[Divagation] Les courants d'air

HURLE !

Qu'est-ce que ça ferait du bien. Je veux habiter au bord d'une falaise pour pouvoir hurler face à la l'océan déchainé.

Ah que C"est du bon texte a lire, viens !!

Power Ranger Bleu!!!!

Declic Bristolien

Je m"essaie a la danse walkennienne, mains dans les poches, comme dirait mon neveu foot de rue allez savoir pourquoi! c"est debiles les enfants!

"Un jeune homme - Je vous propose un jus d'orange mademoiselle ? Tenez.
Moi - Pardon ?
Un jeune homme - Oui, c'est un jus d'orange.
Moi - Mais pourquoi vous me donnez un jus d'orange ?
Un jeune homme - C'est le téléthon, on est en train de ranger et il reste du jus d'orange.
Moi - Okééé. Merci beaucoup !
Un jeune homme - Le stand est devant l'entrée depuis deux jours, vous n'avez pas vu ?
Moi - Disons que je rentre par derrière...
Un jeune homme - Choqué

"

Ca tombe bien, j'avais soif moi !

J'aime faire une BA de temps en temps ...

Plutôt que de taffer, j'aide les autres dans leur travail.

Aider dans le rapport, un peu de Wenner. Aidé des potes pour leur oral d'anglais en les écoutant.

Et dans tout ça moi ? Je perd toute motivation.

Je m'enfonce lentement mais surement dans les méandres noirâtres des abysses.
Chute sans fin vers un néant inconnue. Sentiment de vie qui part.
Raison préférant laisser place à la douce folie destructrice de mon esprit.
Sans pratique se délaissant, partant, laissant place à la destruction interne d'un corps.
Comme cherchant à capter la moindre maladie en fatiguant ce pauvre corps.
Éternel repos d'habitude si apprécié, qui se transforme en longue nuit destructrice, malgré le néant qui boucle mes yeux et la douce présent d'un Morphée battus par plus fort que lui.
Sombre, tombe, choix vers ses méandres noirâtres, attirant inlassablement tout mon être.
Le plongeant vers son intérieur, l'extériorisant et le renfermant. Etre qui s'enflamme, se dissout et se reforme au cœur du néant. Refonte complète d'un être pour disparaitre dans l'instant suivant et se retransformer.

Tout ça ne causant que souffrance physique, pauvre cœur subissant les infâmes pression des muscles thoracique, douleur intercostal persistante.

Noir, et pourtant, au loin, brille.
Un éclair aveuglant de blanc.
Comme le scintillement d'un espoir inespéré.
Fusion complètement du noir et du blanc pour donner le gris. Terne, pâle.
Désespoir de moi même par instant.

Fatiguée. Juste envie de dormir, de se laisser porter, de simplement laisser le temps suivre son cours, sans moi.

Entre en phase boulot intensif. Me suffit plus que de me dire que le premier au soir c'est fini. Et que lundi j'vais prendre mon pied avec de la bonne musique...

Nombre de messages : 2050 Age : 27 Date d'inscription : 07/02/2008

Pourquoi est-ce qu'ils ne me parlent jamais ces abrutis? J'en aime un et l'autre pas loin... Est-ce que j'existe pour eux? Ou est-ce que je ne suis une petite fille?

Quand je joue de mes doigts sur le papier, que je suis les lignes, le quadrillage de la feuille de mon stylo, que je ris, je suis là pour eux? Quand je souris, que je suis naturelle ou synthétiques, est-ce qu'ils me voient?

Suis-je trop trop idiote, trop petite, trop superficielle, trop peu douée pour avoir Leurs attentions?

S'il vous plait... Parlez-moi...

Aidez-moi à rester debout! Trop de vent, trop... dans la tête... dans les jambes... je vais finir par tomber!

ça change ces habitants en bleux pale pseudo violet Oo..

Aujourd'hui, j'ai visité une prison.
Un peu plus de 30 étudiants, se baladant dans les couloirs.
L'impression étange d'être l'attraction de la journée, une bête de foire que l'on viendrait exposer.
Impression étrange, certes, mais réconfortante : l'inverse m'aurait fait mal.

Help me, help me, help me sail away
You give me two good reasons why I ought to stay.
'Cos I love to live so pleasantly
Live this life of luxury
Lazing on a sunny afternoon
In Summertime.

Affreuse sensation de ses lèvres sur les miennes alors qu'il n'est pas à mes cotés...
Cruelles images d'un futur proche alors que je tente de trouver le sommeil...

Crise de larmes...
Encore...
Et encore...

C'est décidé. CE week-end sera à moi, rien qu'à moi.

Sauf si je craque ^^

Hier soir, j'avais rédigé une Franz FM d'environ 30 lignes, j'avais présenté huit artistes sur seize. Puis, à cause d'une maladresse, la page s'est fermée sans avoir eu le temps de sauvegarder mon travail. Autant vous dire que je suis verte caca d'oie.

La chanson du matin en Aelis : Twist on my sobriety de Tanita Tikaram.

Owi, ne lache pas mes lèvres, enveloppe-moi de tes bras que je m'y cache à jamais.

Comme je craque, mais comme je craque, j'ai même failli les dire.

ça y est c'est encore le déluge. Et j'ai encore 3h à occuper je ne sais comment.

Ils ne m'ont pas rappelé..
Ils ne m'ont pas rappelé??
Ils ne m'ont pas rappelé!!

Ils ne m'ont pas rappelé!!! oui oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! [Divagation] Les courants d'air - Page 8 286323

[Divagation] Les courants d'air - Page 8 286323

** Croise les doigts pour que ça marche cet aprem... **

Je vais réécrire le Passé qui viendra.

Écrire le futur pour changer le présent.

Je déteste les réunions, surtout le vendredi, surtout quand elles ont lieu à midi. Vivement l'heure de libération des forçats.

Le silence apeuré d'une passagère.
La courte mélopée d'un coutelas usagé.
L'indescriptible scène qui en résulte.

Le cri tragique de l'homme dans la ruelle.
Le pénible sifflement d'un poumons qui se vide.
L'idéal rêvé qui disparait à jamais.

Le sourire qui s'efface sur le visage de la dame.
La main terrible qui s'affaire et se heurte.
La jubilation face à la porte ouverte.

Bienvenu chez toi.
Il est 20h.

Apparait, disparait, virevolte courant d'air. Frileux le long du dos, conquérant dans les cheveux, ensorcelle et harcèle les yeux.

Plouf! Plouf!
Deux cailloux à l'eau, deux pierres coulées hors de vue. Pas de bras, pas de jambe, pas de nage, pas de salut.

Paix à leur âme absente.

Nombre de messages : 5651 Date d'inscription : 22/11/2007

Je n'en peux plus.
Je suis à bout.
Ne rentrez jamais dans la vie professionnelle. Jamais. Vivez en autarcie.
On est plus heureux avec des chèvres dans le Larzac.
Et on se dispute moins.
On relativise.

Une formation très intéressante sur l'adolescence et les rites de passage, avant et aujourd'hui, la déstructuration et la réappropriation de ces rites par les principaux initiés. Vraiment bien ^^

Ice skating!!!

Inutile.

Nombre de messages : 2050 Age : 27 Date d'inscription : 07/02/2008

Lalalala...

Les beaux jours reviennent!

Demain, après-demain, je serais folle, dans trois jours, je serais belle, dans quatre jours je serais vieille, dans cinq jours je mourrai.

Le Français m'ensorcelleras et je partirais en m'enfumant dans son regard.

Mmmmh...

Si tout ce passe bien 35 jours.

Croisons les doigts.

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