[Divagation] Les courants d'air

Aujourd'hui, mon Amour, je t'aime encore plus. Encore un petit peu plus.
Aujourd'hui, mon Chéri, je t'aime à la folie.

De la bourse ou la vie, le voleur vous laisse le choix. La femme exige les deux.

Here he sits divided from the hall, in his heart it grows dark, to him it seems as though were endless his share of labours. Let him then bethink himself that beyond this world God all-mighty constantly changes - fates.

As to that, it has gone by and so can this.

Et un Poutou à Aillas, un ! [Divagation] Les courants d'air - Page 23 59597

Devant la multitude de pensées se mélangeant en moi.

Je fuis.

Devant tant de choses et d'inquiétudes me foncer dessus.

Je subis.

Devant tout ce qui se dresse devant moi.

J'abandonne.

Je m'enfouis dans les creux de ma conscience, m'y blottissant jusqu'à m'y perdre et rejoindre mon subconscient.

Disparaitre en lui. Et m'oublier, rien qu'un moment.

B'alade à creb'er...

Et c'est g'arrément galère !

Mes résultats sont enfin tombé ! Peur

Ca fait une semaine qu'il aurait du être envoyé si cette secrétaire faisait un peu mieux son taffe...

Je suis 2eme de promo, yataaa Peur

Soulagement et réjouissance.
Maintenant objectif, rester dans le top 5, dur dur.

Journaliste Nombre de messages : 1000 Age : 28 Date d'inscription : 23/12/2007

ça f'sait longtemps =°

Hésite.

Fortement.

Attendre, ou non.

Attraper, ou non.

Anglais, la porte ouverte pour "m'occuper" un instant.

Go.

Et oublier d'appréhender, après ces mots.

JE VAIS FAIRE UN MEURTRE!!!!!!

POLE EMPLOI DE MERDE PAS FOUTU DE FAIRE LEUR BOULOT CORRECTEMENT!!

Je suis en train de me lancer dans trop de projets simultanément. Je m'égare...
Entre l'Aventure, le Recueil, la Nouvelle, le Fond d'écran, le BG, le Poème, la Mission, le projet de graphisme et l'université, ça commence à faire un peu trop lourd. Ne plus rien rajouter à ce planning avant d'avoir tout retiré...

Edit Cassi : (Et la confrérie ?)
Ps : Voila... Quand je suis overbooké, j'oublie toujours le plus important.

Moi hier, j'ai réussi ma première tarte au citron meringuée. Heureux

[EDIT R'] : Et elle est délicieuse. Comme la pâtissière qui l'a faite.

Je n'ai plus de bras, plus de jambes, plus de sourires, je suis une grosse meringue qui cuit des heures à très basse température.

Citation :: ANNONCES PARUES DANS LE TÉLÉGRAMME

Date : 02/02/2010

PERSONNEL EXPÉRIMENTÉ POUR EFFEUILLAGE H/F - CDI

ST666694

Saint-Renan - 29

ça va hein ! je suis pas SI désespéré que ça...

Nombre de messages : 2050 Age : 27 Date d'inscription : 07/02/2008

Blame it on girls - Mika

He's got looks that books take pages to tell
He's got a face to make you fall on your knees
He's got money in the bank to thank and I guess
You could think he's living at ease

Like lovers on the open shore, what's the matter?
When you're sitting there with so much more, what's the matter?
While you're wondering what the hell to be
Are you wishing you were ugly like me?

Blame It On The Girls who know what to do
Blame it on the boys who keep hitting on you
Blame it on your mother for the things she said
Blame it on your father, but you know he's dead

Blame It On The Girls
Blame it on the boys
Blame It On The Girls
Blame it on the boys

Life could be simple, but you never fail
To complicate it every single time
You could have children and a wife, a perfect little life
But you blow it on a bottle of wine

Like a baby you're a stubborn child, what's the matter?
Always looking for an axe to grind, what's the matter?
While you're wondering what the hell to do
We were wishing we were lucky like you

Blame It On The Girls who know what to do
Blame it on the boys who keep hitting on you
Blame it on your mother for the things she said
Blame it on your father, but you know he's dead

Blame It On The Girls
Blame it on the boys
Blame It On The Girls
Blame it on the boys
Blame It On The Girls

Blame it on the boys
Blame It On The Girls
Blame it on the boys

He's got looks that books take pages to tell
He's got a face to make you fall on your knees
He's got money in the bank to thank and I guess
You could think he's living at ease

Blame It On The Girls who know what to do
Blame it on the boys who keep hitting on you
Blame it on your mother for the things she said
Blame it on your father, but you know he's dead

Blame It On The Girls
Blame it on the boys
Blame It On The Girls
Blame it on the boys

Blame me? No, on you, after all!

Nombre de messages : 38 Age : 91 Date d'inscription : 11/12/2009

Courant d'air... Qui m'a appelé?

Oui oui c'est moi, c'est vrai que ca ne facilite pas les rencontres, mais oui oui je suis toujours là, sur Ter Aelis, enfin je passe quand j'y pense et j'y pense quand j'y passe

Youpiii tralala
on peut dire n'importe quoi
(ca rime! Déésse de la poésie XD)

Nombre de messages : 128 Age : 33 Date d'inscription : 19/10/2008

Divague... Que je dise vague? Fort bien: vague.
Mon Dieu que cela peut-être jouissif parfois de faire de si basses plaisanteries...Avec un ton aussi pincé! Mais ne pince-t-on pas le ton pour le plaisir d'être entendu haut-perché? Tel un rapace sans piston perdu au pilori des pèquenauds, passe au pince-ton pour espérer attraper plus prospère que des pigeons péteux pauvres...

Vagation

[Divagation] Les courants d'air - Page 23 840746

Comme les cris d'un nouveau né !

Bonjour madame, serrez moi la main.
Je vous en prie c'est culturel, faudra bien nous y faire.

Qu'est ce qu'il cloche dans les systèmes ? Un manque de savoir faire, une radiance qui se propage ? Qu'est ce qui cloche dans les étoiles ? Un ragout qui se périme, une silencieuse qui se maquille ? Qu'est ce qui cloche dans les basses sphères ? Un formidable poulailler, un drapeau qui se détend ? Qu'est ce qui cloche dans les rizières ? Un pain de seigle en automne, une gélatine qui débecte ?

J'en veux une qui se s'accroche pas, qui ne m'accroche pas. S'il faut qu'elle m'oublie plus tard, pour que maintenant je me couche tard. Une systématique saline ne saura me satisfaire. J'aimerais pouvoir ne pas m'engager dans ces relations qui se mouvent, travailler leur corps sans me prendre la main dans leurs engrenages.

"On ne manque pas de sociologues à faible quotient intellectuel aujourd'hui. Pourquoi j'en ajouterais, avec mon intelligence supérieure ? On a tous entendu ces vieilles femmes qui disent : "Oh, comme c'est AFFREUX cette jeunesse qui se détruit avec toutes ces drogues ! C'est terrible ! " Et puis tu regardes la vieille peau : sans dents, sans yeux, sans cervelle, sans âme, sans cul, sans bouche, sans couleur, sans nerfs, sans rien, rien qu'un bâton, et tu te demandes ce que son thé, ses biscuits, son église et son petit pavillon ont fait pour ELLE. Et les vieux se mettent parfois dans une colère noire contre les jeunes : " Bon sang, j'ai travaillé DUR toute ma vie ! " (Ils prennent le travail pour une vertu, mais ça prouve seulement qu'un type est taré.) Les jeunes veulent tout pour RIEN ! Ils s'abîment la santé avec la drogue, ils s'imaginent qu'ils vont vivre sans se salir les mains !

Puis tu LE regardes :

Amen.
[...]

La plupart du temps, c'est de ça qu'il s'agit. Les défoncés en font trop à propos de leur sacrée défonce et le public pareil avec l'usage de la drogue. La police se remue et les défoncés se font pincer, et ils se prennent pour des martyrs, tandis que l'alcool reste légal, tant que vous ne dépassez pas la mesure et que vous n'êtes pas pris dans la rue et mis en prison. Quoi que vous donniez à la race humaine, elle s'écorchera avec et vomira dessus. Si on légalisait la défonce on se sentirait un peu mieux aux Etats-Unis, mais pas tellement. Tant qu'il y aura des tribunaux, des prisons, des hommes de loi et des lois, les gens se défonceront.

Leur demander de légaliser la défonce, c'est un peu comme leur demander de beurrer les menottes avant de nous les passer. Quelque chose encore vous intrigue : pourquoi ce besoin de drogue ou de whisky, de fouets ou de cuirs, d'une musique qui gueule si fort qu'elle empêche de penser, d'asiles, de chattes mécaniques et de 162 matches de base-ball par saison, du Viet-nam, d'Israël ou de la peur des araignées, de ton amour qui rince son dentier jauni dans 1'évier avant de baiser ?

Il y a des réponses de fond et il y a le petit bout de la lorgnette. Nous nous amusons toujours avec le petit bout de la lorgnette parce que nous ne sommes pas assez mûrs ou assez vrais pour dire ce que nous voulons. Nous avons cru pendant des siècles que c'était le christianisme. Nous avons jeté les Chrétiens aux lions puis nous avons laissé les Chrétiens nous donner aux chiens. Nous avons compris que le communisme remplissait un peu l'estomac de l'homme de la rue mais qu'il ne changeait guère son âme. Maintenant nous jouons avec les drogues, comme si elles devaient ouvrir des portes. L'Orient a connu la drogue, bien avant la poudre à canon. Ils ont compris qu'ils souffraient moins et qu'ils mouraient plus. Se défoncer ou ne pas se défoncer.

- On va à M-a-li-bouu, mec, ouais, on va à Malllll-i-bOOUUU !

Vous permettez que je me roule un peu de Bull Durham ?

- Hé, toi, tu veux une taf ?"

Bukowski.

Ce génie enfermé dans un taudis malsain,
Ces visages, ces cris, ces spectres dont l'essaim
Tourbillonne, ameuté derrière son oreille,

Ce rêveur que l'horreur de son logis réveille,
Voilà bien ton emblème, âme aux songes obscurs
Que le réel étouffe entre ses quatre murs.

(Baudelaire, comme s'il fallait le préciser.)

Ta nuit laisse couler de mon œil et ma tempe
Un flot d'encre si lourde qu'elle en fera sortir
Des étoiles de fleurs comme on le voit d'un tir
La plume que j'y trempe.

J'avance dans un noir liquide où des complots
Informes tout d'abord lentement se précisent.
Qu'hurlerais-je au secours? Tous mes gestes se brisent
Et mes cris sont trop beaux.

(Genet.)

Nombre de messages : 2050 Age : 27 Date d'inscription : 07/02/2008

Citation :: 1 990 Zone discussion, je discute donc
2 990 Zone discussion, je discute donc (Tome II)
3 990 Les courants d'air (Tome I)
4 990 Les courants d'air (Tome II)
5 990 Zone discussion, je discute donc (Tome III)
6 990 La légende des Signatures. (Tome I)
7 990 Les courants d'air (Tome III)
8 990 Zone discussion, je discute donc (Tome IV)
9 989 Les courants d'air (Tome IV)

Hrm.

Floodeurs, nous? nooooon.

Lire ce poème de Baudelaire, et mourir.

Avec ses vêtements ondoyants et nacrés,
Même quand elle marche on croirait qu'elle danse,
Comme ces longs serpents que les jongleurs sacrés
Au bout de leurs bâtons agitent en cadence.

Comme le sable morne et l'azur des déserts,
Insensibles tous deux à l'humaine souffrance,
Comme les longs réseaux de la houle des mers,
Elle se développe avec indifférence.

Ses yeux polis sont faits de minéraux charmants,
Et dans cette nature étrange et symbolique
Où l'ange inviolé se mêle au sphinx antique,

Où tout n'est qu'or, acier, lumière et diamants,
Resplendit à jamais, comme un astre inutile,
La froide majesté de la femme stérile.

Ne succombe jamais à la tentation de la femme qui te plaît en quittant celle que tu aimes car elle te quittera pour celui qu'elle aime. Connasse.

Nombre de messages : 2050 Age : 27 Date d'inscription : 07/02/2008

" La patte de l'oie
laisse sur le sable
Un soupçon de lumière."

" Le marin s'en va par la mer
En laissant derrière lui
Ses racines"

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