[Exercice commun n°2] Phaut pas décauné

Racine était un poète dramatique et néanmoins très drôle. Il possédait une écriture riche et poétique. Son génie tenait à ce qu'il n'écoutait pas ce qui se disait autour de lui, et ne se laissait pas intimidé par des gens comme Molière ou Lully, dont l'histoire n'a d'ailleurs pas retenu les noms. Il est l'auteur de pièces de théâtre brillantes, où transpirent tout son génie mais que je ne comprend pas toujours, telles que Phèdre, La Thébaïde, Tatoue moi ou encore Iphigénie. Il s’est beaucoup inspiré de son maître, Euripide, dramaturge né en quatre cents quatre-vingt et mort vers quatre cents avant Jésus Christ, ce qui ne lui a pas porté tort puisque l'imitation faisait partie des idéaux de l'époque. Pour pallier à leur manque d'imagination, les écrivains avaient eu l'idée de s'exprimer en alexandrins composés de douze syllabes avec une césure à l'hémistiche. Corneille, qui était très fort a ce petit jeu, parvenait à écrire un poème entier en seulement une heure et demie, pour que le roi, Louis XIV, soit content ; cependant il écrivait fort mal. En conclusion, je dirai que Racine a mené une vie bien remplie, il l'a croqué à pleine dent ; il était riche,honoré, les femmes lui couraient après mais toutes habiles, toutes hérissées de charme qu'elles soient, elles ne le rattrapèrent jamais. Il a vécu jusqu'au jour de sa mort, comme le font les grands de ce monde.

Racine était un poète dramatique et nez-en-moins (néanmoins) très drôle. Il possédait une écriture riche et poétique. Son génie tenait à ce qu'il n'écoutait pas ce qui ce (se) disait autour de lui, et ne se laissait pas intimidé (intimider) par des gens comme Molière ou Lully, dont l'histoire n'a d'ailleurs pas retenu les nom(s). Il est l'auteur de pièces de théâtre brillantes, ou (où) transpirent (transpire) tout son génie(,) mais que je ne comprend (comprends) pas toujours, tel (telles) que Phèdre, La Thébaïde, Tatoue(-)moi ou encore Iphigénie. Il c (s)'est beaucoup inspiré de son maître, Euripide, dramaturge né en quatre cent quatre-vingt et mort vers quatre cent avant Jésus Christ, ce qui ne lui a pas porté tord (tort) puisque l'imitation faisait parti (partie) des idéals (idéaux) de l'époque. Pour pallier à (pallier tout court) leur manque d'imagination, les écrivains avaient eu l'idée de s'exprimé (s'exprimer) en alexandrins composé(s) de douze syllabes avec une césure à l'hémistiche. Corneille, qui était très fort a (à) ce petit jeu, parvenait à écrire un poème entier en seulement une heure et demie, pour que le roi, Louis XIV, fut (fût) content ; cependant il écrivait fort mal. En conclusion, je dirai (dirais) que Racine a mené une vie bien rempli(e), il l'a croqué(e) à pleine(s) dent(s) ; il était riche, honnoré (honoré), les femmes lui couraient après(,) mais tout habiles, tout hérissées de charme qu'elles soient, elles ne le rattrapèrent jamais. Il a vécu jusqu'au jour de sa mort, comme le font les grands de ce monde.

Aspharoth, alors qu'il s'apprête à rendre sa rédaction de français, se rend compte, catastrophé, qu'une vingtaine de fautes se sont glissées dans son devoir. Son professeur qui est un homme sadique et obsédé sur les bords se fera un plaisir de lui mettre une colle si toutes les fautes ne sont pas rapidement corrigées. Vite ! Aide le petit Aspharoth à se sortir de ce mauvais pas !


Racine était un poète dramatique et néanmoins très drôle. Il possédait une écriture riche et poétique. Son génie tenait à ce qu'il n'écoutait pas ce qui se disait autour de lui, et ne se laissait pas intimider par des gens comme Molière ou Lully, dont l'histoire n'a d'ailleurs pas retenu les noms. Il est l'auteur de pièces de théâtre brillantes, où transpire tout son génie mais que je ne comprends pas toujours, telles que Phèdre, La Thébaïde, Tatoue moi ou encore Iphigénie. Il s'est beaucoup inspiré de son maître, Euripide, dramaturge né en quatre cent quatre-vingts et mort vers quatre cents avant Jésus Christ, ce qui ne lui a pas porté tort puisque l'imitation faisait partie des idéaux de l'époque. Pour pallier à leur manque d'imagination, les écrivains avaient eu l'idée de s'exprimer en alexandrins composés de douze syllabes avec une césure à l'hémistiche. Corneille, qui était très fort à ce petit jeu, parvenait à écrire un poème entier en seulement une heure et demie, pour que le roi, Louis XIV, fût content ; cependant il écrivait fort mal. En conclusion, je dirai que Racine a mené une vie bien remplie, il l'a croquée à pleine dent ; il était riche, honoré, les femmes lui couraient après mais toutes habiles, toutes hérissées de charme qu'elles soient, elles ne le rattrapèrent jamais. Il a vécu jusqu'au jour de sa mort, comme le font les grands de ce monde.

23 fautes + 1 dans la présentation.

Bien que Racine fût un poète dramatique, il était néanmoins très drôle. Il possédait une écriture riche et poétique. Son génie tenait à ce qu'il n'écoutait pas ce qui ce disait autour de lui, et ne se laissait pas intimidé par des gens comme Molière ou Lully, dont l'histoire n'a d'ailleurs pas retenu les nom. (NDF : Ca me gêne, je reformule.)  Il ne se laissait pas intimider par la critique, ni par des auteurs comme Molière ou Lully dont l'Histoire n'a pas retenu les noms ; cette impassibilité faisait partie de son génie. Il est l'auteur de brillantes pièces de théâtre - où transparaît tout son talent - telles que Phèdre, La Thébaïde ou encore Iphigénie. Fervent admirateur du dramaturge Euripide - né en quatre cent quatre-vingt et mort vers quatre cents avant Jésus-Christ - il a pu s'inspirer de ses écrits sans que cela ne lui fasse du tort, puisque l'imitation faisait partie des idéaux de son époque. Afin de pallier à un manque d'imagination, les écrivains avaient eu l'idée de s'exprimer en alexandrins composés de douze syllabes avec une césure à l'hémistiche. Corneille parvenait à écrire un poème entier en seulement une heure et demie, de manière à satisfaire le roi Louis XIV. Bien qu'à son aise dans ce petit jeu, il écrivît fort mal.

En conclusion, je dirais que Racine menât une vie bien remplie, il la croqua à pleines dents ! Il était riche et honoré par ces femmes qui bien que toutes habiles et toutes hérissées de charme qu'elles étaient, ne parvenaient jamais à l'obtenir. Il vécut cette vie-là jusqu'à sa mort et demeure depuis ce jour comme un grand de ce monde.

Bien que Racine fût un poète dramatique, il était néanmoins très drôle. Il possédait une écriture riche et poétique. Il ne se laissait pas intimider par la critique, ni par des auteurs comme Molière ou Lully dont l'Histoire n'a pas retenu les noms ; cette impassibilité faisait partie de son génie. Il est l'auteur de brillantes pièces de théâtre - où transparaît tout son talent - telles que Phèdre, La Thébaïde ou encore Iphigénie. Fervent admirateur du dramaturge Euripide - né en quatre cent quatre-vingt et mort vers quatre cents avant Jésus-Christ - il a pu s'inspirer de ses écrits sans que cela ne lui fasse du tort, puisque l'imitation faisait partie des idéaux de son époque. Afin de pallier à un manque d'imagination, les écrivains avaient eu l'idée de s'exprimer en alexandrins composés de douze syllabes avec une césure à l'hémistiche. Corneille parvenait à écrire un poème entier en seulement une heure et demie, de manière à satisfaire le roi Louis XIV. Bien qu'à son aise dans ce petit jeu, il écrivît fort mal.

En conclusion, je dirais que Racine menât une vie bien remplie, il la croqua à pleines dents. Il était riche et honoré par ces femmes qui bien que toutes habiles et toutes hérissées de charme qu'elles étaient, ne parvenaient jamais à l'obtenir. Il vécut cette vie-là jusqu'à sa mort et demeure depuis ce jour comme un grand de ce monde.

Racine était un poète dramatique et néanmoins très drôle. Il possédait une écriture riche et poétique. Son génie tenait à ce qu'il n'écoutait pas ce qui se disait autour de lui, et ne se laissait pas intimider par des gens comme Molière ou Lully, dont l'histoire n'a d'ailleurs pas retenu les noms. Il est l'auteur de pièces de théâtre brillantes, où transpire tout son génie mais que je ne comprend pas toujours, telles que Phèdre, La Thébaïde, Tatoue moi ou encore Iphigénie. Il s'est beaucoup inspiré de son maître, Euripide, dramaturge né en quatre cent quatre-vingts et mort vers quatre cents avant Jésus Christ, ce qui ne lui a pas porté tort puisque l'imitation faisait partie des idéaux de l'époque. Pour pallier leur manque d'imagination, les écrivains avaient eu l'idée de s'exprimer en alexandrins composés de douze syllabes avec une césure à l'hémistiche. Corneille, qui était très fort à ce petit jeu, parvenait à écrire un poème entier en seulement une heure et demie, pour que le roi, Louis XIV, soit content ; cependant il écrivait fort mal. En conclusion, je dirai que Racine a mené une vie bien remplie, il l'a croquée à pleines dents ; il était riche, honoré, les femmes lui couraient après mais toutes habiles, toutes hérissées de charme qu'elles soient, elles ne le rattrapèrent jamais. Il a vécu jusqu'au jour de sa mort, comme le font les grands de ce monde.

Racine
était un poète dramatique et néanmoins très drôle. Il possédait une
écriture riche et poétique. Son génie tenait à ce qu'il n'écoutait pas
ce qui se disait autour de lui, et ne se laissait pas intimider par des
gens comme Molière ou Lully, dont l'histoire n'a d'ailleurs pas retenu
les noms. Il est l'auteur de pièces de théâtre brillantes, où
transpire tout son génie mais que je ne comprends pas toujours, telles
que Phèdre, La Thébaïde, Tatoue-moi ou encore Iphigénie.
Il s'est beaucoup inspiré de son maître, Euripide, dramaturge né en
quatre cents quatre-vingts et mort vers quatre cents avant Jésus Christ,
ce qui ne lui a pas porté tort puisque l'imitation faisait partie des
idéals de l'époque. Pour pallier à leur manque d'imagination, les
écrivains avaient eu l'idée de s'exprimer en alexandrins composés de
douze syllabes avec une césure à l'hémistiche. Corneille, qui était
très fort à ce petit jeu, parvenait à écrire un poème entier en
seulement une heure et demie, pour que le roi, Louis XIV, fût content ;
cependant il écrivait fort mal. En conclusion, je dirai que Racine a
mené une vie bien remplie, il l'a croquée à pleines dents ; il était riche,
honoré, les femmes lui couraient après mais toute habiles, toute
hérissées de charmes qu'elles soient, elles ne le rattrapèrent jamais.
Il a vécu jusqu'au jour de sa mort, comme le font les grands de ce
monde.