Les courants d'air (Tome IV)

Ironie.

Oui, j'en suis sur.

Ironie.

Plus de doute.

Ironie.

La vie en est remplie.

Tout semble tourner autour de cela, qu'elle chance.

Qui l'utilise, la voit retomber sur lui.

Y'a plus de jus d'ananas. Pleure

Arrêter

Une feuille blanche, une plume verte, volent au vent, tout lentement.
Un seau marin, un pull troué, coule de l’eau, tout à travers.
Une bûche chaude, une tasse froide, foulent ma gorge, tout doucement.
Une voix pavée, un chemin doré, m’emmènent loin, tout simplement.
Une main habile, une langue docile, frissonne mon corps, tout ébloui.
Un regard malheur, un geste horreur, vide mes veines, de tout mon sang.

Le concert d'hier soir, de Sonic Youth était MERVEILLEUX.

Quelle classe énorme.

Je détaillerai plus tard, j'ai plusieurs anecdotes.

Juliet à l'assaut de la civilisation.
Ben tiens. : D

Quand je vois des trucs comme ca:

Les courants d'air (Tome IV) - Page 34 Vitrinegrendelor4copy

J'ai limite envie de désinstaller mon photoshop, d'arrêter mes études orientées web design pour aller trainer mon cul en fac de bio.

Mais finalement nan, préfère décortiquer son truc pour apprendre. Mode dissection: ON

Il y a des fois où j'ai envie de tout lâcher sur ce satané forum ogame. Par pur dégoût.

Mais ça servirait à rien...

Il y a des fois où l'on s'endort.

Réveil.

Et plus la nuit avance ...

Réveil.

PLus l'on a l'impression,

Réveil.

D'en passer une mauvaise ....

Réveil.

Dans ce cas, la sonnerie est fatidique mais attendus.

Réveil.

Enfin

Envie de lâcher ce bureau.

Et de partir en vacances.

koko ni wa gaijin desu

"Puisque s'il vous plait !!"
"L'insecte exaspérant était philosophe (vous savez à quel point c'est exaspérant !) m'a tendu une perche... j'ai cru que c'était une canne à pêche !"
"Vos serviteurs aveux plus qu'un elfe culotté."
Les courants d'air (Tome IV) - Page 34 286323

Les courants d'air (Tome IV) - Page 34 286323

(partie de "Oui, Seigneurs des ténèbres")

Balade en amoureux troooh bieeeen. Rien qu'avec Elle. Coeur

Et plein de photo de Lyon de nuit super classe Dance

Je ne sais même pas par où commencer.

Journaliste Nombre de messages : 1000 Age : 28 Date d'inscription : 23/12/2007

- Je te découvre un peu, finalement...

- Mhm...

On sent que je suis de bonne humeur le matin, quand en préparant mon déjeuner, je chante du Gilbert Montagné. On ne se rend pas compte dans l'immédiat de la façon dont on se comporte.

La voir quitter vos bras, vous recoucher sans Elle pendant deux heures pour se réveiller de nouveau seul dans le lit.

C'est dur...

Mais bon, faut s'y faire. Coeur

Ma pudeur et ma retenue
s'expriment par exemple
dans une danse
monstrueusement grotesque
à même le sol.

"Au lieu de dormir, j'ai passé la nuit avec tes lettres (pas tout à fait volontairement, je dois l'avouer). Cependant, je ne suis pas encore dans le dernier dessous. A vrai dire, je n'ai pas reçu de lettre, mais cela ne fait rien non plus. Il vaut mieux maintenant ne pas s'écrire chaque jour ; tu t'en es rendu compte en secret, avant moi. Les lettres quotidiennes, au lieu de fortifier, dépriment ; autrefois, je buvais ta lettre d'un trait, et je devenais aussitôt (je parle de Prague, non de Merano) dix fois plus fort et dix fois plus altéré. Mais maintenant, c'est tellement triste ! Je me mords les lèvres en te lisant ; rien n'est plus sûr sauf la petite douleur dans les tempes. Mais peu importe, excepté une chose, une seule chose, Milena : d'abord, ne pas tomber malade. Ne pas écrire est bon (combien de jour me faut-il pour venir à bout de deux lettres comme celles d'hier, Sotte question, peut-on venir en venir à bout en deux jours ?), mais il ne faut pas que la maladie en soit la cause. Je ne pense qu'à moi en parlant ainsi. Que ferais-je si tu étais malade ? Très probablement, ce que je fais maintenant, mais comment ? Non, je ne veux pas y songer. Et pourtant, quand je pense à toi, toujours étendue dans ton lit, comme tu étais à Gmünd le soir, dans le pré (où je te parlais de mon ami et où tu écoutais si peu). Et ce n'est pas une image douloureuse, c'est proprement le meilleur au contraire de ce que je suis capable de penser en ce moment : tu es au lit, je te soigne un peu, je vais, je viens, je te pose la main sur le front, je m'abîme dans tes yeux quand je me penche sur toi, je sens ton regard qui me suit quand je vais et viens dans la chambre, et je sens toujours, avec un orgueil que je ne peux plus maîtriser, que je vis pour toi, que j'en ai la permission, et je remercie le destin parce que tu t'es un jour arrêtée près de moi et que tu m'as tendu la main. Et ne serait-ce qu'une maladie qui passera bientôt et te laissera mieux portante que tu n'étais auparavant, et dont tu te relèveras plus grand, tandis qu'un jour, bientôt, et espérons-le, sans douleur et sans bruit, je m'enfoncerai dans la terre. Ce n'est pas cela qui me tourmente, mais l'idée que tu tombes malade si loin de moi. " - Franz Kafka.

Elan de Motiv, allez savoir.

Premier painting, sérieusement entamé. Croquis fait, debut de la peinture selon l'idée =).

"Mon père - Un témoignage objectif de toi petite ?
Mon frère - Une horreur.
Mon père - Oh oui. Tu voulais toujours plus que ce que tu n'avais. J'ai souffert avec tes insomnies.
Mon frère - Je ressemblais à un danseur de Thriller quand j'allais en cours parce que tu braillais et que c'était impossible de te calmer.
Mon père - Ouais et quand on faisait les courses, on était obligé de la trainer avec nous.
Mon frère - MDR.
Moi - Tu parles de moi comme si j'étais un boulet !
Mon père - Boulet ? Euphémisme. Je me rappele, tu adorais monter sur le petit siège du cadit à l'ancien Auchan. Et tu avais les yeux écarquillés et c'est d'ailleurs le seul rayon où tu disais plus rien : Barbie.
Mon frère - En plus, tu supportais pas maman, t'étais toujours dans les pattes...
Mon père - Les miennes ! Quand je faisais la cuisine, si tu t'accrochais pas à ma jambe, c'était la fin. Il fallait toujours que tu sois assise sur mes genoux, et que je te coiffe.
Moi - Oui c'est pour ça que je ressemblais à un garçon !
Mon père - Oui bon après, tu as fait de la danse et tu as eu les cheveux longs, ça allait mieux. Puis t'avais Boris, c'était l'homme de ta vie quand t'avais 3 ans jusqu'à tes 12 ans. Et en plus, tu te marres, mais heureusement que t'es tombée sur ta mère et moi. On t'aurait retrouvé au bord de l'autoroute. On dit que nos enfants sont pires que nous, tu tiens de ta mère c'est pas possible. Je veux même pas que tu me fasses garder tes futurs enfants plus tard.
Moi - Comment vous êtes méchants !
Eux - Heureux Bleu

"

Duel DvB Vs Teclis

Duel qui déchire

Thème qui déchire

Textes qui déchirent

Manque plus que les votes qui déchirent!

Fatiguée. Froid. Pluie. Ennui.

La combo qui tue.

Retourne écrire.

Nombre de messages : 5651 Date d'inscription : 22/11/2007

Ras-le-bol.
Si quelqu'un m'explique le sens lexical et originel de l'expression, peut-être que le sentiment me passera.

Trouvé sur le net (toute inexactitude n'est pas de mon fait ^^)

Citation :: "bol" c'était en vieux français l'une des appellations du vagin.
Notons que le terme ras désigne au préalable, soit en 1191, une mesure remplie jusqu’au bord sans en excéder la limite. Ce serait en 1606 que ras , substantivé donnera naissance à la locution adverbiale “à ras” dans le sens de très près.

"En avoir ras-le-bol", c'était une expression dite par une femme (prostituée) qui, après plusieurs rapports sexuels en avait assez

Donc si vous avez l'impression de devoir vous prostituer pour votre boulot... cette expression est faite pour vous.

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