Les courants d'air (Tome IV)

Mes pensées sont toujours tournées vers elle...

Mais quand je m'ennuies, je ne pense vraiment qu'à elle...

Elle me manque... Je veux que le temps en dehors de ses bras s'accélère...

A la gare.


Franz - Boulet à midi.
Anne - Ne le regarde pas, sinon il va venir...
Franz - Il vient toujours même si tu te caches derrière un buisson, cherche pas !

Boulet - Vous êtes trop mignonnes les filles !


Boulet qui repart.

[Cinq minutes plus tard]

Boulet qui revient.


Franz - Le boulet est de retour, tu le fais ou je le fais ?
Anne - Laisse.


Boulet - Dites-moi les filles, vous avez pas une cigarette par hasard ?
Anne - Entschuldigen Sie, aber bin ich Fransösin und meine freundin auch. Wir sprechen nicht Fransösich, ich spreche nur deutsch. Also habe ich nicht verstanden. Aber wir rauchen nicht.*

Boulet change totalement d'expression, c'était merveilleux à voir.

Et le boulet est parti.


Franz - T'étais magnifique *_*



* Je ne comprends pas, je suis française, ma copine aussi. On ne parle pas français, seulement l'allemand. Je n'ai pas compris...

Oui, elle se contredit en allemand après, (je ne l'ai pas mis, c'était pas drôle) mais le gars a tellement rien compris, qu'il s'est quand même cassé.

Rigolote, ton histoire. Il est tout de même courageux ce boulet.

Cela fait trois jours que je néglige fortement mon hygiène de vie à me moisir les poumons et l'estomac... ! Des cochonneries, des absences, etc. D'ailleurs, le moral de Questo, beh y va pas fort...

Jusques en haut des cuisses
Elle est bottée
Et c'est comme un calice
A sa beauté
Elle ne porte rien
D'autre qu'un peu
D'essence de Guerlain
Dans les cheveux...

Ca, je crois que c'est du Gainsbourg. Questo et moi on s'éclate au jeu des questions-réponses. Délire.

Matière à pensée, j’ai eu.
Matière à me réjouir, j’ai eu.
Matière à réfléchir, j’ai eu.
On a beau avoir, des choses ou d’autres, il n’en reste que si l’on ne sait qu’en faire, qu’elle utilité ?
Utilité d’utiliser sa matière grise ?
Utilité de ne rester sans rien ?
Utilité de combler l’absence inconnue à ce jour ?
De l’utile, je fais de l’inutile et de l’inutile j’obtiens de l’utile.

Rotation complète et incompréhensible des pensées, virvorltement gracieux des songes et atterrissages rugueux des illusions. Quel option prendre. Choisir d’aspirer à ses désirs ?
Encore faut-il les définir clairement.

Clarté de savoir ce que je pense, je n’ai pas.
Clarté de dire ce que je pense, je n’ai pas.
Clarté de pensée librement à ce à quoi j’aspire, j’ai.
Qui n’aimerait pas clarifier ses pensées et actes, avant qu’on ne rajoute de la matière à Réfléchir .

Une solution, une seule, Devenir un Glossifungite, et permettre à la plus vieille espèce terrestre actuelle vivante (il semblerait) de perdurer. Cool comme idéal non ?

Tel un Hermite je m’en vais réfléchir à mon sort, réfléchir à un destin tracé inchangeable …
Quel intérêt me direz vous ? Juste celui de réfléchir, d’aspirer à au moins pouvoir penser différemment.


Pour Mister Aillas: Oui je sais! J'ai vu

Moi et Les Autres

Pourquoi ce besoin inconscient de chercher conflit ?
Pourquoi ce besoin de vouloir se blanchir constamment ?

Jamais ! Ô non, jamais ! Je ne comprendrais ce besoin qu’à l’être humain ! Pourquoi à chaque reproche, se sent ton agressé aussi violemment. N’avons nous donc aucune capacité d’analyse . Ne sommes nous donc que de funeste robot, appliquant à la lettre les définitions des mots orgueil, vanité et innocence …

Marre, d’être toujours centre de conflit .
Marre, d’être la source de problème.
Marre, de ne pouvoir dire sans qu’on me contredise.

Jamais ! Ô non, jamais ! Je ne comprendrais ce besoin qu’à l’être humain ! Pourquoi à chaque phrase, chaque tentative d’explication, on me répond une fausse vérité. On me dit que ce n’est pas de leur faute mais de celles des autres … Qu’elle belle chanson as tu fais dans ce cas Malik.

Il doit avoir Raison, nous vivons dominer par cette phrase : « C’est pas moi, c’est les Autres ! Les Autres ! »
Et bien, une fois pour toute, ce n’est pas les autres, mais nous même que nous devons refréner. Chaque problème qu’on engendre, n’est pas que de leurs faute.
Alors oui, j’en ai marre, mais je n’avais qu’à pas en parlé. Seule solution dans ce monde de brut humaine :
Le silence !
Ne cherchons pas ailleurs, sinon se serait encore de leur faute.


PS: Pour toute remarques ou interrogations prière de pourrir ma boite de MP
Ecrit suite à une prise de tête débile avec un ami ^^' Pour de futile choses.

Je flippe sa mère qu'elle sorte toute seule.
Je flippe sa mère de la perdre.

Mais Dieu qu'elle est BONNE !

Son existence à embellie la mienne...

Et Elle a donné un sens à ma vie...

La vantardise, quel beau principe n’est-il pas ?
Il permet, et facilement en plus, de faire passer des sentiments splendide de puissance et de gloire.
ET pour être franc, c’est de suite plus simple de se convaincre d’une victoire, en se vantant.
Sinon le doute serait, et elle, elle le cache, cette infâme doute, qui nous ronge. Elle l’enveloppe d’un voile, transforme une inéluctable défaite, qui pourrait être programmés depuis des générations, en une victoire totale.
Elle vous rend fort, vous immunise aux attaques des autres. Renforce votre mental, et vous convainc que vous avez raison. Que c’est vous qui allez gagner.
Pourtant, oui pourtant, vous le savez, vous allez perdre et inéluctablement. Cette vantardise, n’est un fait qu’un moyen de retarder et d’oublier ce qui devait arriver.
Alors oui, vantons nous jusqu’à n’en plus pouvoir, espérons ce qu’au fond nous savons que nous n’aurons pas.
Disons le, la vantardise n’est qu’une page permettant l’accession au domaine de l’illusion et du rêve fondé et espéré. Elle donne accès à l’espérance, par une croyance folle d’un mensonge que l’on se fait.

Elle conserve au chaud, toutes les douces illusions que vous fomentez, les ressorts d’un coup, les dévoilant aux autres alors que votre chute s’affiche. Elle n’est qu’une page qui se tourne, trop vite, et apporte derrière détresse plus que grande.


Sans titre cette fois, avec peut être modification si un jour j'en ai envie =°