Zone discussion, je discute donc (Tome IV)

Ouais j'ai pris le même danz ^^

Le deuxième m'inspirais pas et le texte encore moins ^^

Citation :

Désirer un 20 en philo, c'est absurde, ou bien pratique pour obtenir son bac ?

Boarf, un 20 en philo c'pas absurde, c'pratique quand même hein. 20 coefficient 3 j'sais pas vous mais je prends. ^^

Citation :

Ouais j'ai pris le même danz ^^
Le deuxième m'inspirais pas et le texte encore moins ^^

Ah toi aussi ? Ouais, ça me semblait le plus abordable. Le deuxième m'inspirait pas du tout.
Quand au texte, ça allait, j'aurais pu le prendre si je savais la méthode. xD

C'est les deux dernier paragraphe qui m'ont dissuadé. Pis le désir, c'est le seul cour que j'ai vraiment bossé pour faire ma dernière disserte a la maison XD

Bref on arrête d'ne parler ^^

Joli sujet pour la philo. De qui était le texte à commenter ?

Enfin, il y a des moyens d'éviter une trop sale note : pas de dogmatisme à outrance, les citations avec parcimonies, bien insérées dans le texte, un plan cohérent, une approche personnelle prudente (j'ai fait tout le contraire ce qui m'a valu des sueurs froides pendant deux semaines), une bonne maîtrise des concepts, un style clair, sans monotonie sans verser pourtant dans la littérature, pas trop de références mais des références qu'on connait sur le bout des doigts. Avec ça, on descend très rarement en dessous de 10. Si vous avez tout bien fait, alors demandez à voir votre copie et une nouvelle correction. Votre copie ne sera jamais parfaite, elle pourra, en revanche, être au mieux. Ahah, merci pour la formule rhétorique inane !

De la démocratie en Amérique, Alexis de Toqueville

Inconnu chez moi ^^

c'est "sur l'articulation entre intérêt particulier et général."

J'ai fait un truc a ma sauce pour la disserte, je verrais bien

Ce qui me fait juste marrer en fait, c'est le 8 de moyenne en philo depuis je ne sais combien d'année en S.

Après niveau notation... C'est comme dans toute les matières. Tu peux tomber sur un prof cool comme sur un prof un peu moins cool. C'est pas une question d'objectivité. C'est juste que certains note plus lache, car il sont pas la pour nous faire repiquer. Ils sont pas payé au nombre de recalé. Et d'autre suive a la lettre les consignes qu'on leur a donné et du coup donne une peu moins de points.

C'est une question de point de vue du prof, on y peut rien.

J'espère juste que mes correcteurs seront cool XD

Citation :

Subjectivité. n.f : état de quelqu'un qui considère uniquement les choses d'après ses impressions et ses opinions personnelles

Sans doute que la plupart des profs notent sur le développement du texte. Mais je pense également que d'autres notent sur ce qu'ils pensent. Tout les profs de philo ne sont pas du même avis. Et la philo nous entraine à avoir un avis sur une question donnée.
Maintenant, que se passe-t-il lorsque notre avis diffère de celui du correcteur et qu'il ne tient compte que de son opinion?
Car ça doit exister, j'en suis certain.

Après, ça ne m'a pas empêché d'avoir la Bac, loin de là, mais ça m'avait déçu à l'époque...

Qui a dit qu'elle était objective ? ^^

Green Partizan a écrit:

Je dis pareil qu'Aly, perso j'ai moi-même été déçu en découvrant la philo, car au fond, c'était plus de l'application des notions du cours que l'expression d'un avis personnel...

Perso, j'ai pris en sujet : "L'objectivité de l'histoire suppose-t-elle l'impartialité de l'historien ?"

Pas trop mal réussi, ma foi

Hééé... y a pas une histoire genre "à partir du moment où tu t'intéresses à un domaine, tu es quelque peu subjectif, que l'historien ne peut donc pas être un modèle d'objectivité pure mais seulement tenter de s'en rapprocher s'il a une conscience professionnelle développée ?" xD

Hedoniste a écrit:

Citation :

Subjectivité. n.f : état de quelqu'un qui considère uniquement les choses d'après ses impressions et ses opinions personnelles

Sans doute que la plupart des profs notent sur le développement du texte. Mais je pense également que d'autres notent sur ce qu'ils pensent. Tout les profs de philo ne sont pas du même avis. Et la philo nous entraine à avoir un avis sur une question donnée.
Maintenant, que se passe-t-il lorsque notre avis diffère de celui du correcteur et qu'il ne tient compte que de son opinion?
Car ça doit exister, j'en suis certain.

Après, ça ne m'a pas empêché d'avoir la Bac, loin de là, mais ça m'avait déçu à l'époque...

Le pourcentage de réussite au Certificat d'Aptitude au Professorat dans l'Enseignement Secondaire en philosophie est de 3%. On ne devient pas professeur de philosophie parce qu'on préfère le bleu au rose ou les portes-jarretelles aux collants. Il en va de même de la littérature : ce ne sont pas des sciences dures, ce qui ne veut pas dire que les spécialistes du genre ne savent pas faire la différence entre une copie rigoureuse, informée et intelligente et un torchon saturé de fautes d'orthographe et d'argumentations vaseuses. Ce qui surprend dans les sciences humaines, c'est l'importance que prend la démonstration sur le contenu de cette dernière. Deux élèves pourront réviser ensemble, mettre dans leur copie les mêmes choses, si leur capacité à plier les idées, à ordonner leur pensée et à construire une démonstration claire et efficace diffère, ils se retrouveront facilement avec 10 points d'écart - et je ne parle pas seulement du plan, un plan ça ne veut rien dire. Cela tient du fait que les sciences humaines sont des disciplines du raisonnement, et non de la solution. Les mauvaises réponses n'existent pas - pas plus que les bonnes - il n'y a que des réponses mal formulées.

C'est aussi l'une des raisons pour lesquelles le 20/20 n'existe pas en sciences humaines - mais je viens quand même d'avoir un 18 sur mon commentaire de la Ballade des Dames du temps jadis han ! Cette note j'y tenais, ma démonstration était audacieuse et se permettait quelques libertés vis à vis de la méthodologie séculaire du commentaire de texte. J'avançais en terrain inconnu, j'ai conclu en disant que je ne comprenais rien à Villon, et mon professeur m'a rétorqué que personne ne comprend rien à Villon. Classe.

Green Partizan a écrit:

Je dis pareil qu'Aly, perso j'ai moi-même été déçu en découvrant la philo, car au fond, c'était plus de l'application des notions du cours que l'expression d'un avis personnel...

Perso, j'ai pris en sujet : "L'objectivité de l'histoire suppose-t-elle l'impartialité de l'historien ?"

Pas trop mal réussi, ma foi

J'étais à deux doigts de prendre ce sujet-là. Néanmoins, j'avais beaucoup plus de choses à dire sur le langage.
En Littérature, tu as pris Lampeduza ou Laclos ?

J'espère alors que ca sera pas les satellites et euler qui tombera demain matin étant donné qu'on nous a rabâché aussi que ca serais ca qui tomberai X)

Dans quel état je vais être demain Oo

Dites personnes pour faire un blind vendredi soir? ^^

Pour la fête de la musique en avance?

Le sujet sur l'histoire est intéressant, et la réplique de Puk, pertinente. Jusqu'au XIXe siècle, l'histoire faisait encore partie de la littérature - pensons à Michelet et à son écriture fleurie qui exalte les valeurs de la Révolution dans le plus pur goût romantique. C'est une ambiguïté qui ne date pas d'hier puisqu'Aristote, dans sa Poétique, se proposait déjà d'établir une distinction entre les deux disciplines - preuve que cette distinction n'allait pas de soi. Si l'on s'intéresse de plus près aux exigences esthétiques de la discipline littéraire, on se retrouve assez rapidement confronté à une hésitation entre le poiein ("créer", qui a donné le mot "poésie") et la mimesis ("imiter"). L'art selon Aristote et les théoriciens du classicisme français doit "imiter" le réel, en donner une interprétation vraisemblable, mais non le "reproduire" : là est la tâche de l'historien.

Plus récemment, deux historiens ont fait parler d'eux. Il s'agit de Hayden White avec sa théorie du panfictionnalisme (toute histoire est fiction, parce qu'elle porte des germes de subjectivité), et de Paul Ricoeur, qui lui rétorque narquoisement : toute fiction est histoire, parce qu'elle ne parle jamais que de nous, le plus souvent à notre insu. Je crois raconter une histoire, et c'est toujours mon histoire que je raconte.

Beaucoup de choses à dire.

Green : Apparement, dans le système étranger, ils sont tombés sur Roméo et Juliette + Les Liaisons Dangereuses. Je te laisse imaginer à quel point nous sommes ridiculement devenus des bookmakers... Pour être honnête, mon prof de Lettres ne s\'est pas attardé sur le Guépard, je suis persuadée qu\'il détestait ce livre. J\'ai révisé les trois premières oeuvres seulement et hier soir j\'ai vu le Guépard - le film - dans lequel il y a une très belle scène dans l\'église. Bref tout ça pour dire que j\'ai aussi pris Laclos et que j\'ai tout déchiré ! Ah et dans ma classe, sur 31, ils sont 2 à avoir choisi Lampedusa.

Tu es au point en Histoire/Géo ? Je sens bien la Géo en épreuve majeure tu vois...

Goldmund : tu as des implants neuronaux n\'est-ce pas ?

Non, juste du temps à perdre

Et cette réu, elle se fait ou ? Msn ? Alors gogogo, t'es en retard vieux chnock.