[Divagation] Les courants d'air

Tu n'es qu'une psychorigide archiatre à la voix suraiguë et par conséquent insupportable. Tu t'énerves pour rien et tu es perfectionniste à un point rarement chiant. Tu casses les couilles de tout le monde avec ta névrose, faut que tout soit parfait, tout "comme tu le souhaites", et si c'est pas bon, tu cries. Sur tout et tout le monde. Tu stress ton entourage, tu es seule, et je comprends pourquoi. Tu viens de t'engueuler avec ton mec, il t'a fait un coup de pu*e et il est retourné vivre chez lui ? Je le comprends.

Tu finiras vieille fille à casser les noix de tout le monde. Fumer buzz sur buzz t'a ruiné le cerveau, tu te plains de ce pays mais tu fais rien pour qu'il te soit agréable. Tes seuls potes sont une lesbienne, qui est ton ex, et un autre gars avec qui t'as pas reparlé depuis des plombes. Tu t'es isolée comme une autiste pendant 4 ans et maintenant tu viens râler que ce pays c'est de la merde.

Physiquement t'es pas enviable, tu n'as aucun charisme, aucun charme si ce n'est que tu couches facilement avec le premier venu quand tes hormones te titillent à peine, c'est, pour ainsi dire, TRES souvent. Tu couches avec un mec que tu détestes car personne d'autre ici n'a voulu de toi pendant des mois, et tu avoues toi même avoir honte de toi. Je comprends bien, le mec se vante qu'il t'a a sa botte, voir même à sa braguette. Tu n'as aucune fierté, mais une personnalité capricieuse, lunatique et contrôlante. Tout ce que tu sais faire c'est faire chier, pleurer, fumer, boire, ou bai*er. Voilà, je viens de résumer ta vie en seulement quelques mots. Tu n'apprends rien aux autres, si ce n'est la compassion quand ils se penchent sur ton cas, tu ne fais jamais les bons choix, et tu n'as aucun avenir.

Tu finiras alcoolique, fumiste défoncée au buzz, marie-couche-toi-là, avec trois potes étrangers qui gardent contact avec toi seulement car ils n'ont pas assez passé de temps avec toi, et très certainement méprisée de tous.

Le seul point positif que je t'ai trouvé, c'est que tu es la seule en qui j'ai retrouvé assez de folie pour discuter des escargots.

Comme le dit si bien N. Bedos: DEGAGE.