Les courants d'air (Tome III)

Punaise, Tr0n est en plein Hellfest.

"Comment ça, on est pas dimanche ???"

Je crois que je me suis un peu embrouillé avec la temporalité >.<

Fuck les liens de parenté.

Je vais le tuer l'autre avec sa tronçonneuse.

Mon ventre fait des bonds à chaque fois que mon curseur de souris approche de la case message et qu'une belle enveloppe rouge avec une petite volupte dorée jaillit!(celui qu'a fait ça bravo!) Mpisez moi!

Un commentaire pas si bête, Aspharoth. Au Moyen Âge, on adorait faire des listes. Il y avait par exemple la liste des neuf preux ou des neuf preuses, qui citait des personnages héroïques ou très illustres. Il y a dans la liste cette idée de surajout, de saturation et par là-même de plénitude qui plaisait beaucoup aux gens de l'époque. On passe outre la gangue de la phrase, les éléments sont connectés graphiquement à défaut de l'être syntaxiquement, comme si les idées et les concepts pouvaient cohabiter dans ce rapprochement inédit sans être délayés dans une construction grammaticale. Le style est vif, haché, vigoureux, et amène le lecteur à se concentrer sur le poids de chaque mot, plus que sur une signification d'ensemble.

Le coeur au bord des lèvres.

Je découvre les musiques que mon homme aime en ce moment sur deezer en lisant Ter Aelis.
Y a comme un soucis.

...

Y a comme un soucis.

Je voudrais être parti bien loin de lui...

Et qu'il soit avec moi. Il me tue parce qu'avec lui je me sens en vie :')

Il est mon drame. Oui, c'est ça, mon drame.

Je suis contente de passer mon épreuve d'anglais.
Très pressée, j'ai envie de dire. Les mains dans les poches !

Je sens que l'anglais ca va être chiant...

Je le sens pas du tout.

Bref, en feux heures je suis dehors

C'est fou cette idée d'inspiration volage, qui vient me caresser l'esprit au gré des sollicitations visuelles, auditives et olfactives, toujours prête à me charger de sens et musique verbale. Et c'est fou à quel point cette essence se désagrège vite face a la volonté de mettre en forme. Un genre d'anti-catalyseur.

Ca me manque, cette rage de poser la phrase violente et d'écoeurer le lecteur par la force des descriptions, il faut que je recommence.

Je suis à un jour du moment fatidique mais je ne me suis jamais senti aussi loin de l'échéance. C'est grave docteur?