[Divagation] Les courants d'air

Le stress, tombe

doucement. Surement.

Plus que l'angoisse de ces chiffres.

Pense, rêve, ailleurs, toujours.

Tout le temps

Invité

L'étrangeté de l'acte. Franchir le vide, sauter à pieds joints dedans parfois. Se lancer.

Hum.

Oui.

Sang de tes pères, adultère en émoi!
Attache ta terre à la chair de tes doigts!
Sang de tes pères, adultère en émoi!
Arrache ta terre de la serre du faux roi!

Ô Nuit ! Toi qui m'enveloppes de ton étoffe en pluie d'argent
Ô Nuit ! Toi qui m'emportes loin des cratères béants
Ô Nuit ! Toi qui me rêves sur une grève papier-rubis
Ô Nuit ! Toi qui me forces à retenir le dernier cri

As-tu vu l'homme au chapeau pointu qui tisse de ses yeux la Trame Universelle ?

Ô Nuit ! Dis-moi qui suis-je sous ton foulard de vérité
Ô Nuit ! Dis-moi qui suis-je avant de t'en aller
Ô Nuit ! Dis-moi, je rêve sur cette grève papier-rubis
Ô Nuit ! Dis-moi, puis-je enfin lâcher ce dernier cri ?

Sang de mes pères, adultère en émoi !
Attache ma terre à la chair de mes doigts !
Sang de mes pères, adultère en émoi !
Arrache ma terre de la serre du faux roi !

J'aimerais croire aux mots des anges mais je sais qu'ils ont la langue percée d'épines. Le mensonge comme raison et les mots doux pour appâter les proies. Seulement, les proies sont déjà déchirées, dépouillées de chairs à croquer. Qu'iront-ils grignoter? Les os blancs brisés, les yeux voilés de trop pleurer, ou l'âme vaporeuse presque évaporée. Qu'y a-t-il encore à savourer? Un goût amer de regrets brûlants.

Jamais ne pourra tendre ses bras vers ceux-là
Car ses deux poignets à son cou sont reliés
Par des lacets et des cercles forgés d'acier
Cisaillant les chairs du moindre de ses faux pas

Ne vous arrive t'il jamais la nuit de vous réveiller, de vous retenir d'allumer pour ne pas déranger et dêtre saisi?
saisi par la peur, celle dans les méandres de vos instincts, qui s'inscrt dans vos prunelles embrumées.
Le noir crée mille histoires. Ombres de fantasmagories, vous longez les murs. Ca peut paraitre ridicule mais vous sentez une présence qui vous hante. La peur du poignard dans le dos qui picotte votre moelle épinière. Vous n'avez plus qu'un désir, vous réfugiez dans votre lit. Brandir cette umière qui éclaire alors que vous vous perdez das cette atrocité à imaginer les pires atrocités qui vous effraie. Vous courez dans l'escalier pour ne pas être rattraper. La gorge et l'estomac noués coupant la respiration qui est nécessaire. Plus qu'à se calmer, à s'échapper , à s'occuper l'esprit. Ecrire.

Parfois, je maudis mes capacités d'éponge émotionnelle...

N'absorbe pas, Alice ! Rayonne, rayonne ! N'absorbe pas, rayonne, je te dis ! Et souris, surtout, souris vrai, elle en a besoin !

Et aujourd'hui, je bénis cette carapace de pierre qui entoure ma peau...

Car sans elle, je ne serais pas sortie de cette entrevue avec un simple mal de dos et un profond malaise. Sans mon armure, je me sentirais beaucoup, beaucoup plus mal.

Ma douce Camille, je souhaite que tu apprennes à t'aimer comme je t'aime.

Nombre de messages : 971 Age : 30 Date d'inscription : 20/02/2009

Put*in mais j'hallucine, ils se parlaient même pas et voila qu'ils sortent ensemble comme si sa faisait 3 mois qui se connaissaient ! Comment il a fait !!

[Edit : je me suis un tout petit peu calmé, je vais pouvoirs corriger les plus grosses fautes .]

C'est bizarre. Cette sensation qui par moment, envahi votre corps. Cette sensation, qui vous donne à l'esprit un seul objectif... Non pas professionnel. Ni sentimental. non. Juste un objectif de bien être si je puis dire.

Cette sensation, qui veut prendre le contrôle de vous même. Pour que vous cessiez de contrôler votre corps. Votre esprit.
Cette sensation, qui se transforme en envie. Envie de tout. De hurler sur tout le monde. Ceux que vous aimez. Ceux que vous détestez. Cela peut aller de la personne la plus proche de vous, au simple inconnu.
Cette envie de tout détruire. Toutes ces amitiés. Comme si vous aviez complétement changer. Comme si personne ne vous reconnaissez. Même vous.
Une envie, qui vous emmêle votre esprit. Mais qui arrive à tirer un sourire de votre bouche.

Tout ça me déplait. L'impression de ne plus vouloir être comme avant... Ne pas avoir le contrôle de ce changement. Je ne veux pas. Je ne veux pas tout détruire. Surtout ces amitiés. Ces quelques amitiés.
J'ai déjà commencé à changer. J'ai déjà commencé à tout détruire.
Mais même sans vraiment le vouloir. Ça me procure une certaine forme de plaisir.

MANGEZ DES M.C, ça rend aimable.

Pour votre santé, mangez au moins cinq aéliséens et aéliséennes par jour...

(enfin, ça dépend lesquel(le)s hein !)

Me noyer et oublier.

Plus ça va et moins ça va. Il faut vraiment trouver autre chose.

Attends avec impatience cette prochaine semaine, promesse de lumières intenses.

Coeur

Que s'pastis quand t'as des jolies molécules à dessiner mais que t'as pas la moindre foutue idée d'à quoi elles peuvent bien ressembler? Nan, c'est pas vrai, la forme était là. Bon, quand t'as pas la moindre foutue idée des lettres que tu dois placer entre les ptits traits? Ben au lieu de dessiner ces si jolies molécules, tu dessines des formes moches sur ta feuille de brouillon, tu coches 3 cases au QCM pour faire genre t'as pas rien fait, et tu sors. Peur

Héhé, mais c'est cool la Biochimie! Dance

A la sensation étrange et désagréable d'avoir perdu la motivation Ter Aelis... Où est l'envie de savoir ce qu'il peut bien se passer, l'envie de faire peter la section par plein de nouvelles idées, l'envie de papoter avec un tel ou une telle, toutes ces choses qui fait qu'on se sent bien ici ? Passage à vide ? Ca commence a drôlement s'éterniser...
L'irl a repris la place qu'il devait avoir dans ma petit vie, et maintenant j'ai la sensation que l'ivl ne m'apporte plus grand chose... C'est grave, docteur ? [Divagation] Les courants d'air - Page 19 570806

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So, so you think you can tell Heaven from Hell,
blue skies from pain.
Can you tell a green field from a cold steel rail?
A smile from a veil?
Do you think you can tell?
And did they get you to trade your heroes for ghosts?
Hot ashes for trees?
Hot air for a cool breeze?
Cold comfort for change?
And did you exchange a walk on part in the war for a lead role in a cage?
How I wish, how I wish you were here.
We're just two lost souls swimming in a fish bowl, year after year,
Running over the same old ground.
What have you found? The same old fears.
Wish you were here.

Pink Flyod, Wish You Were Here

[Divagation] Les courants d'air - Page 19 840746

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Qu'est-ce que cette chanson est magnifique (qu'est-ce que cet album est splendide !).

Edit Cassiop : Pourquoi ne pas nous mettre le morceau avec les paroles sur le divan ? Brassens ne se formaliserait pas de les entendre, c'est si bon.

Nombre de messages : 5651 Date d'inscription : 22/11/2007

Courant d'air à teneur administrative :

5 posts en attente dans "Et l'animal engendra ..."
Les Gardiens ont déjà, plusieurs fois manifestés leur désapprobation des listes d'attente qui tombent toujours dans l'oubli.
Ainsi :
Je vous attends tous au tournant, et dans les temps que vous avez vous-même indiqué.
Sinon ...
Je deviendrai pénible, lourd et sadique.

Enjoy
Heureux Orange

courant d'air à teneur péjorative :

choupi a dépeint dvb :

Citation :: Et c'est dans cet état d'esprit que je vais croquer Dvb! car il faut savoir aussi que c'est aussi un sacré grognon, qui ronchonne pour ceci pour cela. Tout en omettant pas la vulgarité qui va avec la ronchonnerie dans son cas. Alors oui il est ronchon et grossier.

comment ça je suis vulgaire ?

Spoiler:

Parce qu'il me fait rire.

... voudrais un peu de temps, juste un petit beau.
Un peu de beau aussi...
Et pourquoi pas la conjugaison des deux ? Du beau temps ?

Invité

A tous ceux qui complimentent, à tous ceux qui s'épanchent en dithyrambes, à ceux qui ne savent que dire du bien, ceux qui ne parle que pour évoquer tour à tour sensibilité ou douceur, à ceux qui surjouent l'intimité et le bonheur.

Vos mots n'ont plus de sens, plus de valeur, plus de force.

Vos mots sont vides.

Toi qui n'as dans la tête que le vide d'une vie,
toi qui n'a pas pris goût au beurre salé,
qui ne sait pas qu'une caresse réchauffe
et qui pense ainsi garder la place pour la sagesse ;
tu oublies que nous sommes des bêtes
et que pour vivre nous voulons nous serrer
afin d'avoir plus chaud, afin de nous coller.
Et si tu veux nous mordre, alors que nous sommes là,
remparts contre l'ailleurs, tu n'auras pas raison
et bien plus fort nous te lècherons.

Quel merdier dans le monde.

tous dans l'anus de Dvb!!!

oui ! un courant d'air...

c'ets ce qu'il nous faut tous !

En voyant la chaîne, on pense plutôt à un pet en l'air !

Au rang des drogués, je m'érige en maître.
Au royaume des fêlés, je suis la reine.
Je suis unique, double ou triple,
Unique dans ma multiplicité.
Dans vos bras, je m'alanguirais.
Dans mes bras, je vous dévorerais.
Je vais m'y perdre; je le sais.
Je vais exploser; je le sais.
Et pourtant je ne le regretterais,
Car sans vous je n'existerais.

C'est l'histoire d'un mec.

Il marche tranquillement dans le vent.

Et pfiou il s'envole.

pourtant c'était bien écrit à l'entrée de la zone :

Interdit au moins de 70kg en cas de forte tempête.

Vraiment, les gens font plus gaffe à rien aujourd'hui.

Invité

HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH

Shit, si j'avais su.

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