[Divagation] Les courants d'air

la signature juste au dessus me rappelle énormément ce qu'un certain Damasio décrivait comme le "VIF"


Bon allez !

Jme casse

A plus !

Mais...

Je garde un oeil sur vous

Hurlement sombre !

Taffer, taffer, taffer, toujours taffer c'est reloud ^^

Quelqu'un pourrait-il m'expliquer pourquoi le matin je galère à me lever pour aller en cours (6h45) et que je rêve de mon lit toute la journée ... Pour ensuite péter les feu de Dieu l'Unique jusqu'à plus que tard le soir !!!

"Et mes rêves s’accrochent à tes phalanges
Je t’aime trop fort, ça te dérange
Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
Je t’aime trop fort
Mon ange, mon ange"

Certaines réalités sont trop évidentes pour ne pas être remarquées. Même si elles sont douloureuses et tristes, elles sont là, sous notre nez et on ne peut que les reconnaître pour ce qu'elles sont: l'image de la vérité, de la réalité d'une situation.

Ainsi, certaines personnes, telles qu'elles sont, ne peuvent être heureuses ensembles.

H-10...
M-600

Owi owi...

Mais je suis dégouté... Juste pour vous dire, l'on prend le train... 220Euro pour deux, 7 Heure et une correspondance à Paris...
L'avion coute 210 euro, et met 1h30...

On le saura pour la prochaine fois...

C'est comme si j'avançais dans un monde de barbe-à-papa, collant, rose et même pas appétissant. Écœurant. Mais surtout, je n'y vois rien et le sucre filé rentre par mes yeux, mes oreilles et ma bouche, remplaçant mon cerveau de cette fadaise qui m'effraie.

Je n'y vois rien.

"La liberté n'est pas la possibilité de réaliser tous ses caprices ; elle est la possibilité de participer à la définition des contraintes qui s'imposeront à tous."

[Albert Jacquard]
Extrait de Petite Philosophie à l'usage des non-philosophes

Se donner l'impression d'agir est déjà un pas pour reprendre sa liberté de devenir.

l'autre nuit j'ai rêvé que De Vaanne était cocaïnomane et qu'à l'IRL il était tellement en manque qu'il voulait sniffer le tabac de Mido, qui gentiment lui préparait deux rails de tabac à rouler.


Prémonition ? hasard ?

mmm... je ne pense pas.

L'épanouissement ?
Entendre les voix d'Eddie Vedder et de Thom Yorke est bien mieux que l'épanouissement !

Se battre seule est inutile, on ne peut sauver que ce qui peut/veut l'être. Et je ne suis pas un héros.

Je vais le dire ici, parce que ça doit être l'un des rares topics à être lu par tous les intéressés :


Je parle au nom de ma Confrérie : vous (et les concernés se reconnaitront facilement) commencez à nous taper sur le système. Sérieusement.

D'accord, les piques et fausses insultes entre Confréries, c'est marrant pour maintenir une apparence de haine farouche et pour justifier leur existence, mais il y a des limites que vous dépassez allégrement :

1/ vous sombrez dans l'insulte bête et gratuite. Nous n'avons jamais sorti de blague équivalente à votre "eunuque" qui, à part le calembour douteux, n'a fondement rpique ni intérêt hors le "ouais trop bien, j'les ai encore vannés les eunuuuuuques !!!". Pas la peine d'ailleurs de me sortir "mais c'est Cassi qui l'a inventé", parce qu'elle aussi peut faire des erreurs, et lorsqu'elle l'a inventé, elle a eu l'intelligence et la subtilité de le sous-entendre, contrairement à vous, ce qui m'amène au 2è point

2/ Nous avons la nette impression que c'est devenu continuel pour vous de nous insulter de la sorte, dès que vous voulez nous désigner. Vous manquez à ce point d'imagination pour ne pas trouver autre chose ? Surtout que dans les derniers posts concernés, c'est purement superflu puisqu'il ne s'agit pas de posts rp ou hrp directs, et que les autres confréries citées ont droit à leur nom normal.

Donc :

Vous allez cesser immédiatement ce petit jeu et vous allez utiliser dorénavant le vrai nom raccourci de la confrérie, à savoir "les Enfants". L'oubli plus ou moins volontaire de la majuscule vous permettra de faire mumuse à loisir sans vous montrer exagérément insultant.
Je sais que je peux donner l'impression de péter mon câble sur rien, mais fallait que ça sorte...

Cris de rage et cris de haine. Brûlure en mon sein qui s’étend et s’infiltre. Sangsues sur mes membres qui s’étalent et s’empiffrent. Parasites dans mes plaies qui s’incrustent et grouillent innombrables. Corps qui craque, s’arrache et se disloque.
J'haine et je rage de mon impuissance à cracher ces mots plein de colère qui me tiennent à la gorge et m'étouffent.

Viens, viens donc me parler, m'étaler tes reproches et mes mensonges à la figure.
Viens, viens seulement si tu l'oses, me dire encore ce que tu penses à ma place.
Ose, ose enfin, que je me libère, que je me débarrasse de cette couche de crasse haineuse.
Ose, ose si t'es un homme, si tu me sais tellement que je n'ai plus aucun secret pour toi.
Déçois-toi, déçois-moi, non pour la première fois, ni pour la dernière, mais juste une fois de plus.
Et reste alors, et pars ensuite, ma rage sur les talons et mon affection au creux des bras.