baignaient en caleçon dans des tonnelets de bière et se battaient à coup d'enclume et de masses, tout en se faisant plein de calins. Enfin...
Il s'avnça donc vers le groupe et s'exclama:
-Tournée générale les gars !!
Un coin-coin de joie se fit entendre derrière.
-Et racontez-moi tout sur les derniers popotins... euh... potins.

[HRP]J'adore la BD de BlackSide Home+ !! (désolé, je sais plus l'orthographe exact)[/HRP]

L'ardeur des derniers moments était retombée et des petits groupes s'étaient formés, voir pour certains des groupes tellement petits qu'ils étaient un ^^
Grendelor observait le manège de Schaft, auquel se prêtait bien volontier Aillas, allant même jusqu'à inverser les rôles et offrir à boire à la belle comme il l'avait fait pour elle à peine quelques minutes plus tôt. Sauf que Schaft apparemment aurait droit à son propre verre. Cela la fit sourire.

*Mais il est bien connu que les hommes sont volages.*

A cette pensée ironique, elle se tourna vers Nichiren et déposa un baiser sur sa joue.

*Lui ne l'est pas... et n'a pas intérêt à l'être s'il veut rester entier, tout chevalier qu'il est!*

Le Fondateur proposa, gentiment et gaiement, de payer sa tournée. Aussi la jeune femme se commanda-t-elle un nouveau verre de muscat, le premier ayant mystérieusement disparu.

-Et racontez-moi tout sur les derniers popotins... euh... potins.

Et bien en matière de popotins, celui de notre belle tavernière semble avoir trouvé un siège à son goût, fit-elle en désignant Aillas les mains sur les épaules de Schaft. Et sinon en matière de potins tout court... il semblerait qu'un vol est eu lieu dans la galerie d'Edea, ajouta-t-elle en montrant cette fois-ci Cassiopée et Home en grande conversation, l'air de comploter dans leur coin. Il parait aussi qu'un mariage serait en préparation mais dans la course aux noces on ne sait qui gagnera.

A ces mots, sa gorge se serra. Une autre angoisse dans la longue liste des choses qui la tracassaient.

Schaft fit comme si elle n'avait pas relever le sous entendu dans la phrase d'Aillas, mais eu peine a cacher un sourire ravie a cette evocation.

Elle s'assis a la maniere d'une chatte de salon sur le siege que lui tendait mister Ter Aelis, faisait onduler nonchalement ses hanches.

Enfin installer, elle passa une main dans ses cheveux pour laisser une meilleure prise a son masseur, devoilant sa nuque. Un courant d'air y passa et la miss fremit doucement. C'etait pour elle une zone tres sensible.

Offrant ses epaules a la merci d'Aillas, avec une certaine aprehension cependant, extase delicieuse d'un potenciel dagner assez plaisant, Schaft croisa les jambes et porta la coupe qui lui etait offerte a ses levres, la savourant les yeux a demi fermés.

-Ce breuvage est exellent seigneur Aillas ! On peut dire que vous avez du gout pour ce qui est des choses essentielles de la vie d'un homme ....

Laissant plané le sous entendu, Schaft se laissait peu a peu aller sous les mains d'Aillas, emettant un leger ronronnement a peine audible. En effet, le maitre du hazard etait tres doué en la matiere.

Epuisée par ses travaux au Collège, Juliette décida d'aller faire un tour à la taverne de Ter Aelis. La jeune femme passa la porte et alla alors s'accouder au comptoir, la tête dans les mains et le pinceau dans la poche qui ne cessait de se trémousser.

- Une vod... Un verre d'eau s'il vous plait.
- T'ssss, même pas le courage de commander une vraie boisson d'homme.
- Hmmm, mais je suis une femme, sais-tu? Stupide pinceau siffleur.
- D'où je suis stupide? Namèheu c'est pas vrai d'abord. Et puis c'est toi qu'es stupide...

Comme l'instrument s'en retournait bouder dans une des nombreuses poche de la toge de Gardienne de la jeune Atlante, celle-ci regarda autour d'elle : Il y avait Aillas et Schaft qui se livraient à des démonstration d'affection publique, Grendelor en pleine conversation avec Le Fondateur...

- Hmm, c'est sympa cet endroit, je devrais sortir de mes toiles plus souvent. Mais n'empêche que j'me sens seuuuuule...
- Et dans ces moments-là, t'es bien contente de m'avoir hein?

Dit le pinceau qui venait de reparaître, pas rancunier pour un sou. Elle sourit, l'air ailleurs.

home se leva écrasant sa cigarette sur la table, la remarque de Aillas l'avait fait sourire et la suite du massage encore plus... s'il avait eu une once de jalousie en lui, il aurait déjà régler cela avec le jeune écrivain... se dirigeant vers le bar évitant les serveuses, et les manants venue se désaltérer, Home bouscula une jeune fille encore accouder au bar, en train de discuter avec son pinceau...

- désoler, veuillez m'excuser, avec la boisson et le monde....

l'homme chat s'arrêta un instant, se retrouvant en contemplation devant les yeux de la femme devant lui...comprenant a qui il avait a faire...

- vous ne seriez pas Juliette l'artiste peintre d'Atalante... les marins parlent souvent de vous sur le port... permettez moi de vous offrir ce verre pour excuser ma maladresse

L'homme chat posa 5 pièces d'or sur la table, faisant signe a ce cher Henri de lui resservir la même chose...

- Alors vous n'allez pas rejoindre des amis à vous?

Sentant un coup dans son dos, Juliette se retourna et se trouva face à face avec un grand homme chat, encore inconnu.


- désoler, veuillez m'excuser, avec la boisson et le monde....

- Oh, mais ne vous en faites pas! C'est vrai que cette taverne me semble un peu bondée, et puis il n'y a pas de mal!

- Vous ne seriez pas Juliette l'artiste peintre d'Atalante... les marins parlent souvent de vous sur le port... permettez moi de vous offrir ce verre pour excuser ma maladresse

- Euuuuh, si en effet. Juliette, Gardienne et mentorette GFX à ses heures... Mais dites-moi, il me semble aussi vous reconnaitre... Ne seriez-vous pas celui qu'on appelle Home? J'ai vu votre exposition au Consortium et j'avoue avoir été fascinée!

- Alors vous n'allez pas rejoindre des amis à vous?

- Eh bien en fait, j'étais venue me reposer un peu. Il faut dire qu'on est vite débordés ici! Mais comme cet endroit me semble très agréable, je pense y rester, au moins quelque temps. Quant à attendre des amis... Mes amis les plus proches semblent peu passer ici, souvent trop pris par leurs plumes et pinceaux respectifs, voire les deux!


Elle rit, heureuse d'avoir trouvé quelqu'un à qui parler.


- Et vous, que faites-vous ici? J'ai cru vous voir en grande conversation avec Cassiopée n'est-ce pas?

Schaft surveillait Home comme une soeur trop couveuse pour son petit frere. Elle le vit soudain abordé la douce (aussi douce que Schaft il parait ...) Juliette. Coin-coin se proposa pour aller surveiller que rien ne derape. En tant qu'"amimal" de compagnie de Schaft, il etait habitué a aller veiller au bien etre de ses "amis males". Schaft rumua doucement la tete en signe de denegation.

A la place, elle lui fit don d'un papier et designa du menton le fondateur. Sur cette missive que Coin-coin s'empressa de porter, il y avait ecrit "Strings et calecons GGG finit de fabriqué, avec poche pour canette et porte ouvre-bouteille integré. Contacte Henri. Mouaxouille Francinouchet". Il y a pas de petitprofit et il est toujours tant de faire du commerce pour le bien de son Glou Glou Gang adoré. Apres tout, c'est peut etre avec l'argent gagné qu'elle paiera un jour son mariage.

Anticipant une eventuelle question d'Aillas pour le mot, Schaft lui fourni une explication.

-Mon ami le Fondateur s'y connait en boisson de tout type et tout genre. Je lui demande juste de contacter Henri, afin qu'il puisse lui donner des idées, communiquer son talent vous comprennez ? Pour le bien etre de tous ici ...

Dame Koneko jeta un coup d'oeil furtif a Home avant de refermer les yeux, s'abandonant a l'alcool du vin et aux massages d'Aillas, qu'elle soupsonnaun bref instant d'avoir quelques pouvoirs magiques en la matiere.

*En parlant de bien etre, en voila un qui s'y connait !*

le rire de Juliette résonna dans le tumulte ambiant...

- Et vous, que faites-vous ici? J'ai cru vous voir en grande conversation avec Cassiopée n'est-ce pas

- pour Cassipopée une affaire lui prend beaucoup de temps, elle en discute là bas, pour ma part... j'ai choisis de vivre à Galvorn, je travail sur les docks et le soir nous venons souvent boire un verre ou deux ici avec les collègues ...

il pris le verre tendu par le barman, et s'adossa au comptoir...

- je ne pensais pas vous voir ici, je ne pensais même pas que vous pourriez m'adressez la parole... et encore moins apprécier mes gribouillis...

il éclata de rire... qu'il stoppa net voyant Coin-coin arriver...

- voyez vous je vie chez Schaft... tous en parlant à Juliette il pris le canard pour le mettre sur le bar... Nous sommes que colocataire mais il est difficile de s'échapper au bon soin de la jeune femme qui prend plaisir a contrôler les individus de sexe masculin... il pris un bol et faisant un clin d'œil a Juliette, versa du rhum pour Coin-coin, qui s'empressa de le boire... heureusement j'ai mes astuces...

Coin-coin ne mis pas longtemps à vaciller et s'endormir dans les bras de l'homme chat...

Juliette prennait grand plaisir à cette conversation.

- je ne pensais pas vous voir ici, je ne pensais même pas que vous pourriez m'adressez la parole... et encore moins apprécier mes gribouillis...

- Uhuh, quel humour. Vous dites gribouillis? Je dirais oeuvres. Enfin bon, on est rarement satisfait de son travail. Ceci dit, le vôtre est tout bonnement... Stupéfiant. D'ailleurs, si vous cherchez une place de mentor, n'oubliez pas de passer me voir!

Voyant le petit manège de l'homme chat avec le canard, la jeune Atlante sourit.

- voyez vous je vie chez Schaft. Nous sommes que colocataire mais il est difficile de s'échapper au bon soin de la jeune femme qui prend plaisir a contrôler les individus de sexe masculin. Heureusement j'ai mes astuces...

- Ah, ah... Possessive la demoiselle? Après tout, je la comprends. Mais elle me semble parfaitement à l'aise avec Aillas, non?

Elle se retourna alors vers les deux protagonistes. Schaft semblait commencer à s'abandonner aux doigts du maître rôliste. Celui-ci s'approcha d'eux, un sourire coquin aux lèvres. Il semblait avoir pris grand plaisir à ces séances de massage public. La jeune femme lui fit un grand sourire.

- Alors belle blonde, on se pavane dans les quartiers chauds de la ville maintenant? C'est pas très conseillée pour une jeune femme sans défense tu sais?
- Alors, petit malin, on s'amuse on dirait? Mais sais-tu que je suis loin d'être sans défense? Déjà j'ai mon pinceau qui casserait les pieds à n'importe qui...
- Maieuhmêmepasvraid'abord.
- Et puis je suis grande tu sais. Après des années de torture d'élèves, je commence à être rodée. D'ailleurs, tu devrais le savoir...

- mentor... avec mes gribouillis... par Praëdon, cela serait marrant...

le rire de l'homme chat résonna ce qui fit bouger le canard, l'espace d'un instant...

- non je dessine pendant la pause de l'après midi sur le port quand la chaleur empêche le travail, juste pour me détendre quand je ne joue pas aux jeux d'argents...

Aillas vint alors lui taxer encore une cigarette... lui tendant la précieuse...

- mon cher il va falloir penser a investir, ou moins dépenser en autres substances dans les rues de Galvorn...

- Et puis je suis grande tu sais. Après des années de torture d'élèves, je commence à être rodée. D'ailleurs, tu devrais le savoir...

s'allumant a son tour une cigarette...

- votre plus grande force doit être ce jolie minois qui cache une tortionnaire... Et vous Aillas a quand un stage sur les dock histoire de muscler ses bras maigrelet...