[Divagation] Les courants d'air

Cœur qui crie à l’agonie. Ça passera, ça redescendra. Mais je n’en ai pas envie ! Je veux garder cette douleur due à la frustration, ce désir qui flambe, monte, toujours plus haut, plus vite et qui hurle son existence. Ces fourmis qui parcourent mon corps alors que je lis tes mots, ces gémissements que je retiens dans mon cœur, toutes ces émotions dont je ne me souviens pas. C’est magnifique, c’est magique, j’en veux encore et encore, jusqu’à en mourir. Oui ton absence me fait mal, mais d’une manière que je ne connaissais pas. Elle me rend folle ; complètement et totalement folle de toi. Sans elle, les choses ne seraient peut être pas ainsi. Avec elle, tout prend une saveur particulière et sauvage.

Nombre de messages : 5651 Date d'inscription : 22/11/2007

Mâtin pâlot, elle grimace, gémit, se plaint.
Je crains, je m'inquiète, je fais mon possible.
Elle s'endort, je pars.

Mâtin gris, sous la neige, malade ... inquiet.

Mâtin à prendre des nouvelles, sans respirer, à écouter sa voix.
A attendre de bonnes nouvelles.
J'en ai eu.
Elle va bien ... alors je vais bien.

J'accélère mon rythme de travail, je cours, je bondis.
Je suis soulagé.
... et électrique.

C'est le café ou l'amour ?

Moi je dis..je dis...Je t'aime!

Mais pas de ces amours bizarres, prostrés dans l'inquiétude, le silence, la jalousie in nucleo, l'ordre sentimental, tout ça... TOut ça.

Ni comme un enfant, un innocent, regard pétillant, regarde aux étoiles et qui crie, le crie, ou finalement se crie.

Je me crie quand même: Je t'aime.

J'suis sur, elle l'entendra au fond d' moi.

Un jour elle l'entendra.

Et p'têtre

Que je m'en moquerai.

Chromatique Nombre de messages : 2373 Age : 32 Date d'inscription : 22/11/2007

Born to Be a Vilain.

Etre conducteur c'est un peu être skyzophrène en fait.

Quand on est derrière le volan et que l'on voit un piéton traverser devant sa voiture sans passer par le passage piéton, on a tendance à l'insulter ou à dire :"Je le crois pas ! Y a un passage piéton à 20 mètres hein !"

Dans le cas inverse, quand on est soi-même piéton et que l'on traverse n'importe où, on a tendance à répondre au conducteur :"Oh ça va !" complété d'un geste de la main qui sous-entend que le piéton est Roi.

Malade de toi,
Malade à mourir
Malade à détruire et tordre
J'ai du mal à deviner ce qu'il en adviendra.

Tu pars, il part, vous partez, ils partent.
Je reste.

Ainsi font, font , font...
A non c'est pas ca.

Juste que j'en ai marre, marre de certains trucs...
Alors oui, c'est des petits trucs, mais petits trucs, par petits trucs, ca fait un gros machin ou un énorme bidule. Question de point de vu.

Marre de cette carte de France. L'est quand même sacrément mal foutue...
En fait, c'est la France qu'ai mal foutue. Quelle idée aussi, de faire un continent hexagonal.
Pourquoi pas un continent tétraédrique pendant qu'on y ai.
Moi je dis un coup de fractal dans tout ca, et paf, la Bretagne se retrouve dans le sud, le sud dans le nord. Les sudistes se retrouve à faire les pingouins. A la limite, ca peut être drôle, pendant que les nordistes joueraient les glaçons en train de fondre dans les landes.
Révolutionnons la carte bon sang.

Marre de cette météo. Qui nous donne du froid... Mais pas de neige.
Je veux me lever, ouvrir ma fenêtre, sentir le froid mordre mes joues mais avoir sous mes yeux un long manteau blanc.
Ca c'est chouette.
Mais non, on à qu'un froid sec, et trois flocons qui se battent en duel, juste sous votre nez. Histoire de vous narguez et de vous planter le moral dès 10h.

Marre de plus réussir à me déloger du temps. J'en ai pourtant, mais je reste blafard derrière mon ordi, a regarder mon projet et me dire je le ferais demain.
Faudrait peu être que mon cerveau se réveil parce que le 8 ca approche très vite...
Et demain, puis demain, ca fait quatre mains.

Ainsi font, font, font...
Oh misère.
C'est la galère.
Pourquoi j'ai cet air en tête.

Marre d'un tas, ou plutôt d'un ramassis, d'ânerie qui occupe mon quotidien.
Me voici même venu à écrire dessus.
Et encore vous vous en sortez bien !
C'est qu'un courant d'air. Ca aurait pu venir tâcher les bibliothèques.

Coup de pot.
Dodo.

Nombre de messages : 5651 Date d'inscription : 22/11/2007

Je suis attaché,
de mon plein gré.

Je suis accroché,
'veux pas me démêler.

Je souffre sans toi,
Reviens.
Attache-moi.

Les temps changent.
Les murs s'effondrent.
les masques se craquellent.
Je me rends compte, aujourd'hui, que mon maquillage n'est pas parfait.
Je vois dans mes textes le reflet de ma vie.
Je sens les cris, les tiques, les cicatrices et les souffrances de mon visage rejaillir, sortir de mon masque.
Est ce ma faute si je suis incohérant, incompréhensible ?
Est ma faute si j'aime avoir mes moments à moi ?
Si je ne vis que de bonheurs simples et tranquilles, de beautée et de paix ?
Le vent qui souffle sur mon visage, le ressac des vagues, voila tout ce qu'il me faut.

Mais Non.

Je ne peux être tel que je suis. Je suis obligé de me glisser dans la peau reche d'un étudiant, sans reussir à m'adapter à ce nouveau monde... La mer me manque. Je regrette ses instants passé à regarder les eaux, laissant vagabonder mon esprit. Aujourd'hui, quand je laisse mon ame apparaitre sur ma face, l'on me demande ce qui m'arrive, si je vais bien. De mes visages, aucun ne plait... Je suis perdu. Je ne sais plus que faire dans ce monde au combien logique, moi qui ne suis fait que de rêves, d'espoirs et d'inochérances. Accompagnant toute cette débacle , mon coeur reprend ses droits sur mon esprit, et l'amour revient à nouveau taper à la porte de mon ame.

Les dès sont jetés, la partie est commencée... Et j'ai bien peur de ne point savoir quoi faire.
Mais il reste un espoir. Une joie. le fait de savoir que, peut être, je rejoindrais Aelis l'année prochaine, pour continuer mes études dans les filières qui me plaisent. Pas un jour ne se passe sans que j'espere trouver, au detour d'un chemin, un monde fait de joie et de rêves, un monde ou je pouvrais vivre ma vie... Ter Aelis, pourrai-je un jour te rencontrer, non pas à travers la toile, mais bel et bien dans le monde réél ? Pourrai-je escalader les tours de Bethil, contempler l'aube depuis les arbres d'Adalerin ?

Chaque jour, la vérité se fait plus présente, plus imposante...

"Reveille toi, jeune homme, tes espoirs sont vains"

Fermer les yeux, laisser jaillir Drystan Hayarn dans le monde réel. Briser les murs qui separent l'etudiant du reveur... Voila tout ce qu'il me reste à faire... Mais cela, il se peut qu'ils ne l'acceptent pas. Qu'importe. J'ai trop attendu.

Pardon pour cette aparté mélodramatique, mais elle m'etait indispensable.
(Et pardon pour l'orthographe, tant que j'y suis...)

Der Mann nummer neunundachzig.

Wegen mir hast du vor Wut geweint. Du bist die Weisheit in mich. Ich schlafe nicht und ich dir tausend Gedanken schick...

Je continue en français.

Vous savez quoi ? Je viens de me rendre compte que la chanson House of the rising sun de The Animals n'est pas d'eux à l'origine ; c'est une reprise.

Ma meilleure amie a fait un bébé avec un paysan sans finesse. C'est déjà con.
Hier elle se décide enfin à le quitter, elle rassemble son courage. Hourra !!!
...
Ce soir, elle est enceinte. Mais quelle merde ...

Nombre de messages : 971 Age : 30 Date d'inscription : 20/02/2009

Viens d'enregistrer l'image aplatie d'une création que je bosse depuis longtemps sur le fichier d'origine. Résultat, je ne peut plus modifier les problème que je viens de constaté ! Et merde.

Je suis en vacance, je devrait être content mais c'est tout le contraire car je ne vais pas la voir pendant deux semaine et je n'ai même pas pu lui parler, il faut vraiment que je me décide a le faire. En plus j'ai froid aux pieds !

Voilà c'est fait, je suis énervé !

Jokari.

J'aime ce mot. C'est le mien, tout doux, tout chaud. Une belle image, une innocence, une pointe insouciance. Quand on le prononce on finit avec la forme d'un sourire sur le visage, car c'est un mot qui a un rire propre.

Jokari.

C'est un petit rien qu'on ne retrouve plus. Une chose qui ne m'est même pas propre. Mais certains aiment le mot champignon, le mot asticot, le mot contextuellement, et bien moi c'est ce mot là, tout simple.
J'avoue. Mais ô combien puissant!

Jokari.

Il neige, il neige !

Ce blanc, tout ce blanc, la ville paraît plus calme, presque endormie, et les chuintements étouffés de mon passage la font ronronner doucement. La ville, c'est un chat fatigué, un chat qu'il faut parfois ne pas trop embêter et laisser se reposer.

Les gens sont sereins dans le tramway silencieux. C'est un havre de vie, quand la ville dort encore.

Le petit garçon assis à côté de moi m'a dit "Au rovoir !" quand je me suis levée. Tout le monde a souri, surtout quand je suis tombée sur les genoux de mon voisin. Il a rigolé, j'ai dit pardon, un sourire coquin plaqué sur mon visage.

Que les gens sont tranquilles par ces jours apaisants. Nous sommes des grands enfants,

Nous et la joie blanche...

La neige ? La neige c'est de la merde blanche ! Non seulement, je ne l'ai jamais aimé mais en plus, je la déteste davantage aujourd'hui. Je suis bloquée à Châteauroux à cause d'elle. Mon train était prévu à 9h42 avec 30 minutes de retard, puis avec 1h30 de retard et maintenant 2h30 de retard. J'ai failli me ramasser trois fois, il gèle, les gens sont insupportables. Tout blanc ? Bien-sûr que c'est tout blanc, on ne voit ni les passages piétons ni le rebord du trottoir OUAIS. Ca y est, je suis énervée. Très Heureux

Die Toten Hosen.

Ca roxe.

S'pas mal en Avatar.

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ici aussi c'est tout blanc, et ça tombe dru en centre Bretagne ôÔ

... Et ici :

Un demi mm de neige sous un ciel d'un bleu pur et ensoleilée.

Décidément, à guérande la neige on en veut pas ...

Même à Toulouse y'a de la neige!
Bon, là, elle fond, mais ce matin c'était tout blanc.

4 h 10 : Tu dors ?
7 h 19 : Fais moi signe quand tu es chez toi.
13 h 57 : Aucun signe... Où a-t-elle dormi ?

Ayé ! on vient de dépasser les dix centimètres et ça tombe toujours ...

Je rentre chez moi ce soir !

Je rentre chez moi ce soir!

(imaginez l'air dans votre tête $Clin d\'Oeil$ )

Nombre de messages : 2050 Age : 27 Date d'inscription : 07/02/2008

Et ce matin la neige tombait, les bonnets rouges traversaient la cour en courant, pour ne pas se recouvrir eux aussi du manteau blanc déposé par le ciel. Sous les bonnets, des yeux brillants, des sourires égarés sur les lèvres d'un rouge pur.

Et ce midi après les cours les bonnets rouges se réinstallent sur les fronts hauts des adolescent, mais déjà moins fièrements. Seuls quelques-uns osent sez dire qu'après les vacances on se reverra, et soudain LA nouvelle: le collège ferme à deux heures. les bus seronts disponibles à cette heure-ci seulement.

Et cet après-midi, les bonnets sont tristements repliés sur eux-même dans les sacs, peu sont encore au-dessus de la foule qui se pressent le plus lentement possible vers la sortie principale. Le vacances en ravissent certains, en désespèrent d'autres.

Moi aujourd'hui j'ai vu des amies inquiètes, joyeuses, tristes, des amies qui, comme d'habitude, ont été pour moi tout un caméléon, tout un arc-en-ciel de sentiments. Sauf qu'aujourd'hui c'était différent.

Pensez-vous, deux semaines sans se voir, mais en voyant la famille... Ca doit être affreux, j'sais pas.

Lisez du Orphée, lisez du Sebastien_K. Que ceux qui prétendent éprouver le moindre intérêt pour les choses de l'écriture rougissent de ne pas suivre mon conseil.

Ce ne fut qu'une impression brutale, comme une claque sur la joue ou un crachat en pleine figure. Ça ressemblait à l'amour mais sans le sentiment qui l'accompagne. Alors, elle pinça ses lèvres pour ne pas gémir et se contenta de rougir, car parfois le corps sait plus facilement que l'esprit exprimer le ressentiment.

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